Formés en 76 à New York, The Fleshtones combinent l'énergie Punk à un son 60's (guitare électrique Fuzz et Orgue) avec des influences rhythm and blues, rockabilly et surf music. ENORME en concert ! Le groupe The Fleshtones était en concert à Petit Bain à Paris le 30 novembre 2017 et en tournée française. En concert en France fin 2021 !
The Fleshtones : tous les concerts
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The Fleshtones : l'historique des concerts
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The Fleshtones : les dernières chroniques concerts 12 avis
The Fleshtones + Dynamite Shakers
En plus de trente ans de pérégrinations dans les salles de concert, c'est étonnamment la première fois que je voyais les Fleshtones sur scène. Les Fleshtones, c'est ce groupe de rock garage historique et culte qui a fait ses début en 1976 à New York sur les scènes mythiques du CBGB et du Max's Kansas city. Et qui tourne toujours inlassablement dans les plus petits clubs du monde entier pour porter la bonne parole à un public assoiffé de riffs de guitare fiévreux et de refrains scandés dans une ambiance chaleureuse, énergisante, pleine d'effluves de houblon. En 45 ans, de carrière le combo ricain n'a jamais rencontré le succès, mais il a su se créer une réputation qui lui permet d'être chez lui dans tous les clubs rock du monde. C'est dans l'antre de Petit Bain qu'ils allaient une fois de plus rendre visite à leurs fidèles fans parisiens, à qui, tels d'inlassables croisés, ils délivrent les commandements du rock garage presque tous les ans. C'est donc un fervent public de quadras et quinquas grisonnants, souvent affublés d'un harrington et de lunettes de vue cerclées d'une monture noire à la Elvis Costello, qui investissait la salle. Alors que les fans de la tête d'affiche du jour étaient en train s'abreuver au bar en attendant les... Lire la suite
The Fleshtones, Jon Spencer and the Hitmakers, Thomas Mascaro
Double programme ce soir au Ninkasi Kao, aux abords du mythique Stade de Gerland qui a vu s'écrire certaines des plus belles pages de l'histoire du foot français (notamment une belle branlée infligée à l'OL par le Bayern en 2010 en demi finale de C1). Une salle de concert qui se présente sous la forme d'un complexe avec un pub à la carte de bières pléthorique, un resto gigantesque, une organisation sans faille, un personnel extrêmement sympathique, une belle accessibilité (sortie du métro)... Ce tout formant une de mes salles françaises préférées. Thomas Mascaro Et donc, un double programme qui va très vite se transformer en triple programme tant la première partie, assurée par le one-man-band Thomas Mascaro, se révèlera d'une redoutable efficacité. A la question souvent posée "peut on pratiquer un blues rock énervé et abrasif tout en s'appelant Thomas ?", le jeune Mascaro répondra de manière brillante. Son set guitare/voix/batterie-pédales fut bien plus qu'une mise en appétit, un très bon moment, conclu par une reprise à tombeau ouvert du "C'mon Everybody" d'Eddie Cochran. Un concert résumant bien la note d'intention de la soirée placée sous le signe d'un punk/rock/blues de très bon aloi et bien fun. Thomas Mascaro ouvrait pour de... Lire la suite
The Fleshtones + The Norvins
Dans le dictionnaire illustré "Le rock de A à Z" de Jean-Marie Leduc et Jean-Noël Ogouz paru en 1984, les Fleshtones ont droit un petit chapitre, où on peut lire notamment : "... l'incroyable énergie et la mise en place du groupe sur scène décident Copeland (NDA - le boss du label) à signer la formation sur Illegal records" et aussi "une tournée européenne en mai 82 concrétise l'importance de ce groupe rare". Quelques décennies plus tard, le quatuor est toujours là, encore au top de sa forme et le ressenti est pleinement conforme à cette description datant d'il y a... 33 ans ! A l'occasion d'une séquence intense de 15 dates en Italie et en France (en 16 jours), les New-Yorkais revisitaient Paris ce jeudi 30 novembre sous la neige ! Epaulés par les remarquables Norvins qui chaufferont l'assistance comme toute première partie devrait le faire avec un garage-rock frenchie et ultra-efficace, les Fleshtones n'auront plus... Lire la suite
The Fleshtones / Laydown
Une chronique des Fleshtones, c'est 2'50. Le temps de compter jusqu'à quatre. Le temps de gueuler Let's go Le temps de cracher un p'tit riff garage. Le temps de tourner sur soi même. Chemises rouge à pois blanc, chaussures à paillettes, cape des Carpates et mèches de cheveux improbables. M'sieurdames : The Fleshtones ! Hey, c'est qu'il est plus tous jeune le Peter Zaremba, mais l'oeil est toujours malicieux et son dévouement à la cause semble sans faille ! L'humour est indéfectible aussi. Marseille, the best pizza ever. Tournez, tournez, pour les Fleshtones ! Et le groupe de quitter la scène 3 morceaux seulement après le début du concert, prétextant un manque de tournage (ou de tournation, je sais plus bien comment on dit...) du public sur soi même. Leitmotiv de la soirée, tourner sur soi. Des marionnettes désarticulées avec leur instrument tournent et crachent leur rock garage avec une détermination certaine. Un public de connaisseurs, mais bien trop peu nombreux, tourne avec nos New Yorkais, avec plus au moins de grâce il faut bien le reconnaître, mais avec toutefois une bonne humeur potache! Mais ou sont donc passé les rockers, non d'une pizza ?? Au Lire la suite
The Fleshtones : Vidéo