Accueil Post Coïtum en concert
Mardi 23 avril 2024 : 6255 concerts, 27084 chroniques de concert, 5411 critiques d'album.


Baroque numérique en duo batterie/laptop qui puise ses influences tant dans les musiques électroniques qu'instrumentales : Rythmiques indie-rock, textures Idm, univers hybride mêlant synthétiseurs new-wave, electronica et sonorités industrielles.

Post Coïtum en concert

Il n'y a pas de concert actuellement annoncé pour cet artiste.

Post Coïtum : l'historique des concerts

Sa.

24

Juin

2017

Oh! Tiger Mountain en concert
Oh Tiger Mountain! ; Post-Coïtum ; Louis Minus XVI Oh! Tiger Mountain | Post Coïtum
L'Embobineuse - Marseille (13)

Sa.

28

Sept.

2013

Ma.

14

Mai

2013

Me.

03

Oct.

2012

Amen Dunes en concert
Joy as a toy + Amen Dunes + Postcoïtum Amen Dunes | Joy As A Toy | Post Coïtum
La Machine à Coudre - Marseille (13)

Lu.

24

Sept.

2012

Black Dice en concert
Black Dice + Post Coïtum Black Dice | Post Coïtum
Embobineuse - Marseille (13)

Post Coïtum : les dernières chroniques concerts 4 avis

PostCoitum + Zar Electrick (Festival Metaboles)

Critique écrite le 17 octobre 2021, par Pirlouiiiit

Ateliers Jeanne Barret, Marseille 26 juin 2021

PostCoitum + Zar Electrick (Festival  Metaboles) en concert

Il y a fort longtemps, une éternité je me suis rendu en vélo du côté des ateliers Jean Barret. Évidemment, ne sortant jamais du 5ème j'ai eu un mal fou à trouver (merci à) Bruno qui a été mon GPS alors que je n'avais plus assez de batterie). C'est vieux ... je me souviens juste que j'étais allé au Roll'Studio juste avant, et que c'était bien. C'était il y a 4 mois et je n'avais pas pris de notes. J'y allais à la fois pour le lieu et pour les groupes, surtout PostCoitum pas vu depuis depuis 2014. Je retombe sur un début de chronique (pas de moi) que je pique sans vergogne et tente de compléter maladroitement, histoire qu'il y ait une trace de ce joli moment de musique, dans un lieu lui aussi sympathique. " Il y a du monde ce soir aux ateliers JeanneBaret, pour deux concerts qui viennent clore le festival d'art contemporains metaboles. L'ambiance est électrique en ce début d'été et en cette accalmie de crise sanitaire, c'est donc avec plaisir qu'on retourne voir des concerts. Il y a du monde, on sent bien " " Zar electrick, est un trio avec line up pour le moins original : un chanteur guitariste un joeuur de Kora et un préposé aux machines, le trio emmène le public une transe electro world. Le chanteur, tout sourire, ne se... Lire la suite

Rone, Aufgang, Postcoitum (festival Reevox)

Critique écrite le 03 février 2015, par Marcing13

Cabaret Aléatoire - Marseille 31 janvier 2015

Rone, Aufgang, Postcoitum (festival Reevox) en concert

Le 31 janvier n'est pas seulement le dernier jour de ce mois c'est également le dernier jour du festival REEVOX. Et pour la clore les festivités, l'affiche est plutôt alléchante. D'ailleurs c'est sold-out, et le public ne s'est pas trompé. Après un live aux grandes tables où un Dj Oil très inspiré, même si le son, un peu trop fort, accentuait les basses, rendant certains morceaux à la limite de l'acceptable, nous a régalé avec sa sélection mélangeant avec brio hip-hop, funk et musique africaine, nous descendons ensuite pour la soirée de clôture du festival Reevox au Cabaret Aléatoire, avec sa programmation très alléchante. Bonne surprise en rentrant, un éclairage de la scène magnifique qui valu à Marc à la photo la remarque suivante : " si c'est comme çà toute la soirée, çà va se régaler (à la photo !)". La soirée commence avec Post-coītum, un duo d'indietronica composé d'un batteur barbu et pieds-nu et d'autre musicien, barbu lui aussi, aux machines. Mélangeant expérimentation électronique, oscillant entre IDM et noisy, ils vont nous offrir un set sérieux, jouant une musique audacieuse et surtout en phase avec ce qui allait suivre. C'est toujours agréable de voir un groupe dit de 1ere partie proposer quelque chose... Lire la suite

(mon) Festival Phocea Rocks 2014 : Tomy & the Cougars, Killboy Powerhead, Quetzal Snakes, the French Revolution, The H.O.S.T., Revolver Klub, Splash Macadam, Sunsick (sun sick), Dagoba, Post-Coïtum

Critique écrite le 04 juin 2014, par Philippe

Espace Julien, Marseille 31 mai 2014

(mon) Festival Phocea Rocks 2014 : Tomy & the Cougars, Killboy Powerhead, Quetzal Snakes, the French Revolution, The H.O.S.T., Revolver Klub, Splash Macadam, Sunsick (sun sick), Dagoba, Post-Coïtum en concert

Phocéa Rocks à l'Espace Julien, 2e édition ! Le plus beau des festivals de grands petits groupes remet le couvert en 2014, une fois dissipé l'écran de fumée de Marseille Capi'Cul' 2013. Eh, Jean-Claude, nous aussi, on est encore là, et largement moins lestés du c... que toi ! Quelques petites innovations tout de même : un prix par concert qui a "largement" augmenté (de 6 euros les 13, à 8 euros les 10, faites le calcul, c'est extravagant !) mais qui, tout en restant foncièrement ridicule, permet de payer un peu mieux les artistes et d'avoir en outre une tête d'affiche pour ce soir-là : les metalleux mondialo-marseillais de Dagoba. Pour ma part, en tant que bénévole à l'inutilité revendiquée (je ne sais rien faire autour d'une scène de concert, à part boire et faire des commentaires vaseux), je suis affecté comme l'an dernier (où ce fut une soirée proprement fabuleuse !) à la caisse, activité au prestige modeste, mais qui nécessite une présence constante et un tout petit peu de sérieux. Caisse partagée encore une fois avec le Mystic Ping Punkqueen. A vrai dire on est tellement mieux organisés que l'an dernier, et avec tellement moins de tickets vendus (hélas), qu'on s'y serait presque un peu emmerdés. D'où des relais plus courts,... Lire la suite

Black Dice, Post Coïtum

Critique écrite le 26 septembre 2012, par Sami

Embobineuse, Marseille 24 Septembre 2012

Black Dice, Post Coïtum en concert

En voilà une soirée bruitiste pour bien commencer la semaine. Première partie assurée par les Marseillais de Post Coïtum dont l'album "Animal triste" (forcément) est sorti au printemps. Ils sont deux sur scène, un à la batterie et l'autre au laptop et au synthétiseur. Bien malin qui pourra décrire leur musique au prime abord assez repetitive mais qui s'avère parfois hypnotique. Les boucles organiques et electroniques se marient bien dans une atmosphère assez difficile à retranscrire mais intéressante à écouter. Quelques titres arrivent à faire bouger de la tête les plus réticents, comme cette reprise innatendue du "Milk it" de Nirvana où ils sont rejoints par un guitariste en robe. Aussi déroutante qu'elle soit, une introduction pertinente à ce qui va suivre. Le changement de plateau est ambiancé dans des teints sombres par les selections hip... Lire la suite