Accueil Rufus Wainwright en concert
Mercredi 24 avril 2024 : 6284 concerts, 27084 chroniques de concert, 5411 critiques d'album.


L'auteur, compositeur, interprète Rufus Wainwright nous présente ses nouvelles chansons : une pop-folk sophistiquée au songwriting racé, magnifiée par sa voix ahurissante de crooner exalté.

Rufus Wainwright : vos chroniques d'albums
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Rufus Wainwright en concert

Il n'y a pas de concert actuellement annoncé pour cet artiste.

Rufus Wainwright : l'historique des concerts

Me.

30

Mars

2022

Rufus Wainwright Grand Rex - Paris 2ème (75)

Ve.

14

Juin

2019

Festival Métis en concert
Rufus Wainwright & Martha Wainwrigh Festival Métis | Rufus Wainwright
Parvis de la Basilique de St-Denis - Saint-Denis (93)

Ve.

05

Avril

2019

Rufus Wainwright Olympia - Paris 9ème (75)

Je.

04

Avril

2019

Lu.

01

Avril

2019

Rufus Wainwright Cirque Royal - Bruxelles

Je.

13

Déc.

2018

Benjamin Biolay & Melvil Poupaud Théâtre Municipal - Béthune (62)

Ma.

27

Nov.

2018

Benjamin Biolay & Melvil Poupaud Théâtre municipal - Villefranche-sur-Saône (69)

Ve.

20

Juillet

2018

Rufus Wainwright Salle des Combins - Verbier

Rufus Wainwright : les dernières chroniques concerts 4 avis

Rufus Wainwright + Leopold Skin

Critique écrite le 18 novembre 2005, par Pierre Andrieu

La Coopérative de Mai, Clermont-Ferrand 16 novembre 2005

Soirée de rêve à la Coopérative de Mai pour les fans de pop n' folk : débutée de manière intimiste avec la folk music du jeune Clermontois Leopold Skin, la soirée s'est poursuivie, après moult péripéties, avec la pop sobrement exubérante d'un Canadien attendu comme le messie, le très doué Rufus Wainwright... Beautiful child Tout commence avec une demi-heure de retard car, son avion étant bloqué par le brouillard à Madrid, Rufus Wainwright ne pourra être sur scène qu'à partir de 22 H 30. Tant mieux pour Leopold Skin, qui se voit attribuer 45 minutes de set pour sa première apparition à la Coopé... Même si le très jeune - 18 ans - musicien blond comme les blés s'en sort très bien dès le début, on sent qu'il est mort de trouille. Et ça peut se comprendre aisément : affronter 400 personnes qui attendent impatiemment un artiste phare (et en retard) avec une guitare en bois, un harmonica et une voix pour seules armes, ce n'est pas une sinécure ! Mais Leopold Skin possède tous les atouts pour séduire le public : une voix évoquant Dylan, des morceaux bien troussés influencés par Robert Zimmerman, Nick Drake et Devendra Banhart, des textes en anglais, un jeu de guitare folk efficace, des parties d'harmonica bien exécutées, sans... Lire la suite

Rufus Wainwright

Critique écrite le 04 décembre 2007, par Eric B

Espace Julien - Marseille 14 novembre 2007

avant toute chose je tiens à présenter mes plus plates excuses, auprès de internautes et de l espace Julien, pour tant de retard dans la rédaction de cette chronique. Mais bon fallait bien que je rende compte de mon retard - déjà - le soir du concert.. .pas du manquer grand chose non plus ( 2 chansons au grand maxi )... La salle est comble et Rufus Wainwright déjà au piano...ce qui attire mon attention tout de suite, tant c'est frappant, c'est la singularité de cette voix, , que je rangerai pourtant dans les voix de baryton ( attention ne pas confondre avec celle de ténor.. ;hé oui savez la baryton c'est celui dans les opéras qui se dispute tout le temps la nana - la soprano - avec le ténor, et qui perd tout le temps. Prestige oblige ) tant elle est proche dans l'ornement du brio et de la délicatesse du ténor et de la puissance et de la profondeur de la basse... Ah oui fi que je prévienne, connais pas du tout l'œuvre du canadien mis à part la La complainte de la butte (une chanson popularisée par Cora Vaucaire en 1954, enregistrée par la vedette du soir pour le BO de Moulin Rouge de Baz Luhrman ) et sa participation à l album I'm a bird de l extraordinaire Antony and the Johnsons à la voix tout aussi singulière mais encore plus... Lire la suite

Rufus Wainwright

Critique écrite le 15 novembre 2007, par Sami

Espace Julien - Marseille 14 Novembre 2007

Heureuse surprise de voir Rufus Wainwright à Marseille, c'est typiquement le genre d'artiste qu'on adore à ne faire que quelques dates en France tous les deux ans, en évitant systématiquement le sud. D'emblée évacuons le seul bémol de ce mémorable concert, fan inconditionnel de son premier album éponyme (paru en 1998) je fus au final un peu déçu qu'aucun des titres (sublimes et à découvrir) qui me l'ont révélé ne figurait dans la setlist, pas plus que sa chanson la plus évidente, "The one you love", curieusement absente. Mais piochant dans le répertoire de ses quatre autres disques parus depuis, le Canadien a tout de même interprété la plupart de ses morceaux les plus emblématiques, accompagné par un groupes de six musiciens (piano, guitare, cuivres, flûte, banjo, ils ne manquaient que les cordes de Van Dyke Sparks) de grande classe qui faisaient également les choeurs. La salle configuration assise est pleine et tout acquise au songwriter qui commence avec le flamboyant "Release the stars" illuminé par une boule à facettes des plus kitch. Viennent ensuite d'autres titres de l'album le plus récent, "Going to a town" et "Rules and regulations" et aussi le plus ancien "Cigarettes and chocolate milk". Le fait d'avoir... Lire la suite

Keane + Rufus Wainwright

Critique écrite le 23 mars 2005, par Marc

Olympia, Paris 22 mars 2005

D'entrée de jeu, laissez-moi vous dire que ce 22 mars 2005 restera une date importante de l'année 2005 des concerts parisiens, et ce à plusieurs titres. Tout d'abord, parce que Keane est sans doute le groupe révélation de la "saison 2004-2005" sur la scène pop-rock internationale. Ensuite, parce que ce concert tant attendu (sold out depuis 3 mois, j'ai d'ailleurs une pensée pour les pauvres Ebayeurs qui ont baillé plus de 50 euros de leur poche pour voir le phénomène!) a tenu toutes ses promesses et a même été au-delà de mes espérances pour ma part. Enfin, parce Keane est le dernier exemple en date de l'amour fou entre la France et la brit-pop imparable enfantée par les énormes Coldplay, qui se produiront également dans cette salle mythique de l'Olympia en juin. Mais qu'on soit clair, il faut arrêter cette comparaison incessante entre ces 2 groupes, qui ont chacun leur propre univers musical et artistique, même s'il est vrai qu'il est très proche sur certains points (notamment le fait de militer pour 1 cause pacifique ou encore le visuel des jaquettes). Et bien sûr des influences comparables, mais la comparaison doit s'arrêter là. Laissons Keane profiter pleinement de sa reconnaissance tant méritée à l'heure actuelle qui ne doit rien à... Lire la suite