Accueil The Raconteurs en concert
Mardi 16 avril 2024 : 6288 concerts, 27081 chroniques de concert, 5410 critiques d'album.


The Raconteurs est la fusion des Greenhornes, de Brendan Benson et de Jack White des White Stripes, c'est un combo de blues-rock explosif pour fans d'amplis Marshall vintage. Les Raconteurs sont de retour avec deux nouveaux morceaux en décembre 2018 ("Sunday Driver" et "Now That You're Gone", qui annoncent l'album "Help Us Stranger" pour 2019) puis des concerts (Olympia de Paris le 26 mai 2019) !

The Raconteurs : vos chroniques d'albums
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The Raconteurs en concert

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The Raconteurs : l'historique des concerts

Di.

26

Mai

2019

Goat Girl en concert
The Raconteurs + Goat Girl The Raconteurs | Goat Girl
Olympia - Paris 9ème (75)

Ve.

29

Août

2008

Rock en Seine en concert
Kate Nash, The Raconteurs, Jamie Lidell, Black Kids, Louis XIV... Rock en Seine | Kate Nash | The Jon Spencer Blues Explosion | Jamie Lidell | The Raconteurs
Domaine National - St Cloud (92)

Sa.

19

Juillet

2008

Benicassim en concert
My Morning Jacket, The Raconteurs, The Ting Tings, Tricky Benicassim | Tricky | My Morning Jacket | Tiefschwarz | The Raconteurs
Playa Costa Azahar - Benicassim

Ve.

18

Juillet

2008

Garden Nef Party Festival en concert
Archie Bronson Outfit + Moriarty + The Raconteurs + Data Garden Nef Party Festival | Data | Moriarty | The Raconteurs | Archie Bronson Outfit
Ferme des Valettes - Angoulême (16)

Di.

06

Juillet

2008

Werchter Rock Festival en concert
The Raconteurs, Kaiser Chiefs, Beck, dEUS Werchter Rock Festival | Beck | dEUS | Kaiser Chiefs | The Raconteurs
Plein Air - Werchter

The Raconteurs : les dernières chroniques concerts 11 avis

Jack White & Ko Ko Mo (The Supply Chain Issues Tour)

Critique écrite le 18 juillet 2022, par Pierre Andrieu

Le Radiant, Lyon 7 juillet 2022

Jack White & Ko Ko Mo (The Supply Chain Issues Tour) en concert

Pour la première étape française du Supply Chain Issues Tour (qui se terminera par trois Olympia de Paris les 18, 19 et 20 juillet), Jack White - qui est clairement dans sa période bleue, voir la couleur de ses cheveux, de ses guitares et des éclairages - était au Radiant de Lyon/Caluire pour y donner un concert faramineux dont il a le secret. Un truc à base de show très (trop ?) orienté solos de guitare, de tubes chromés et, bien évidemment, de "Po Popo Po Po Pooo Po". Le tout présenté avec gros light show et vidéos classes en compagnie de son groupe d'authentiques killers (comme lui) : Dominic Davis (basse), Quincy McCrary (claviers) et Daru Jones (batterie). Pour cette soirée sans téléphone (Jack est un control freak), le contexte se présente comme ceci : on subit d'abord une première partie assurée par le groupe français Ko Ko Mo (trop d'influences Led Zep et de gesticulations, pas assez de chansons), en essayant de boire des bières pour se rafraîchir (la clim est en panne), mais il est difficile de circuler car la salle est bondée (trop de places de vendues ?) et ne bénéficie que d'une seule porte d'entrée et de sortie, on circule donc très difficilement. Puis, les 2500 personnes qui remplissent Le Radiant en... Lire la suite

The Raconteurs

Critique écrite le 27 mai 2019, par Samuel C

L'Olympia - Paris 26 mai 2019

The Raconteurs en concert

Jack White à l'Olympia en 3 actes : En 2003 avec les White Stripes, le duo des vrais-faux frère/soeur est à son summum sur disque et dépoussière clairement un rock qui vivotait depuis 6/7 ans. Se produire à deux sur une grande scène est un vrai défi, les White Stripes ne sont cependant pas à la hauteur de l'enjeu, malgré l'intensité du set et son côté très démonstratif, il manque alors ce fameux petit quelque chose en plus ! "Seven nation army", joué ce soir-là, est par ailleurs le dernier grand hymne rock et de stade connu à ce jour. 15 ans plus tard, Jack White est devenu un digne représentant du CAC40 de la musique actuelle. Très exigeant, voire puriste, il presse des vinyles, sort des albums en solo réussis, fait salle comble un peu partout et exige des concerts sans téléphone. Il s'autorise alors "Boarding House Reach", assez expérimental et donc difficile d'accès. En live, on voit clairement que c'est lui le boss, ses musiciens ont le petit doigt sur la couture du pantalon : on assiste à un exercice de style où un hommage permanent... Lire la suite

Jack White (Nuits de Fourvière 2018)

Critique écrite le 09 juillet 2018, par Pierre Andrieu

Théâtre antique de Fourvière, Lyon 8 juillet 2018

Jack White (Nuits de Fourvière 2018) en concert

Les Nuits de Fourvière ont eu droit à un grand Jack White le 8 juillet ! Venu pour présenter son dernier disque en date, l'ambitieux et un peu délicat à appréhender au début Boarding House Reach, l'ex leader des White Stripes (teint blafard sous lumières bleues) n'a pas fait les choses à moitié avec une set list de rêve offrant un panorama imprenable sur toute sa carrière (et dans laquelle il ne manquait que Fell In Love With A Girl à notre humble avis), un groupe composé de cadors pour l'accompagner, un éclairage de haute tenue et un son certes surpuissant mais globalement bien réglé... Dès le début de la prestation de Mister White avec l'enchaînement imparable Over and Over and Over/Dead Leaves and the Dirty Ground, le public comprend à quoi il va avoir affaire pendant 1h45 : à un putain de best of 2001/2018, un show très orienté guitare... Ce qui a l'air de surprendre notre voisin et néanmoins ami, qui ressemble au Colonel Kurtz dans Apocalypse Now, tout en ayant la particularité d'être fan de Massive Attack et PJ Harvey. Oui monsieur, Jack White sur scène se présente en chef d'orchestre entouré de moult guitares, dont il joue abondamment et avec délectation. Et son groupe, qui reste sur une estrade derrière le maître et... Lire la suite

Jack White

Critique écrite le 05 juillet 2018, par Samuel C

L'Olympia - Paris 4 juillet 2018

Jack White en concert

Jack White s'affichait en lettres rouges sur le fronton de l'Olympia pour deux soirées (comme en 2012 et 2014). Ces dates ont été sold out en quelques minutes, l'une après l'autre. Les autres concerts où se produit White sont également complets en France : les nuits de Fourvière et le Festival Beauregard. Son nouvel album est expérimental, voire difficile d'accès, mais aller revoir le fondateur de Third Man Records, plutôt intègre et visionnaire dans tout ce qu'il crée, relève d'une gageure largement supérieure à toute autre considération ! A travers ses multiples formations (The White Stripes évidemment, mais aussi The Raconteurs, Dead Weather et en solo) John Anthony Gillis -son identité à la ville- peut faire songer à Neil Young au regard de la variété des styles abordés et de sa inventivité incessante : "Boarding House Reach" étant peut-être son "Trans" à lui. Alors que du hip-hop old school résonne dans les enceintes, le public majoritairement quadra et CSP+ (le prix des places oscillait entre 52 et 68€) savoure sa bière de base qui est sûre d'arriver en demi d'après une publicité ! Jack White n'est pas une bête de scène, mais grâce à son mètre 88 il occupe pleinement l'espace. Accompagné de 4 musiciens, une... Lire la suite

The Raconteurs : les chroniques d'albums

The Raconteurs : Consolers Of The Lonely

Chronique écrite le 08/06/2008, par Philippe

The Raconteurs : Consolers Of The Lonely

Les Raconteurs ont lâché il y a déjà quelques temps sans crier gare, ce nouveau disque dans la nature. Le super-groupe est comme chacun sait formé du plus grand guitar hero en activité, Jack White, de membres du méconnu quoiqu'excellent groupe The Greenhornes et du chanteur Brendan Benson. On avait été enthousiasmé par leur premier et trop court disque (on l'a acheté par pur snobisme en version australienne, le groupe s'appelant là-bas The Saboteurs). On avait aussi adoré leur façon explosive et jouissive de le défendre sur scène, notre sang n'a donc fait qu'un tour... Consolers of the Lonely serait donc la devise plutôt poétique de certains facteurs aux USA ; la chanson-titre est dans la droite lignée de Broken Boy Soldier, riff basique de plomb liquide et chant pêchu, où Jack ne tient pas plus d'une minute avant de se mettre à miauler furieusement.... Lire la suite

The Raconteurs : Broken Boy Soldier

Chronique écrite le 08/05/2006, par Philippe

The Raconteurs : Broken Boy Soldier

L'idéal pour découvrir The Raconteurs aurait sans doute été de ne pas savoir qu'un certain Jack White y officiait à la six-cordes. Car le fait est qu'on y recherche forcément la trace de sa voix, sa guitare en fusion, voire l'inspiration des Bandes Blanches (qui n'est pas trop évidente, et au fond tant mieux). Ayant (peut-être ?) fait le tour des possibilités de révolutionner le rock avec les beats minimalistes de sa vraie-fausse soeur Meg et 5 albums phénoménaux des White Stripes (dont 4 chroniqués sur ce site), le meilleur bluesman de moins de 40 ans actuellement en activité officie donc dans un nouveau projet avec, pour citer les propos d'un ami, un "nom qui bute" : The Raconteurs ! Au départ, ayant simplement voulu voir ce que donnerait sa voix et sa guitare posée sur un "vrai" groupe, il a enregistré une chanson sans penser à plus : Steady as she goes, associé au songwriter méconnu Brendan Benson. Le résultat dépotait bien : des couplets mélodieux au son indubitablement plus riche, et refrain où il put lâcher ses fameux riffs assassins. La sauce ayant pris, le projet est finalement devenu un album complet, Broken Boy Soldier. Première... Lire la suite

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