Accueil Chronique album : Elliott Murphy - Aquashow Deconstructed, par Jacques 2 Chabannes
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Critique d'album

Elliott Murphy : "Aquashow Deconstructed"

Elliott Murphy :

Pop - Rock

Critique écrite le 12 mars 2015 par Jacques 2 Chabannes

"Déconstructif"...
(Tiens, j'aurais hésité longuement entre "Déconstruit" et "Instructif", que ça ne m'étonnerait pas...)

À la veille de ses traditionnels Birthday Shows (concerts anniversaires), donnés chaque année au mythique New Morning de Paris en compagnie du trio des Normandy All Stars, le plus Parisien des songwriters New Yorkais, Elliott James Murphy, se fend de deux nouvelles sorties/publications : un EP (déjà chroniqué ici : https://www.concertandco.com/artiste/elliott-murphy/critique-cd-achat-vente-18400.htm) tout d'abord, puis une passionnante réécriture, "posée du propos", de son séminal et génialissime Aquashow (1973).
Je sais que c'est la même intro que pour ma chronique de Poetic Justice, et alors, il reprend bien son premier disque en intégralité, le sieur Elliott...
Tandis que je méditais sur les dégâts apparents (ou plus profonds) occasionnés sur ma petite personne par une écoute linéaire et posée - seul, dans le noir, allongé sur canapé ! - de cette étrange (idée de) relecture de Aquashow par son géniteur, c'est un coup de téléphone "ami", qui m'aura permis d'y voir un peu plus clair sur la façon de l'aborder puis le détailler. À l'autre bout du fil, mon vieux pote "X" (que l'on nommera prosaïquement Rockstar 73, ici, vu que c'est le pseudo qu'il utilise un peu partout sur le Net et qu'il est raide dingue d'Aquashow depuis sa lointaine sortie au tout début des années soixante-dix).

Rockstar 73 (pincé de la voix)
Alors, tu l'as écouté, dis... t'en penses quoi ?

Ma J2C pomme (faignant l'ignorance, ou bien essayant de gagner du temps) :
De... quoi ?

Rockstar 73 (impatient et nerveux)
Tu sais très bien "de quoi", puisque tu l'as eu en avance... chien galeux de journaleux que tu es, chanceux !

Ma J2C Pomme (d'un air dégagé, sûr de son fait) :
De quoi tu te plains, je sais très bien que tu l'as aussi déjà écouté, te connaissant, tu n'auras pas pu tenir et téléchargé... vrai ?

Rockstar 73 (Un rien dépité du ton)
Mouais, mais, moi, c'est pas le "vrai"... c'est juste un putain de MP3 piqué sur le Net en attendant de le prendre au New Morning... comme chaque année ! Bref... C'est pas terrible, non ? Enfin, moi... j'ai pas beaucoup aimé, enfin, moi... j'ai pas tout le temps tout bien reconnu, moi, enfin... c'est pas comme l'original, quoi... pas vrai ?

Ma J2C Pomme (sec, mais détaché du ton)
Quel visionnaire tu fais, dis-moi ! Évidemment que c'est pas l'même, c'est même le but, qu'il soit différent... complètement et "déconstruiement", différent, mais... c'est génial, de voir un homme et musicien de 66 ans boucler la boucle en reprenant la totalité de son premier album, sa carte de visite, son propos initial, ce qu'il avait à dire au monde, quoi, haut et fort... mais avec le recul inhérent à son âge... et quarante deux années passées sur la route à les jouer... ou s'écouter les jouer... puisque, quand tu es sur scène, tu te les reprends aussi pleine poire...

Rockstar 73 (Un rien blasé du ton)
... Stop, assez ! Fais pas ton "érudit de privilégié à la noix", s'te plaît, hein ? Ben, si tu veux savoir, ce que, MOI, j'en pense...

Ma J2C Pomme (fataliste du ton)
... Non, en vrai, mais, te connaissant, ce ne sera pas possible de faire autrement, alors, vas-y, je t'écoute...

Rockstar 73 (Un rien énervé du ton)
... Pffffff ! Ben, moi... j'suis déçu parce que c'est "mou" et que j'retrouve pas la tonalité du "vrai", voilà ! Tiens, tu prends Last Of The Rockstars, par exemple...

Ma J2C Pomme (rigolard du ton)
... C'est facile, c'est la première du disque ! Et la plus connue de toutes, en plus...

Rockstar 73 (Un rien plus bas du ton)
... N'importe quoi, mais... je le trouve "molle", moi : j'retrouve pas DU TOUT la rythmique initiale, et, et... c'est pareil pour Marylin, ou, ou, bien, tiens... pour White Middle Class Blues : qu'est vachement plus "ronde", comme qui dirait plus aérée... moins "sèche" quoi, sur le nouveau... et puis, j'aime pas les cordes sur Don't Go Away ! C'est trop pleurnichard et ça colle pas avec le côté "j'existe, j'veux que vous m'écoutiez et j'vais vous en mettre plein la vue avec mes putains de bonnes chansons et mon premier disque fantastique, et... tout bouffer : vos pensées, votre cervelle et... vous avec, en plus !", voilà !

Ma J2C Pomme (malicieux du ton)
Ha bon ? J ‘aime beaucoup cette fin en apesanteur de Don't Go Away et ses entrelacs de cordes et voix, mais, bon... T'as fini, là ? Tu me laisses une chance de pouvoir LE défendre ?

Rockstar 73 (Un rien bougon du ton)
Évidemment... faut toujours que tu penses pas comm'tout l'monde, toi, que tu prennes les choses à contre-pied, toi, t'aurais dû être un putain de footballeur... tiens !

Ma J2C Pomme (acide du ton)
Comme ça j'aurais pu bosser chez les gratuits du métro, ou dans la "presse musicale à 180 signes la chronique", avec la totalité de mes 148 mots dispos en banque pout tout dire ! Pour le reste, je ne suis pas du tout d'accord avec-toi, sur... à peu près rien ! Je me demande même si tu l'as écouté, ce disque, ou bien si tu as juste réécouté le Aquashow "original" en imaginant ce qu'il pouvait y avoir de mauvais dans le Deconstructed... ou bien en y ajoutant machinalement les arrangements d'origine, tellement t'es de mauvaise foi. T'es pourtant pas con, le reste du temps, enfin... quand il s'agit pas d'Elliott, Dylan ou Springsteen...

Rockstar 73 (Un rien maugréant du ton)
... C'est Elliott, MON préféré, tu l'sais très bien, toi...

Ma J2C Pomme (sarcastique du ton)
TOUT le monde, le sait, oui. Tout le monde. LUI, y compris. Mais bon, je ne crois pas que là, tu l'aies compris... lui ! L'album est une réussite, à quelques détails près, et, en plus... Sa relecture de Last Of The Rockstars, pour ne citer qu'elle, est magnifique : habile, ample, construite, enfin dé-construite... et je ne te parle même pas de How's The Family... j'ai carrément failli pleurer en l'entendant, tellement c'était beau, tellement on sentait que le gars Elliott était "dedans", bardé d'émotions de toutes sortes, euh... chargé de sentiments humides et contradictoires... mais avec un certain regard juché plus haut, cette fois, que lors de l'impétueuse adolescence... une sorte de recul, de... comme s'il l'avait à la fois "digérée", cette œuvre musicale majeure, mais en même temps reprise pleine poire, rapport aux mots, à son âge, à sa trajectoire, depuis... à sa paternité, à sa gloire relative, à, à... tu m'arrêtes, hein, quand je t'ennuies ou que tu trouves que j'en fais trop, ok ?

Rockstar 73 (Un rien abattu du ton)
T'en fais TROP ! Comme souvent. Tout ce que tu fais est trop "long", de toutes façons : "détaillé", "mûri", "fouillé", "travaillé en amont", euh... enfin, d'après-toi, bien sûr... selon tes propres mots...

Ma J2C Pomme (acide du ton)
Et, c'est... mal ? Quoi qu'il en soit... cette nudité, sur Last Of The Rockstars, ces acoustiques, cette percussion sourde, en fond, ces quelques notes de piano en soutien ou contrepoint du chant... c'est un peu comme si l'artiste se dévoilait tout net ; comme si le songwriter d'aujourd'hui répondait à son jeune pendant... comme s'il le rassurait aussi, bizarrement, en le confortant sur son avenir, sur ce Rock'N'Roll qui est toujours là, tout comme lui, contrairement à tant d'autres comme Janis, Jimi, Mama Cass, John Lennon, Brian Jones, T-Rex, Elvis... et tous les autres depuis, en passant par Nick Drake, Ian Curtis, Kurt Cobain, et...

Rockstar 73 (Un rien remonté du ton)
... Tout ce que je vois, MOI, c'est qu'Elliott a dit qu'il avait "beaucoup lutté avec cette nouvelle version !", que c'est "celle qui lui avait donné le plus de mal !", et que je comprends mieux pourquoi, en l'écoutant, voilà ! C'est tout de même dommage de sacrifier comme ça son hymne, sa chanson phare, c'est lui qui le dit sur son site... que ça aurait dû être son Born To Run à lui, si Polydor l'avait mieux poussée et avait eu plus d'impact, de présence aux States, et ailleurs... en termes de capacités et force de vente...

Ma J2C Pomme (rétrospective du ton)
C'est certain que ce disque aurait mérité mieux, à l'époque, oui. Mais, c'est pire aujourd'hui, vu qu'il n'est même plus dispo en CD ou qu'il faut débourser 100 Euros et quelques, pour pouvoir se l'acheter sur le Net ! Il serait temps que Polydor se bouge pour en sortir une version "Deluxe avec inédits", comme le demande Elliott, ou tout du moins l'album, au moins ! Quand tu vois les chansons qu'il contient : Hangin' Out, Hometown, Marilyn... Je suis sûr que c'est UNE des raisons qui auront poussé Elliott à le sortir : il est enfin dispo, d'une certaine façon, pour 15 Euros ! Pas l'original, ok, mais bon, les chansons, elles, le sont désormais, et c'est plutôt cool !

Rockstar 73 (Un rien sombre du ton)
J'crois pas, non... j'crois qu'il voulait juste se faire plaisir, ou bien gagner du temps avant de...

Ma J2C Pomme (vif de ton)
...Pas d'accord... d'une certaine façon, ça lui permet de réparer une DOUBLE injustice, en le réenregistrant : Un : le fait que le disque n'ait pas marché comme il l'aurait dû à l'époque, alors que c'est un putain de classique ! Deux : que le disque ne soit même plus "trouvable" ni édité en CD : alors il le fait tout seul... tente de réparer, mais sans acrimonie ni colère, il pointe, juste... même si c'est aussi un double aveux d'échec, d'où, belle humilité" de sa part... c'est beau ! Et on peut de nouveau le mettre à portée d'une plus grande frange de gens...

Rockstar 73 (Un rien radouci du ton)
C'est LE bon côté, oui, mais, honnêtement, t'as aimé le version de Marylin ? J'ai trouvé ça "bastringue", surtout le moment où ça s'accélère, là, on sent la boîte à rythmes, comme dans Hangin' Out, aussi...

Ma J2C Pomme (didactique du ton)
Je la trouve plus "distanciée", plus "au fait" des réalités, moi : ok, c'est peut-être la fin du rêve Hollywoodien, mais, bon, comparé à tout ce que nous avons vécu depuis... et puis... Hangin' Out, au fait, je la trouve plutôt "batarde", parce que trop "entre la version originale d'Aquashow et les actuelles versions Live"... j'aurais par ailleurs aimé qu'il les bouge un peu plus... certaines des autres comme Poise'n Pen... White Middle Class Blues, même si je la préfère sans le côté Highway 61 Revisited du gars Zimm', trop présent sur l'originale, et... et surtout Graveyard Scrapbook... dont la rythmique dense et épaisse et l'harmonica, encore plus à la fin, le "Mur du Son", là, me fait un peu trop penser au She's The One du Boss en Live...

Rockstar 73 (Un rien pensif du ton)
Peut-être bien, oui... il faudra que je la réécoute pour me faire mon idée, mais, bon... je reste sur ma faim, avec ce disque : je suis certain qu'il a plein des autres chansons de côté ! Qu'il les sorte vite, au lieu de revisiter son propre répertoire, déjà qu'il n'y a eu qu'un EP, l'année dernière, merde, on a été habitué à mieux, avec Elliott ! T'en penses quoi, toi, de "ça" ? Du fait qu'il fainéante un peu, en ce moment...

Ma J2C Pomme (didactique du ton)
Qu'il a beaucoup œuvré jusqu'ici, et qu'il a sorti que du "bon", en plus, depuis Beauregard : il a bien mérité de poser un peu le coude à la portière de sa 53 Chevy en abordant les filles qui marchent tranquille le long de la Seine... juste pour le "Fun" !
Et... "Quand tu as enfin trouvé ce qui te manque / Tu ferais mieux de regarder qui tu embrasses / Parce que, lorsque la musique s'arrête / Tu commences à écouter l'unique son de ton cœur qui bat...".

(Rockstar 73 se contente de me fixer d'interrogation, mutique du ton, il écarte les bras et écarquille l'œil bien large...)

Ma J2C Pomme (supérieur du ton)
C'est un extrait des paroles de Graveyard Scrapbook ! Je me demande comment il voit cela aujourd'hui, et ce qu'il a dû ressentir en les chantant, 42 années plus loin... de même que : "Et si tu aimes l'idée même de l'amour / Ta naissance ne connaîtra jamais de fin... dans How's The Family ! Ou bien : "La boîte de Pandore ne pouvait tout savoir / Elle n'a jamais été jusqu'à Beverley Hills", dans Poise'N Pen !

Rockstar 73 (déstabilisé du ton)
Tu... tu peux pas parler "musique" seulement, de temps en temps... c'est vrai, quoi, t'es toujours comme ça : t'es le genre de gars qui va chez les putes pour les écouter te dire pourquoi elles font "ça" et pourquoi elles en sont arrivées là, pas vrai ?

Ma J2C Pomme (poétique de ton)
"Ce que tu entends n'est que le côté sombre de chaque blague / Ou le son de ces putes Françaises qui te regardent fixement en fumant...", c'est également dans Poise'N Pen...

Rockstar 73 (abattu du ton)
À la limite, je m'en fous, de ce qu'il raconte, dans ses chansons, le gars Elliott, je suis Français, putain... FRAN-ÇAIS ! Par contre, j'suis peut-être pas fortiche en traduction, mais je peux te dire... Un : que je n'comprends pas très bien ce que tu viens de dire ! Et, que, deux : on en parlera dans quelques jours, quand je l'aurai mieux écouté, mais que, bon... mon apriori n'est pas terrible... Y'a plus de chances que je réécoute l'original que celui-ci, même si je m'attendais à pire...

Ma J2C Pomme (dédaigneux du ton)
T'es qu'un putain de passéiste ! C'est pas l'œuvre d'Elliott, que tu aimes, que tu vénères, c'est le souvenir de ta jeunesse et le "shoot" que t'as procuré Aquashow à sa sortie, rien de plus... que tu recherches dans tous ses disques, sans débander depuis, d'ailleurs...

Rockstar 73 (morne de ton)
... Sans qu'aucun n'ait jamais été aussi bon, en plus...

Ma J2C Pomme (agressif du ton)
Tu vois bien que c'est là que le bât blesse... alors qu'il aura été tout du long au niveau et que je n'échangerais pas TON Aquashow contre Beauregard, par exemple, ou bien Sellin' The Gold, ou... Après le Déluge, non plus...

Rockstar 73 (sec de ton)
N'importe quoi ! C'est SON chef-d'œuvre, et c'est comme ça... POINT ! Il avait pas le droit d'y toucher, d'après-moi...

Ma J2C Pomme (donneur de leçon du ton)
Je te rappelle tout de même qu'il est à LUI, Aquashow ! Qu'il vient de LUI ! Qu'IL l'a crée et que cela lui appartient... contrairement à ce que tu peux penser, juste parce que tu le suis depuis sa sortie...

Je me suis arrêté-là - il m'a planté et raccroché aussi sec, avant de me rappeler le surlendemain pour me dire qu'il le trouvait "pas si mal que çà, en fait, mais moins bon que l'original !" - tout en sachant que ce genre de discussions entre gens raides barrés peut durer encore et encore et... encore. Vu qu'ils n'ont que ça à foutre et que leur passion bouffe tout, tout et tout le temps. Et puis, d'une certaine façon, il fallait bien finir par trancher entre les deux visions/avis, au bout du compte, et, comme c'est MA chronique...
Comme vous avez été assez souples (enfin, celles et ceux qui auront été au bout de cette chronique de concours) sachez que je ne peux que vous pousser à franchir le pas et écouter religieusement (sans lui vouer de culte non plus !) ce modèle de réécriture qu'est Aquashow Deconstructed : ne serait-ce que pour aborder d'un meilleur pied les prolifiques mais comptées prochaines années de notre vie terrestre commune. Ceci ne formant rien moins que la bande-son d'un vie rêvée, incontournable pour (re)découvrir l'écrivain niché à l'ombre sous les dix pierres musicales humides polies de savoir faire d'Aquashow Deconstructed, ou bien se replonger plus avant dans l'œuvre pléthorique et accomplie (35 albums & EP, 6 romans et recueils de nouvelles, de nombreux articles et notes d'albums) de cet auteur de grand talent trop peu souvent exposé de medias, invité ou cité par le milieu journalistique spécialisé, mais que ses fans de longue date chérissent sans retenue comme une œuvre d'art à part entière... eux !

"... Elle se contente d'un oreiller pour dormir / Ainsi que de la mémoire, qui s'estompe peu à peu / D'un mari qui aura essayé de tout faire correctement / Jusqu'à ce que son cœur ne hurle puis ne lâche tandis qu'il lui faisait l'amour, au cours de leur dernière nuit..." (How's The Family/Aquashow)

 Critique écrite le 12 mars 2015 par Jacques 2 Chabannes
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