Accueil Chronique album : BAWON SAMDI - GEDE, par Pirlouiiiit
Jeudi 25 avril 2024 : 6240 concerts, 27085 chroniques de concert, 5412 critiques d'album.

Critique d'album

BAWON SAMDI : "GEDE"

BAWON SAMDI :

Autres / vaudou

Critique écrite le 11 janvier 2004 par Pirlouiiiit

Bawon Samdi est le seul des nombreux projets de Dominique Viger ou celui-ci se met en scène seul, seulement accompagné de sa contrebasse et de nombreuses machines. Si le premier morceau Bawon Samdi sonne résolument vaudou, dès le deuxième morceau messe celui-ci se lâche et part dans tous les sens comme a son habitude. Sifflements, murmures, chuchotements d'une voix inquiétante, entrecoupés de hurlements et autres sonorités étranges... a moins que ce ne soit le contraire d'ailleurs. Funky Love commence par le délicieux son des cigales (du bayou) vire vite a l'orgie de gargouillis avant de laisser place a un refrain maltraité "Comment faire autrement qu'aimer ?" par un chien notamment. Suivent le très bestial Invitation, quelques Incantations, un très court Papa lega (peut être le morceau le plus mélodique du lot), et un Rêve qui après son intro cauchemardesque nous assène une démonstration de beat box et incantations. Au final 8 titres déconcertants dans lesquels on retrouve quelques uns des ingrédients qui font Homosuperior. Mais la contrairement a la nouvelle demo d' Homosuperior qui s'écoute avec plaisir chez soi, on conseillera au curieux d'aller plutôt voir Bawon Samdi sur scène car la composante visuelle aidera certainement a rentrer dans l'atmosphère embrumée ce nouveau projet.

2003 (Homosupertrucs)
Vignette Pirlouiiiit

 Critique écrite le 11 janvier 2004 par Pirlouiiiit
 Envoyer un message à Pirlouiiiit

Homosuperior : les chroniques d'albums

Homosuperior : DEMO

Homosuperior : DEMO par Pirlouiiiit
09/08/2003
Ca commence un peu brusquement avec une alternance, hurlements, rythmes entraînants et vomissements ... mais pour ceux qui ont déjà vu les Homosuperior sur scène, rien de bien surprenant n'est ce pas ? Ce groupe ne semble prendre son plaisir qu'à... La suite