Accueil Chronique album : The Dears - Gang Of Losers, par Pierre Andrieu
Jeudi 28 mars 2024 : 6615 concerts, 27064 chroniques de concert, 5409 critiques d'album.

Critique d'album

The Dears : "Gang Of Losers"

The Dears :

Pop - Rock

Critique écrite le 20 septembre 2006 par Pierre Andrieu

Nouvel album aussi épique que romantique pour les Canadiens de The Dears, après No Cities Left, paru en 2004... Sur Gang of losers, le groupe de Montréal continue à proposer des morceaux pop/rock envoûtants portés par un chant de crooner désespéré ou énervé, entre Morrissey et David Bowie. Les atmosphères aussi ténébreuses qu'excessives distillées par The Dears, avec force guitares héroïques, chant emphatique et claviers eighties, sont très prenantes la plupart du temps ; l'auditeur se sent pris au piège des sentiments révélés par les titres, il est littéralement charmé par le flot de mélancolie qui s'échappe des compositions de ce groupe étrange. Ce disque, à la fois singulier et lisse, ne plaira pas à tout le monde ; son côté sur le fil du rasoir, toujours à la frontière du rock FM sur certains passages peut irriter. Cela dit, Gang of losers a le grand mérite d'avoir en réserve des tubes imparables comme Ticket to imortality ou encore Death or life we want you. Les chansons étourdissantes - on pense souvent aux inestimables Smiths - côtoient donc quelques essais plus anecdotiques sur ce disque chaotique, énigmatique et souvent fascinant...

Sites Internet : www.thedears.org, www.myspace.com/thedears, https://cooperativemusic.com.

Août 2006 (Cooperative Music / Bella Union / V2 Music)
Vignette Pierre Andrieu

 Critique écrite le 20 septembre 2006 par Pierre Andrieu
 Envoyer un message à Pierre Andrieu

The Dears : les chroniques d'albums

The Dears : No Cities Left

The Dears : No Cities Left par Pierre Andrieu
01/12/2004
Pochette sombre et mystérieuse, voix saisissante, musiques intriguantes, morceaux bien écrits aux humeurs versatiles, atmosphères aussi étranges que changeantes : le groupe canadien The Dears vient de faire une entrée fracassante dans notre... La suite