Accueil Chronique de concert AC/DC + The Answer
Vendredi 29 mars 2024 : 6573 concerts, 27065 chroniques de concert, 5409 critiques d'album.

Chronique de Concert

AC/DC + The Answer

AC/DC + The Answer en concert

Stade Vélodrôme, Marseille 9 juin 2009

Critique écrite le par


Tôt le matin déjà, pas résisté à l'envie d'aller voir près du stade Vélodrôme ce qu'il en était. Pas encore grand chose à voir à part l'impressionnante ribambelle de camions et de bus noirs - ça doit faire un sacré barnum quand tout ceci se déplace ! Quant aux fans hardcore que j'espérais déjà apercevoir, ils sont peut-être (sûrement) déjà là mais, je l'apprendrai plus tard, de l'autre côté du stade, par où l'on accède aux pelouses. Ben oui, Un VRAI fan va sur la pelouse, c'est un fait, à moins d'être trop vieux pour marcher - ce qui peut certes arriver pour les fans d'un groupe qui a cette année 35 ans au compteur...


Parti honteusement tôt du bureau, je me dirige cette fois-ci vers "the place to be" à Marseille ce jour à 17 h 00, côté Dromel, ouverture des portes pour l'entrée au concert d'AC/DC, groupe mythique, ou plutôt mythologique, qui nous fait ce jour l'honneur insensé de venir fouler la pelouse chevrière du Stade Vélodrôme ! Ce n'est donc pas parce que je les ai déjà vus il y a 3 mois à Bercy (où ce fut largement assez formidable pour avoir envie de rempiler) que je ne vais pas me déplacer - car avant qu'ils repassent ici, il peut nous tomber à tous un bras, a priori. Qu'à cela ne tienne, je prends la décision de repasser quand les ultras seront cuits à point. Et là, GROSSE déception à 16.45 : sans doute peu habitués à gérer autant de ferveur (ha, ha !), les (petits slips d') organisateurs ont ouvert les grilles avant les 17 heures annoncées...


Je ne pourrai donc pas faire la photo/vidéo dont je rêvais : l'ouverture des grilles et la course éperdue des fans tanqués là depuis le matin dans la poussière de l'esplanade (assurément un truc comparable à la charge des orques dans le Seigneur des Anneaux III), pour aller se coller tout devant, et être sûr de bien voir les chaussures d'Angus Young... Quand j'arrive, sous un soleil de plomb, les gens rentrent donc normalement : il y en a bien quelques uns qui courent mais, hey, vous et moi on sait bien que c'est pas les vrais fous du combo australopithèque ! En tout cas j'ai une petite pensée pour ces gens qui vont attendre en principe 4 heures et se taper The Answer, en plus d'un autre groupe de lampistes locaux en plateau, avant de voir leurs idoles - ça va chauffer ! Pour ma part, je reviendrai tranquillement bien plus tard - I overdosed on You !.


Let there be Rock !... Retour sur place environ 3 heures plus tard. Quelques bières éclusées en bande sur l'esplanade, comme le veut une tradition immuable ainsi qu'un simple principe de précaution (se mettre à moitié dans le rouge avant, au cas où l'alcool serait prohibé ou juste prohibitif sur place, puisqu'on a déjà vu les deux ici même...). Impressionnant ensuite d'entrer dans le stade Vélodrôme par en bas, par la pelouse (et sans même entendre Van Halen), et de voir ces tribunes déjà presque entièrement garnies, même si le fameux effet "cornes clignotantes" fait un peu un flop en cette fin d'après-midi encore très lumineuse - ça marchera mieux dans deux heures !


Pour le reste, là-bas devant, The Answer est le même groupe que la dernière fois : des sous-Led-Zep de balloche condamnés à jouer à fond, en mono dirait-on, sans pouvoir mettre un pied sur l'avancée dans le public, ni utiliser les écrans géants, le tout étant fait exclusivement pour mettre en valeur le show géant qui va suivre... Pas vu les pistonnés de Café Bertrand mais si leurs conditions étaient encore pire, chapeau pour eux. En plus The Answer n'a objectivement pas vraiment de chansons, c'est tout au plus une agréable bande-son. J'aurais préféré Wolfmother, dont j'arbore fièrement le sublime T-shirt : australiens aussi, chauds, sales et humides aussi, trois tueurs que n'importe quel lecteur acé-décien de cette chronique devrait aimer aussi ! Même Crying out, la finale de La Réponse (en principe la meilleure chanson pour un groupe plateau), s'empêtrera et s'éternisera sans but apparent...


L'occasion donc de faire le tour - pas si grand - du propriétaire (ben oui, c'est la Ville qui paye ce stade avec mon argent, remember ?) : une demi-pelouse arrière (un-gold donc, au sens non-or) protégée sous plastique, un bar assez minuscule censé abreuver plusieurs milliers de gens quand même (j'y passerai presque 10 minutes pour une bière, par simple désoeuvrement), et en bonus un pass all-access pour les chiottes "Trainspotting" du virage sud du Vélodrôme, où chaque porte en fer qui claque vous emporte plus d'audition que 5 minutes de solo de Gibson SG de qui vous savez. Ciel bleu, nuages pour la déco, pas de vent et CA c'est un coup de bol, parole de marseillais, le mistral vous aurait tué le concert, malheureux !


L'occasion aussi de contempler la collection de T-shirts, cornes à la con et autres goodies AC/DC sortis ou ressortis pour l'occasion. Manque la guitare gonflable, sans doute sold-out. Mention spéciale au T-shirt vintage gris-souris, à la police minimaliste et élimée, "AC/DC Est.1973", fièrement arboré par des quadra/quinquagénaires, l'air de dire, Ouais, c'est mon vieux t-shirt d'Ass'Dèsse, il était noir et le texte blanc au tout début, mais je l'ai beaucoup porté en trente ans car MOI je suis un vrai fan, pas comme TOI 'spèce de p'tit con !. L'illusion est quasiment parfaite, je suis impressionné par le premier que je vois, jusqu'au moment où je réalise qu'il est en vente au merchandising, le collector ! Acheter un faux vieux t-shirt, franchement, vous avez pas un peu honte, les poseurs ?


Belle opération en tout cas, c'est un succès commercial ! Tout comme le set heureusement court de The Answer et finalement assez applaudi (plus qu'à Paris même je crois) qui a hélas gagné le droit, outre de sortir de l'anonymat des pubs irlandais (où il était sûrement plus convaincant et en place), de re-revenir nous les briser aux Eurockéennes dès juillet ! Pendant ce temps, certains éléments du public commencent à être ronds comme des queues de pelle, il est temps que ça commence. T'es sûr que t'as pas l'temps d'aller nous chercher des bières ? rote un sosie de Barney-des-Simpson à côté de moi à l'oreille de son pote... Ben non justement car quoi qu'il en soit, y'a des choses sur lesquelles il faut être précis, les jeunes papis australiens ont leurs petites habitudes : on avait dit vers 21 heures, et c'est à peu de choses près au déclic du quartz de l'horloge atomique de Genève sonnant 21 h 00'0" que le concert démarre dans un grande clameur.


En avant pour le dessin animé où un Angus diabolique enfourne du charbon d'un air salace dans sa loco folle et pleine de gonzesses à moitié défaillantes. Je suis en place, bien en face, à 50 mètres de la scène, en gros je vois aussi mal que la dernière fois (ou j'étais en hauteur mais derrière la scène !) mais au moins ça va me changer, d'ailleurs j'ai des jumelles, et puis consolation de taille, le son sera idéal d'ici, surement meilleur que sur les 10 premiers rangs où s'entassent nos amis les fanatiques hystériques, ou même que des places les plus latérales. Je n'ai plus soif et pas encore la vessie menaçante, tout est parfait ! C'est parti pour deux heures de concert, déjà racontées en détail par plein d'autres (dont moi) sur ce site ou ailleurs, avec une la set-list a priori inchangée sur la tournée Black Ice, faisons-là donc le plus court possible puisque là n'est pas l'intérêt principal...


Rock'n'Roll Train, riff roboratif et entrée en scène du train écrasé (si, si, je l'ai vu de côté, il est plat !). Hell ain't a bad place to be, la tension monte et les dernier-momentistes se faufilent en se faisant insulter - un videur zélé et bête tentera même d'en arrêter deux, sans succès. Back in Black, ça y est, le son est réglé comme il faut, le plaisir me submerge, ça valait le coup de revenir, ce coup-ci c'est sûr, même si j'ai déjà compris que rien n'allait changer dans le set. Big Jack, chanson objectivement sans aucun intérêt, un type devant moi tente l'enregistrement pirate, à 50 mètres, pleine pelouse, ouch ! Dirty Deeds done dirt Cheap, plus speed, fait gronder le stade de plaisir...


Shot down in flames, hey au fait, vous connaissez le principe d'AC/DC en live ? Alors voilà, batteur, bassiste et Malcolm Young s'emmerdent gentiment au fond de la scène en assurant le steak (le batteur Rudd fume d'ailleurs tout en jouant, n'essayez pas ça chez vous), Brian Johnson va et vient et hulule les bras levés sur 3 à 5 notes, de sa voix nasale de goret que l'on châtre, la scène fume, 200 spots clignotent mais en fait il ne se passe qu'UNE chose intéressante au final : Angus Young ! Costume d'écolier, Gibson SG (les deux ayant viré au noir depuis une ou deux décennies), 50 ans passés, courant un peu moins qu'avant mais encore largement plus que la moyenne, alignant l'ensemble des morceaux de bravoure à la guitare et faisant le pitre une moitié du temps, quand son gentil frérot assure stoïquement la section rythmique, à la Gretsch-un-seul-micro. Et pourtant le tout est proprement fascinant !


Car voici Thunderstruck, le mythique solo picking que, comme des milliers de gens, j'ai longtemps essayé de reproduire dans ma chambre (mais jamais sur une Gibson SG hélas), occasion d'un duck-walk un rien poussif filmé par en-dessous, mais aussi d'un grand moment de bonheur, à ce stade tout le monde est à peu près hystérique autour de moi ! Black Ice, boogie un peu gentil, un peu de blah blah sur la passerelle et un premier solo bluesy. The Jack, titre on ne peut plus sympathique repris en choeur par tout le public (au fait, personne n'a de jack sur scène, savent-ils encore que certaines guitares se branchent ?). Quelques filles vaguement en soutif sont filmées par un réalisateur enjoué, et gloussent en s'apercevant sur les écrans géants.


Pas de quoi fouetter un chat, c'est assez peu subversif ou même excitant, comparé aux vraies mammelles que j'ai déjà vues brandies fièrement au vent à des concerts de Rammstein, Iggy Pop ou même Nick Cave. Et puis vous je ne sais pas, mais moi, quand je suis derrière ce genre de filles qui passe tout le concert sur les épaules de son mec, je suis assailli de pulsions assez peu sexuelles, plutôt du genre à base d'armes à feu, objets contondants et autres outils de décapitation artisanales. Pas plus subversif que ces braves filles d'ailleurs, n'est le traditionnel strip-tease d'Angus, achevé sur un (hideux mais drôle) caleçon floqué aux initiales du groupe (je reste convaincu que le logo peint direct sur ses fesses aurait plus de tenue). Disons que c'est un show familial à l'américaine, quoi !


Son assez mortel solo accompli torse nu, le troll toujours affuté mais un brin dégarni et aux yeux hagards (dont j'ai déjà remarqué la dernière fois une ressemblance marquée avec le Gollum tardif) enchaîne sur Hells Bells, grand kiff et tuerie incontestable, Brian essaye d'attirer l'attention en se pendant à sa cloche - ça ne marche qu'à moitié, puisque des milliers de gens sont occupés à rejouer la mythique descente en grimaçant sur leur ... Air Gibson. Shoot to thrill, déjà une heure qu'ils jouent et aucun ennui en vue, mais quand même un vrai problème d'intendance à régler. Pour ma part, j'en profite donc pour me livrer, sur l'inepte War Machine et la pression étant devenue vraiment trop forte, à une petite miction-debout, autrement appelé le ... pipi-gobelet.


[Parenthèse technique mâle : opération fort pratique pour ne pas déranger 3 000 personnes en allant aux cabèches, ni perdre une place enviable, win-win en somme, tout en évacuant un trop-plein de vessie susceptible de vous gâcher une fin de concert, le pipi-gobelet avait déjà été testé avec succès par votre serviteur l'an passé pendant un slow de Metallica. Exercice a priori réservé aux mâles (quoique...), pas si évident que ça, qui requiert un minimum de conditions favorables : un grand gobelet conservé à cet effet, une obscurité presque totale, un public concentré sur la scène, pendant un morceau pas trop speed, des voisins pas trop remuants, un max de concentration et d'habileté, du sang froid ! Voire même un peu de chance.... Pas le moment qu'une jolie voisine vous demande du feu, quoi.


Cela étant, une fois l'exercice réussi, on se sent fabuleusement ragaillardi et d'attaque ! Attention, le forfait accompli, c'est en s'accroupissant pour verser délicatement le contenu qu'il ne faut surtout pas se déconcentrer, pour ne pas éclabousser qui que ce soit, et vos propres pompes en premier lieu. Après, autant arroser le pavé d'Arras ne m'avait guère ému, autant j'avoue que pisser - même hors sol - à peu près en plein milieu du mythique Stade Vélodrôme, quasiment au point de coup franc ou ce satané Juninho nous l'a (encore) mis profond la dernière fois, le tout au milieu de 55 000 personnes hurlantes et casquées de cornes rouges, ça m'a quand même fait un petit quelque chose, disons un petit frisson quoi... Fin de la parenthèse technique mâle]



Dog Eat Dog, issue de mon album préféré, titre coolissime, le batteur fume toujours (ou fait bien semblant), gros light show. Contraste cruel avec une chanson quelconque du non moins quelconque dernier album Black Ice, non identifiée, où Angus mastique furieusement un chewing-gum peut-être imaginaire en jouant... You Shook me all night long, riff d'une connerie et d'une efficacité foudroyante, mes jumelles révèlent que le groupe, même bien ronronnant dans un show huilé, sue quand même par tous ses pores et mouille le marcel (enfin, pour ceux qui portent encore quelque chose). T.N.T., climax la dernière fois, encore jouissive cette fois-ci, solo à une main, communion, extase totale ! Whole Lotta Rosie, l'énorme pouf est encore plus vilaine et bourrelée de face que de profil, c'est gras et vulgaire mais plutôt marrant, elle tape du pied en rythme et se dégonfle ensuite en un temps record.


Mon pic orgasmique se situe pile-là (et pas grâce à elle, d'ailleurs) : les trois premières minutes de Let there be Rock, totalement géniales. Et puis bien sûr, le grand numéro du (my preciousss !) guitar hero, sur la passerelle, puis sur la plate-forme (qui semble avoir du mal à décoller, je la voyais plus haute la dernière fois !) où il se roule sans ambages dans les confettis, dans un solo de 10 bonnes minutes, infini et dantesque, dont pas une note n'est de trop, une leçon de blues à se les mordre, au fait, ma guitare est à vendre, j'en jouerai plus jamais... Il cabotine à n'en plus finir et l'on en redemande. 1 h 50 et quelques, contrat rempli, la scène est quittée sans aucune surprise, tout cela est immuable, on vous dit !


Rappel contractuel donc, avec une Highway to Hell que je trouverai inexplicablement moins percutante que d'habitude, malgré les jolies cornes rouges dont s'est affublé le diablotin, qui galope toujours. Mais pour finir, un For Those about to Rock en apothéose, canons au clair : je peux vérifier que si les canons arrachent la tronche sur les côtés, on les entend finalement peu du fond de la pelouse. We salute you Marseille ! braille une dernière fois le lead singer, tandis le stade chavire... Les gens les plus à fond chialent surement à cet instant, de ce qu'ils ont vu, ou de ce qu'ils ont tant attendu et qui est déjà fini ! Pas fanatique à ce point, je suis tout de même euphorique et plus ou moins surexcité !


Je crois quelques instants à un rappel vraiment inattendu, mais le concert se finit sur un court feu d'artifice que je qualifierais de moyen, hep, n'est pas Rammstein qui veut ! Bon et puis suite aux élucubrations douées (et parfois irritantes je vous le concède !) du Jack 2 Chab' ci-dessous, je vois que des gens se déchirent pour savoir si oui ou non ce concert était extraordinaire ou mauvais, entendez pour du AC/DC. Je dirais, un peu des deux sans doute. C'était pas Donington mais putain à Donington les baffles étaient à l'ancienne (les fameux "murs de son") et y'a peut-être des gens qui en sont restés sourds, demandez-leur ce qu'ils en pensent.... Et en même temps 18 ans sont passés, des filles ont eu le temps de naître, commencer et finir une carrière de mannequin pendant que les australiens vieillissaient ! Mais c'est juste l'un des deux plus grands groupes du monde encore en activité, et il joue pas tous les jours à 5 stations de métro de chez vous pas vrai ?


Alors bon, j'ai vu à peu près rigoureusement le même concert qu'à Bercy mais sous un autre point de vue : de plus loin mais avec un meilleur son. Donc je ne regrette pas ma soirée ! Evidemment ils sont vieux, évidemment Bon Scott était leur seul et unique chanteur mais putain j'avais même pas tout à fait 5 ans quand il est mort, franchement je m'en FOUS complètement et même, histoire d'énerver tout le monde, autant que de l'apport supposé IRREMPLACABLE de Syd Barrett, Brian Jones, Stuart Sutcliffe, des 4 premiers batteurs de Warsaw ou de ceux de Spinal Tap, sur leurs groupes respectifs - dans le genre regrets éternels, y'a que le fameux solo de basse de Cliff Burton qui m'émeuve un tant soit peu...


Hier soir, ouais, c'était pas le concert du sièce, mais merde à dieu de bordel de troll en short, AC/DC jouant à Marseille, c'était quand même génial et rigoureusement in-ra-ta-ble !
Hell yeah, Rock'n'roll ain't noise pollution !

Illustrations 'DIY' par Philippe - Vidéos souvenirs : ici !

> Réponse le 12 juin 2009, par Gilles S

Une forte préférence pour CE report ! Et comme j'ai pas le temps d'en écrire beaucoup je dirais juste que j'y suis vraiment allé à reculons à cause du prix et du coté grosse entreprise qui ronronne : je pensait qu'ils seraient plus prévisibles qu'excellents et au final ils étaient affreusement prévisibles, mais encore plus excellents (et dieu sait que je n'ai pas la façon de chanter de Brian Johnson). Bon un bémol pour les chants scouts à la highway to hell et autres TNT, big jack (big jack sur le black ice, le dernier album). Après, la locomotive, les feux d'artifice et la poupée gonflable, c'est sympa mais bat les couilles. C'est juste des putain de musiciens qui font un gros mur du son derrière Angus pour qu'il tricote pendant des heures, moi ça me va parfaitement. Ah et oui, je...  La suite | Réagir

> Réponse le 12 juin 2009, par The Greenman

S'il vous plaît : confiez LE futur Johnny à Jacques 2Chabannes, ça me fera au moins une occasion de rire de ce con d'intouchable " NATIONAL " ! (NdPh : over my dead body mec, moi aussi je veux le revoir ! As-tu lu ma chronique à ce sujet ici, en tapant "idole" ? Bon allez, ça va, t'as gagné, on enverra ton chouchou si t'es sage et on te fera suivre les menaces de mort okay ? ;-))  Réagir

> Réponse le 12 juin 2009, par cabask

Super critique.  Réagir

> Réponse le 12 juin 2009, par Hervé M

Resalut migele, très sympa tout ça, ça me rappelle Bercy et ca me fait saliver pour Metallica Bise d'Alsace hein (j'ai adoré la note technique mâle !)RV euh c'est qui l'autre plus grand groupe du monde dont tu parles ? sacré bouvele (Van Halen ? Metallica ? La Bande à Basile ?...)  Réagir

> Réponse le 12 juin 2009, par JC

Tout d abord bravo aux "fans" pour le respect apporté aux critiques de concert n allant pas avec leur opinion. J'habite Marseille. Fan de rock saturé... J'étais à Bercy en février et ne me suis volontairement pas rendu au Vélodrome...Je ne le regrette vraiment pas. Pourquoi? Car tout ce qui est écrit dans vos critiques me donne raison...exactement le même concert (avec en plus un début en plein jour et un feu d artifice timide), tout ça pour regarder dans les écrans géants des mecs qui s emmerdent (je pense aux 3 qui font les marionnettes derrière) et pour la modique somme de 80 euros....ahlala, remettez les pieds sur terre messieurs dames : ACDC est un monument du Rock, ça ok pas de doute! Mais ce manque de renouvellement des setslist, ce simple "goodbye" (comme à Bercy) pour...  La suite | Réagir

> Réponse le 12 juin 2009, par Sapeur

ça c'est une critique de grande qualité, humour, finesse d'écriture et capacité à discerner les différents ingrédients qui font un concert (le musical pur, la set-list, l'environnement business - lien direct avec l'implication apparente des musiciens, et l'émotion dégagée par un concert). Bravo, je vais revenir régulièrement sur ce site !  Réagir


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