Accueil Chronique de concert Black Rebel Motorcycle Club + Dead Combo + Kid Karate (Les Nuits de l'Alligator 2014)
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Chronique de Concert

Black Rebel Motorcycle Club + Dead Combo + Kid Karate (Les Nuits de l'Alligator 2014)

Black Rebel Motorcycle Club + Dead Combo + Kid Karate (Les Nuits de l'Alligator 2014) en concert

Radiant Bellevue - Caluire-et-Cuire 10 Février 2014

Critique écrite le par




Le 10 Février 2014 à 20 heures, nous nous rendons avec ma sœur pour la première fois à la salle du Radiant Bellevue à Caluire (près de Lyon) pour assister aux concerts des Black Rebel Motorcyle Club, Dead Combo et Kid Karate dans le cadre des Nuits de l'Alligator 2014 !





Dead Combo

En toute première partie, on assiste à la performance de Dead Combo, un groupe composé de deux Finlandais : Harri Kupiainen et Nuuti Kataja / partis vivre leur rêve américain à Manhattan. Tous deux armés de deux guitares, ils délivrent sons saturés et ambiances débridées.



Ainsi "décadrés" et dans l'atmosphère destroy instaurée par les musiciens (qui optent pour une attitude désinvolte proche du public, avec une quasi proximité identique à ce que l'on peut retrouver dans certains lives en squat) entre partage de bière et transitions ‘à l'arrache', on croirait à l'illusion du pub underground new yorkais !



Et visiblement (et agréablement !), c'est bien l'intention du groupe de Dead Combo de nous conduire dans ces ruelles mal éclairées de la "Big Apple", là où le rock ‘n' roll, tard dans la nuit, prend place et s'évertue à enfiévrer les noctambules et autres parasites nocturnes.





Kid Karate

Après ce premier détour dans les bars alternatifs de NYC, "la ville qui ne dort jamais", voici venu le tour de Kid Karate de monter sur les planches. Le duo irlandais comprend deux dublinois : Kevin Breen à la guitare et chant ainsi que Steven Gannon à la batterie et aux percussions. Le tandem oeuvre avec vivacité et divulgue un rock'n' roll chargé d'électricité. Les sonorités électroniques qui jalonnent certains morceaux apportent une fraîcheur pleine d'entrain. La fougue qui habite les musiciens ne tarde pas à se répandre dans le public tant cette joyeuse confusion est communicative. Le rythme saccadé du titre "Two Times" et la voix pleine d'éclat du chanteur nous amène à arpenter les quartiers de la capitale irlandaise. Tel le skateur issu du clip officiel du morceau, on se retrouve à déambuler avec un mélange d'oisiveté et l'envie de fulminer...un peu comme l'après période d'ado...





Black Rebel Motorcycle Club

Et puis enfin, ardemment attendus, les Black Rebel Motorcycle Club arrivent sur scène. Vêtus de leur éternel blousons de cuir noir, insoumis, la bande de bikers s'apprête à rouler non stop, sans foi ni loi, pour le meilleur et le pire dans les oreilles du public. Groupe issu de Los Angeles, le trio des BRMC est constitué de Peter Hayes et Robert Turner, les deux leaders (tout à la fois présents au chant à la basse et à la guitare ) et de Leah Shapiro à la batterie.

La fabuleuse "équipée sauvage" (très bon film auquel les musiciens rendent hommage en reprenant le nom du gang de motards tiré du film) commence avec le titre : "Hate the Taste". La salle est comble, le second morceau déboîte ! : "Beat the Devil's Tattoo" a ce quelque chose de désabusé qui présage l'errance. Les influences shoegaze avec des sons de guitares avec effets viennent ajouter comme de la substance au désenchantement qui habite le titre. La voix de Peter Haynes, elle aussi se prête merveilleusement à la désillusion, elle prend son temps, ne semble pas avoir ni racines ni accroches, elle circule librement avec une lucidité qui semble se prêter à la légèreté, à la flânerie...



"Let the day begin" , reprise du groupe The Call dans lequel officiait le père de Robert Turner (de son vrai nom Robert Levon Been) retentit dans la salle, la dimension apporté à ce titre déjà existant ne dégrade en rien l'original. La version des BRMC diffère par quelque chose d'un peu plus éthéré dans la musique. "Rival", les guitares retentissent, vrombissent tel des bécanes énervées, le moteur en rogne, la voix se fait moins immatérielle, plus concrète. Ainsi redescendue d'un niveau, plus terrestre, dans ce morceau, il y a une présence qui par la voix ici distanciée parfois de la musique laisse percer comme une tension qui doit sortir du morceau.
"Ain't no easy way", d'emblée la foule devine les premières notes. Extrait de l'album "Howl" qui par bien des côtés sonne très "country", les instruments banjo, harmonica sont les bienvenues, on tape du pied, le brin de paille au coin de la bouche, le chapeau réajusté, on est paré pour le far ouest...but it's not an easy way, then, on continue avec "Berlin" (ah ce titre éponyme de cette merveilleuse capitale allemande... ) à la croisée des cultures qui dans les squats alternatifs éclatent de trésors et rencontres artistiques
tant sur le plan musical que graphique ! Et dans cette chanson, on peut percevoir ce flux intrinsèque qui habite la ville, cette agitation et nervosité qui anime les lieux undergrounds.

"Returning", morceau plus posé se prête davantage à une certaine mélancolie. Et paradoxalement à la fois aérien et pourtant emprunt d'un certain poids, ce titre figurerait à merveille dans un film pour illustrer une scène à forte émotion (et je ne sais pas pourquoi mais indubitablement il me rappelle certaines créations de Sigur Ros, (une force froide, glacée et poignante qui réchauffe étrangement le cœur).
Pour "River Styx", dés le départ, le rythme soutenu à l'intro par la basse et la batterie rappelle quelques entrées en matière par des groupes de psychobilly, ça a quelque chose d'à la fois décadent, sensuel et félin. Ce morceau est une invitation tranchante à franchir le Styx pour rejoindre le Devil ... "Will you let them pass Will you let them pass across this killing floor Where every shadow is cast in stone" Sans doute rien n'a y voir, mais cette invitation vers le bas, donnerait presque dans la suite envie d'écouter : Evil night together" de Jill Tracy.



La chevauchée en moto reprend, avec "Some Kind Of Ghost" (un bien beau nom de titre ma foi...) à travers ce qui semble être une lande désertée propice à la divagation. Les voix séraphiques, en chœurs, et le rythme de la musique lancinant, avec quelques notes de guitares, nomades, un peu bohèmes aussi ont ce fabuleux pouvoir de nous transporter dans des endroits comme dépassés par le temps et éloignés d'un espace comptant... Escale dans un "no man's land" de 4 minutes qui nous berce de sentiments diverses...peut -être sentiments restées coincées de passagers précédents ou fantômes...

"Six Barrel Shotgun" reprend du poil de la bête et rebooste le moteur. Ça pulse, ça rock ! Virée plus effrénée. la violence, dans les starting-blocks est prête à courir... Sans attendre la détente, le feu est donné, et ça se jette en avant ! "White palms," la voix comme la mer s'est retirée, comme un écho lointain se demandant à tout bout de champs quand est ce que Jésus doit revenir pour lutter contre ce que le Diable voit et prend possession. Les instruments eux reprennent le flambeau et maintiennent la garde. Et puis, ma chanson préférée du groupe... "Lose Yourself" ("de Specter at the Feast"). Et dans ce titre, de la première à la dernière note, un seul mot me vient en tête : Abandon... Ce morceau porte à merveille son nom et la musique en parfait adéquation le fait ressortir...se laisser transcender par les choses, se perdre en elles et les vivre pour telles...La mélodie envoutante de l'intro avec les notes de guitare élevée par la batterie qui comme les battement d'un cœur retentit cyclique, en vie, fait corps à ce timbre grave et vaporeux qui va finir par s'élever, se laisser transpercer au cœur du titre pour atteindre une espèce de liberté, un idéal qui s'envole.



Avec, "Evol" on redescend, plus stone, le morceau ne laisse pas indifférent dans la salle (à ce moment j'ouvre les yeux pour contempler les têtes dans la foule). Comme plongés dans une sorte de transe, les personnes bougent lentement la tête, hantée par la musique) j'ai toujours été émerveillée par ce facteur : comment un morceau peut trouver avec autant d'intensités différentes une résonance dans une multitude de corps présents rassemblées dans un lieu. Comment tous reçoivent la musique et chacun à part entière constitue physiquement une caisse de résonance et comment celle ci-circule à l'intérieur...

Bien que ces questions me travaillent encore, la setlist se poursuit avec : "In Like the Rose". Intro hachée et guitare affectée qui accueille une voix dégrisée, détrompée par l'ivresse du cœur. Délectable puis amer, le registre liées aux sentiments change... "Conscience Killer" et "Spread Your Love" Moment fun du live, titres connus de tous , des petits sauts de cabris dans la fosse, les deux morceaux groove bien et s'enchaînent avec facilité et emballement ! Je vois les bouches chantées à l'unisson avec le chanteur, Yes, in the pit, we spread our love of music !



Et voici venu le moment du rappel...Grande acclamation du public pour voir remonter les "dark riders" sur la scène et "take the road just once again and the last time." "Complicated Situation" Autre petit détour par l'ouest... qu'est ce que l'on s'y attarderait ... pour une ballade teintée de nostalgie (l'acoustique renforce définitivement cette impression..)... "Shuffle Your Feet" , (Personnellement, j'aurais bien envie de suivre le titre à la lettre) Morceau qui donne bien envie de bouger ! Groove, déhanché et tapotement de pied au rendez-vous. On pourrait peut-être entrer dans un saloon ou un pub qu'on ne saurait pas étonné de se retrouver sur la piste à côtés des buveurs de bières et autres amateurs de petits verres de Whisky à apprécier la musique ! Et puis malheureusement la fin étant proche, un dernier morceau avant de sonner le glas : "Whatever Happened to My Rock 'n' Roll". En bonne "punk song", a chanson clos à merveille la soirée avec fièvre et rock'n'roll !

Petite précision autrement anodine mais géniale : les BRMC sont parties prenante de la soundtrack du dernier Jim Jarmusch : "Only Lovers Left Alive" avec "Red eyes and Tears"... ça présage que du bon...

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