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Chronique de Concert

Elliott Murphy

Elliott Murphy en concert

Le New Morning - Paris 14 & 15 mars 2014

Critique écrite le par

"The Day After Tomorrow..."
(Juste Une Histoire Parisienne...)



Pour être totalement honnête - pour peu qu'il soit prouvé que la période (politique et économique) actuelle s'y prête d'aucune façon - les deux soirées "anniversaire" offertes par le sieur Elliott Murphy au New Morning, me paraissent tellement liées d'Intime, complémentaires et abouties, nées du même lit musical et émotionnel (avec un rien de supplément d'âme comblée, le second soir) que je me suis finalement résolu à les traiter en commun, paroles et notes, anecdotes et souvenirs, mêlés de plaisir rétrospectif. Une décision souveraine et unilatérale (tel l'ours totalitaire Poutine faisant son miel de la Crimée) que j'assume sans trembler avant que de m'y lancer d'envie, ci-après.



"Intime, Mais Nombreux !"
Partis de rien (d'une simple demande Live à laquelle les Fans auront répondu d'allégresse partagée) ces désormais inamovibles et incontournables shows annuellement bâtis autour de l'anniversaire de l'une des plus grandes plumes musicales US, apportent à chaque fois une réponse fringante et argumentée au cinglant et parfois dérangeant : "Et le gars Elliott, au fait, comment il se porte ? Il continue à tourner et sortir des disques ?".



"Yes, sir ! Il est en pleine forme et ses disques sont toujours putain de bons... ils ne sont pas nombreux en ce cas, en plus, tu peux me croire, parmi les "grands" du genre... nope !".
Impression à la fois confirmée par le rafraichissant et accompli EP Intime, et par la façon dont le groupe, et son héros de deux soirs, investi la scène du lieu à l'aide d'un quarteron de chansons balayant les diverses années et périodes - Benedict's Blues/Hangin' Out/Sweet Honky Tonk/Take That Devil Out Of Me. Une entrée en matière résolument porteuse d'une pleine énergie communicatrice. Lors, même si le (nouveau) sommet Benedict's Blues peine à retrouver de Live, la magie de son subtil balancier originel (version bien plus aboutie, le second soir) il a pour mérite de rappeler aux (nombreux) gens présents, que cette célébration ne sera certainement pas tournée vers le passé, le souvenir ou la nostalgie, que nenni. Clou enfoncé illico par l'énergique et emballant Sweet Honky Tonk (autre bijou extrait du dernier opus) : une sorte de descente "Rock-Countrysante" sauvage et débridée qui fait la part belle aux personnages truculents et célébrités de tous bords (La Reine Elizabeth, Marilyn, Abraham, Martin & John, Pinky Lee, LE Bagel New-Yorkais...) et offre également à ses fidèles Normandy All Stars, l'occasion d'étaler l'étendue de leurs divers talents musicaux ; un morceau doté d'un pont très "Funk" appelé à devenir rapidement incontournable sur scène, assurément.



"Songs From The Kitchen vol. 1" (sous-titre de Intime)
Écrit intégralement dans l'intimité de sa cuisine Parisienne - "armé d'une guitare à cordes de nylon, à cause d'acouphènes gênants qui me handicapaient pas mal à ce moment-là et en jouant tout doucement dessus..." (Elliott/INTW-17-03-14) - ce EP s'avère être pétri de classe, d'une rare qualité : essentiellement parce que doté de chansons écrites dans la même veine que ses multiples et éclairées devancières, prouvant ainsi que la flamme portée par ses muses est bien loin d'être vacillante, au bord des braises ou proche de l'extinction (im)pure et simple (tandis que tant et tant d'autres artistes se contentent aujourd'hui de se (nous) rouler dans les cendres froides de leur passé).
Quelque chose d'évident, le samedi soir, lorsque celui-ci se permit d'enchaîner l'un de ses plus hauts sommets (On Elvis Presley's Birthday) d'avec une toute nouvelle (Blissed Out In The Land Of Nod) qui ne pâti en aucun cas de la comparaison, point du tout ; étonnant, vu la hauteur de la barre placée à ce moment très précis. Une version sentie et majestueuse, dotée d'une belle montée en intensité capitalisée par la mélodieuse arrivée de la guitare d'Olivier Durand, bien évidemment. Une chanson revenant sur l'exil du fratricide Abel envoyé en son temps pour expier à vie au pays de Nod : tel le gluant Jérôme Kerviel au Vatican, les "supposés" (suspectés de) terroristes à Guantanamo ou les Stars sur le retour vers la Télé Réalité ?



Quant à, On Elvis Presley's Birthday, celle-ci paru se doter d'un étonnant surplus d'âme, avec un Elliott semblant bien décidé à l'amener à son terme naturel sans brusquer aucunement les choses, tout en n'omettant pas de faire perdurer tout du long cette unique tension qui l'habite depuis l'origine de son temps perturbé : "Mon père venait de Brooklyn / La grande dépression avait laissé des traces / Il avait dû ramasser du charbon tombé le long des voies ferrées pour survivre / Peinait à dire quoi que ce fût de positif à propos de Franklin Eleanor Roosevelt ! ".
Notre époque est aujourd'hui, toujours (et encore) marquée de crise, mais rageuse désormais, parce que dénuée de tout attachement que ce soit à une classe politique corrompue qui n'aura eu de cesse que de se dévaloriser et franchir en permanence la ligne rouge pour rejoindre d'envie le côté obscur de la Force...



"IOU, Lou !"
Revenue par surprise des limbes de l'oubli pour élargir franchement les francs sourires du vendredi soir, Party Girls & Broken Poets (tirée de l'album de même appellation) servit d'introduction à un hommage appuyé au récent défunt Lou Reed, poète New Yorkais souvent croisé au fil des ans par le Murph' - prévu également en son temps pour produire l'album Lost Generation(1975) : entreprise hélas contrariée par un changement de programme Live de dernière minute - sans oublier que c'est l'Elliot qui se sera chargé d'écrire les notes de pochette du fameux album Live du Velvet Underground(1972). Après avoir récemment repris Perfect Day en son honneur (et joué à l'occasion d'une exposition dédiée à David Bowie, au tout début de cette année) le plus parisien des chanteurs Américains jettera cette fois son dévolu sur l'incontournable Walk On The Wild Side, LA carte d'identité musicale du Lou en solo (produite comme il se doit par le Thin White Duke sur l'album Transformer, en 1972). Une belle version, empreinte là aussi d'émotion et d'envie de bien faire afin de ne surtout point dénaturer le patrimoine génétique d'un très grand parti (toujours) trop tôt, comme la plupart des artistes, alors que tant et tant de despotes, dictateurs, assassins de masse, politiques véreux, affameurs ou religieux intégristes de tous bords passent allégrement la barre des 80 ou 90 ans en pleine possession de leurs (odieuses) facultés... J'tenverrai tout "ça" croupir à jamais au royaume de Nod sans billet de sortie ni aucun échange avec leurs (pas) frères humains, si ça ne tenait qu'à moi, que oui...



Une totale réussite, qui sera habilement enchaînée au truculent And General Robert E Lee, depuis pas mal de temps laissée sur le bord de la route à concerts et qui semble retrouver une troisième ou quatrième jeunesse, ici et ce soir ; une chanson littéralement improvisée en répétition (à l'origine) et qui, grâce à un Fan Hardcore qui avait pris grand soin de tout enregistrer (puis d'envoyer la bande jusqu'en la lointaine Murphyland) aura pu finalement voir le jour peu de temps après en sa version finale sur l'album Notes From The Underground(2008)...

"Who Am I Blues"
À défaut de se poser dans un coin sombre et à l'écart pour mieux aborder d'angoisse le délicat (et irréversible) passage des ans (65, cette fois !) notre New Yorkais d'origine a choisi au contraire de s'installer en pleine lumière pour y jouer la musique qu'il aime (elle vient de là, elle vient du... Blues ?) devant ses Fans Hardcore : chose faite avec celle qui est devenue depuis quelques années LE point central de ses shows, la très bluesy et (parfois) frénétique de l'envol : Take Your Love Away !
"Il n'existe que deux endroits pour les guitaristes comme Olivier (qui aura, les deux soirs , allumé d'incandescence la pulpe de ses doigts agiles sur icelle) le Mississippi Delta et le Havre !" (s'est alors permis de lancer, conquis par tant de dextérité, l'hôte de ces deux soirées inoubliables). Un guitariste, comme toujours au taquet, bondissant ou se contorsionnant en bordure de scène, au plus proche du public en attente de démonstration, qui aura également illuminé de son génie guitaristique, le mélodieux Take That Devil Out Of Me, tricoté jusqu'à plus soif sur Even Steven (durant laquelle nôtre Elliott et sa paire de lunettes, pour la toute première fois portée sur scène, semble se faire à la semblance d'un vieux barde Juif : gilet et chapeau noir vissé sur cheveux gris tombant en cascade sur ses épaules) ou dynamité de notes, l'antique et précieux Hangin' Out !



"Last Of The Rock Stars" (Diamonds are Fan's Best Friends !)
Plus "habituelles", mais toujours bonnes à prendre, que oui, Last Of The Rock Stars et You Never Know What You're In For (toujours illuminée d'un dantesque solo d'harmonica parfaitement interprétée le vendredi soir, sans la moindre absence ou gaspillage de notes) auront séduit les aficionados de leur genre (héroïque). Manifestement "improvisée", le vendredi 14, Diamonds By The Yards (encore rallongée le lendemain) fût en tout point splendide, parce que résolument ralentie du rythme ; de quoi faire on ne peut mieux ressortir la pureté de sa ligne mélodique, à nulle autre pareille.

"Happy Birthday To Me !"
Elliott (lundi 17-03-14/Paris) :
"Rien n'a été vraiment prévu à la base, quelques années en arrière... nous jouions juste une fois par an au New Morning, il se trouve que c'était en Mars, à proximité de mon anniversaire, on a donc fait en sorte que ça coïncide. C'est la seule façon pour moi de pousser les gens à me chanter : "Happy Birthday !"... C'est très égocentrique, je pense !" (rires).
J2C (suspicieux) :
"C'est pour cela que tu as fait durer les choses jusqu'à minuit, ce samedi, juste pour les entendre te le chanter ?".
Elliott (large sourire sur trogne) :
"pas du tout, non ! Mais ils ont fini par chanter !" (rires).
J2C :
"Un peu dans l'genre, je m'en vais te leur coller une version de dix minutes, de Diamonds By The Yards, afin de tenir jusqu'à minuit ?".
Elliott (après un gros éclat de rire) :
"Pas du tout, non ! Je n'ai pas pensé une seconde à "ça", mais... ils l'ont fait !" (rires, derechef !).



"Rivière, Je Ne Boirais Pas de Ton Eau..."
Demandée par un Fan le vendredi soir, en toute fin de show, Green River bénéficiera à cette occasion d'un traitement acoustique, d'une approche apaisée et "ronde", souple et élastique : une rivière d'huile qui sembla n'avoir pas pris une ride de surface.
Le lendemain soir, par contre, changement total de décor. Elle sera cette fois-là jouée au plus proche de sa version studio (extraite de Strings of The Storm/2003) : rapide et "habitée", envoyée d'envie et tailladée de plusieurs soli d'anthologie partagés à la fois par le fidèle Big "O" et le fils prodigue Gaspard (Murphy) ; un rejeton du Rock responsable (mais pas coupable) de l'ensemble de la production du dernier opus et qui a visiblement fait ses "classes" chez un ami proche du paternel : Bruce Springsteen (lui aussi assez fan de ce type de solos hargneux et sentis, plus que véritablement techniques). Une rivière en colère avec flots boueux bouillonnants et risques d'inondation à tous les étages (de la vie ?) apparemment sortie de son lit de la veille pour rappeler de nerveux à toutes et tous qu'il faut toujours se méfier de l'eau qui dort et que tout peut changer ou basculer radicalement à chaque instant de la vie : telles les effluves musquées d'un drame sous-jacent refaisant surface depuis les noires profondeurs du passé au moment où l'on s'y attendais le moins... épique !

"Rock'n'Roll Circus"
Autre moment rare, celui dit des "2 manches à 4 mains !", durant l'acoustique et traditionnel It Takes A Worried Man : Elliott et Olivier mêlant alors leurs mains pour jouer chacun en même temps sur la guitare et le manche de l'autre. Moment de franche hilarité en mode autodérision, lui aussi suivi de LA quasi inconcevable réponse en provenance directe de la section rythmique : Alan et Laurent entremêlant alors leurs (multiples) membres pour effectuer un solo de percussions d'anthologie : à même de faire passer les illustres tams-tams du Burundi pour des petites frappes lointaines. Rien moins. Nourri à l'école du Cirque Rock'n'Roll, le gars Gaspard ira lui aussi de son obole du genre, en mode contorsion surannée : guitare posée résolument derrière la nuque et doigts agiles continuant néanmoins à tricoter de la note, sous le regard hilare et bienveillant de son géniteur, soucieux avant tout de ne pas le voir risquer l'accident bête (sa mère se situant comme souvent à deux pas de là, en mode surveillance...).



"Vous pouvez toujours payer 150 Euros pour les Stones (euh... c'est plus du double, en fait, Elliott, au bas mot !) 100 pour Springsteen et 80 pour Dylan, vous ne verrez jamais "ça"... jamais ! Et pour à peine 20 Euros, en plus..." (une diatribe douce-amère qui aura plus que fait sens, en cet instant de liesse très précis).

"Un Grand Petit Homme"
"Il y a trois grandes étapes dans la vie. La première : la jeunesse... La seconde : l'âge adulte, et... la troisième, le : "Tu m'as l'air en forme !", une saillie verbale de plus lancée en guise d'intro décalée au très jouissif Little Big Man et son clin d'œil appuyé aux éternels ados en révolte et bardés de cuir qu'étaient les Ramones : morceau phare de l'avant dernier It Takes A Worried Man, sorti il y a un an à peine et qui prouve une fois de plus aisément que la qualité d'écriture n'est pas assujettie au nombre des années (damnés ?) loin s'en faut. You Look Good, Elliott ! Assurément.



"Hardcore 1"
Autre retour surprise remarqué - outre la flamboyante Sonny ! - c'est un extrait de Beauregard (1998) qui aura le plus marqué LE Fan Hardcore : la chanson du même nom revenue d'entre les catacombes pour y glisser son grain de sel fortement sexué (soit) mais bel et bien empreint d'une déclaration d'amour atypique et touchante. L'inverse pleinement assumé du fameux : L'amour physique est sans issue !", issue en son temps des neurones poisseux, de feu le grand Serge.
Veuillez noter également qu'un livre sobrement nommé Hardcore, est également sorti en toute fin d'année dernière (sous la plume du journaliste Charles Pitter) : 250 pages entièrement dédiées à la vie et à l'œuvre magistrale du "premier des citoyens" de l'éclairé, apaisant et pacifique Murphyland !

"Hardcore 2"
Jouée à la demande d'un fan venu expressément du Canada pour assister à ces deux shows d'anthologie - parmi les nombreux Suédois, Norvégiens, Espagnols, Italiens et Français issus de toutes régions, présents ces deux soirs durant... - On Romeo Street fût littéralement visitée par la GRÂCE du moment et de l'occasion ; rien de religieux ou biblique, ici, et ce malgré les nombreuses références habitant par ailleurs le p'tit dernier Intime : "Je ne sais vraiment pas pourquoi il contient toutes ces références religieuses, je ne suis pas quelqu'un de religieux, du tout, et n'entre dans les églises qu'à l'occasion des enterrements, trop souvent, malheureusement..." (EM/INTW/17-03-14). En effet, après avoir avalé d'envie le long texte posé sur pupitre devant-lui, notre homme se mit en tête de nous raconter le "pourquoi du comment" de cette chanson et détaillé quand et comment il avait rencontré l'amour de sa vie (sa femme Françoise) en cette fameuse "Romeo Street" située à deux pas de la Bastille. Un moment fort. Une mise à nu qui le vit flirter au bord du coulage de larmes et qui tint le public en haleine (apnée ?) : souffle court, suspendu à ses lèvres, cage thoracique oppressée et plexus noué d'émotions multiples, profondes, Intimes mais contagieuses...



"Every Little Star"
"Le monde de la musique est une tranchée pleine de fric, cruelle et peu profonde, un long couloir de plastique où des voleurs et des maquereaux courent en liberté et où les braves gens meurent comme des chiens. Il a aussi un aspect négatif ! (Hunter S Thompson). Posée en préambule à son tout dernier et excellent roman intitulé Marty May (Joëlle Losfeld Ed./2013) cette maxime assassine (mais clairvoyante) aura tout du long paru coller aux basques de notre homme du (Sweet Home) New Morning : sans cesse jeté ou délesté, repoussé ou ignoré au fil des ans par les divers "habitants" et "parasites" du secteur du disque portés avant tout sur le fric et le partage (peu égalitaire) du talent des autres et régnant sans partage aucun en ce funeste "milieu" de squales cruels aux multiples rangées de dents acérées, toujours à portée, prêtes à l'emploi.
"Lorsque j'avais dû revenir habiter dans la cuisine de ma mère à New York, et que je croyais que me vie était foutue, après quatre albums, mais après avoir perdu mon dernier contrat discographique, c'est la France et un concert au Palace, qui m'a finalement donné l'occasion de rebondir... de repartir petit à petit et continuer jusqu'à aujourd'hui...". Une histoire atypique, puisqu'il n'aura depuis jamais quitté notre (présumé) beau pays ni cessé d'y tourner sans relâche ; d'y composer également une suite de petits chefs-d'œuvre de finesse et intelligence qui mériteraient d'être régulièrement cités au plus haut dans nos magazines et révérés par des hordes de fans déchainés, transis de reconnaissance et persuadés d'être dans le vrai. "Est-ce que vous préféreriez être heureux, ou bien dans le vrai ?" (Every Little Star) : une question d'importance, qui ne saurait décemment se traiter ici en quelques lignes. Reste, que, la réflexion reste lancée...

"Et pour finir, Encore" (Famous Last Words !)
Image de fin à garder absolument en mémoire jusqu'à la prochaine étape - jusqu'à l'année prochaine ? Jusqu'à la prochaine rencontre ? - celle de cet homme solide, se tenant bien droit, seul, face à une salle muette, seul, armé de sa guitare, sa compagne de vie depuis son douzième anniversaire, se toquant ainsi de finir de la plus dénudée et périlleuse des façons pour y livrer une magistrale et émouvante interprétation du lointain et vénéneux : Dusty Roses (Murph The Surf/l'album du second souffle/1982) pas rien.

"Parce qu'il n'est pas de place, en cette vie / Pour une fille telle que moi... " : une phrase de fin qui prête légitimement à sourire d'incongruité et interroge d'autant, ma foi...



Morceaux joués au cours des 2 soirées :
Benedict's Blues
Hangin' Out
Sweet Honky Tonk
Take That Devil Out Of Me
Little Big Man
Sonny
Take Your Love Away
You Never Know What You're In For
Last Of The Rock Stars
Shout
Diamonds By The Yards
Blissed Out In The Land Of Nod
Even Steven
Party Girls & Broken Poets
Walk On The Wild Side
And General Robert E Lee
On Elvis Presley's Birthday
Hardcore
On Romeo Street
Green River (Electrique & Acoustique Versions)
It Takes A Worried Man
Heroes
Dusty Roses





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