Accueil Chronique de concert (mes) Eurockéennes 2011, 3/3 : Katerine, Beady Eye, Aaron, Carte blanche Katerine + Cabaret New Burlesque, Arctic Monkeys
Jeudi 25 avril 2024 : 6240 concerts, 27085 chroniques de concert, 5411 critiques d'album.

Chronique de Concert

(mes) Eurockéennes 2011, 3/3 : Katerine, Beady Eye, Aaron, Carte blanche Katerine + Cabaret New Burlesque, Arctic Monkeys

(mes) Eurockéennes 2011, 3/3 : Katerine, Beady Eye, Aaron, Carte blanche Katerine + Cabaret New Burlesque, Arctic Monkeys en concert

Presqu'Ile du Malsaucy, Evette Salbert 3 juillet 2011

Critique écrite le par

La veille, c'est par ici !


Ce dimanche, troisième et dernier jour d'un festival décidément copieux et pratiquement sans faute de goût (citadelle d'Arras, suivez mon regard), commence par un bon repas à la fraîche entre amis, couronné dans l'après-midi par un alcootest réussi à l'approche des Eurockéennes ! Bon, on ne peut pas dire qu'on nous ait pris en traître : les pandores sont toujours placés au même endroit et on ne les avait pas encore vus en 2011 ! En tout cas, voilà qui mérite un coup à boire dès l'arrivée, pour se remettre de nos émotions !


A propos d'alcool, signalons le plus beau geste militant de ces Eurockéennes (initié par de vaillants alsaciens, à n'en pas douter) : introduire et faire circuler une magnifique bouteille de Kronenbourg gonflable, incarnant à merveille la résistance à l'envahisseur Heineken, qui a racheté puis fermé toutes les brasseries d'Alsace... Et dont nous avons subi la déco siglée et l'urine de vache tout le week-end, nostalgiques de la bière alsacienne qui s'affichait bien plus modestement ici... C'est dit !


On est toujours contents de retrouver ce pitre de Philippe Katerine, pas repassé par ici depuis 2006, dont on a l'honneur et l'avantage de partager l'humour décalé, scatologique et ravageur, et qu'on a pas eu le plaisir de voir tourner sur son très régressif dernier album... Il s'avère dès le départ qu'on est quand même face à une performance artistique, et pas juste une vaste déconnade à la Wampas : si ses musiciens (ex Little-Rabbits) sont bien sapés comme des ploucs, ils jouent fort et bien !


Si ses choristes n'ont pas toutes un physique de bimbo, elles chantent également juste et exécutent parfaitement les chorégraphies d'un ridicule accompli, tout comme Katerine lui-même. Où le kitsch est élevé au rang d'art majeur... A part nous chier à la raie au nom de la Reine, curieusement oublié, il va alors tout nous faire : nous dire Bonjour !, insulter la valeur la plus à droite de notre devise nationale (Liberté, mon Cul !), nous faire des Bisous bien sûr (apparition des jolies danseuses en short et t-shirt multicolores et très seyants !), manger sa Banane (des centaines de fruits s'envolent aussitôt du public, il arrive à en éviter la plupart, mais pas tous)...


... Se moquer de ces putains de Téléphones, ou encore déclarer son amour pour nos Fesses, tandis que la scène se remplit de fesseurs, de fesseuses et de fessé(e)s - bien sûr il est aux premières loges, avec sa mini-jupe atroce ! Fin de la séquence sur la toujours très percutante 100 % V.I.P., qui déclenche une belle folie sur le gazon : il faut reconnaître que le bonhomme s'y entend pour soulever une armée !Bien évidemment il n'est pas avare de conneries entre les morceaux, systématiquement percutantes et drôles, comme lorsqu'il suggère gentiment à 4 personnes intégralement couvertes de Lycra (Spandex, le déguisement tendance en 2011 !), de "renoncer à Satan"...


Vient alors une séquence "name-dropping" avec ses cauchemars droitiers terrifiants (être poursuivi par Marine, sucer Johnny etc.), et la liste des fameux Vivants qu'il aime (et qui le sont plus ou moins, vivants, en l'occurrence). Encore un ou deux titres et il est temps de lâcher du gros appat : Excuse-moi (en version techno-rock musclée), et au rappel l'entame de Louxor, commencée seul à la batterie, J'en ai marre entamée a capella et hilarante, et enfin Louxor J'adore, jouée en bonne et dûe forme, avec de géniaux costumes sur les filles qui en font des soubrettes de face et des squelettes de dos... Une heure de plaisir simple et intense, et de grosse marrade : merci Philippe ... et à tout à l'heure !


On a quitté ce peigne-cul de Liam Gallagher sur un rendez-vous manqué, lors du très cocasse split d'Oasis (arrivé hélas en coulisses, et non sur scène) - soit le groupe le plus surestimé des 20 dernières années - à Rock en Seine, il y a 2 ans. On passe trois chansons en sa compagnie : rien de nouveau sous le soleil, il a presque reconstitué son groupe, il a toujours une pure tête à claques et des poses arrogantes, le nom de son groupe écrit à l'échelle de son égo... Et conserve donc le titre envié de rockeur le plus insupportable d'Albion !


Sinon, sa britpop est toujours aussi gnan-gnan, rebattue dans ses riffs et ses airs, ni faite ni à faire. D'ailleurs à 100 personnes près, l'intégralité du public de la grande scène roupille au soleil couchant en rotant sa bière. On fait donc un rapide passage au village VIP, moins agréable qu'avant car coincé dans les bois (à moins d'être un mécène : eux ont une belle terrasse donnant sur la grande scène !), puis un petit quart d'heure sur la plage où de grands enfants jouent au sable, pendant qu'un groupe de hip-hop assez quelconque (Odd future) s'égosille sans parvenir davantage à mettre le feu. Incontestablement, le temps de mou du festival, prolongé avec le groupe qui suit (le "kararocke" nous ayant été déconseillé par ailleurs...)


Bon, ce qu'on aime bien chez Aaron, c'est la chanson U-Turn, mais surtout parce qu'on a aimé le film qui allait avec... Pour le reste, leur trip hop agréable à l'oreille, est quand même gentiment chiante, trois crans en dessous de celle d'Archive-de-la-bonne-époque... On ne s'explique pas vraiment les yeux fardés du chanteur et après quelques titres, il est avéré que tout sonne un peu pareil et qu'on est surtout très agacé par son côté animateur BAFA (Alleeeeez ! on dirait qu'on pèterait les plombs, la, tout de suite, tous avec mouaaaa !). On laisse donc les plus jeunes en sa compagnie, pour aller manger un kebab (infâme : ça au moins ça ne changera jamais aux Eurockéennes, dommage, on avait tenu presque 3 jours sans craquer !) et s'asseoir en bonne place pour le mystérieux show qui doit suivre, et qui suscite une grosse curiosité de notre part.


Ayant déjà au moins 5 ou 6 fois communié avec les toujours passionnants Arcade Fire (et la dernière fois encore fin 2010), on va cette fois-ci leur faire faux bond (d'autres gens ont le droit de savoir à quel point ils sont excellents !) et s'intéresser à une projet très excitant sur le papier : une carte blanche à Katerine et aux pétillantes strip-teaseuses du New Burlesque, qui nous ont enchanté de leur joie de vivre dans le film Tournée... La prestation commence donc en petit comité, sur la plage (au vu de la grosse pointure sus-citée).


Le spectacle sera découpé en plusieurs parties, en gros : les filles, Katerine, puis les filles ET Katerine. Départ sur une série de strip-tease de costumes extravagants donc, chacune annonçant la suivante dans son style.Après le strip inaugural de la présentatrice, une petite très gironde se désape sur Purple Haze (notre photo), la "créature" (une grande brune au delà de l'incendiaire, dans une robe vermeil tout droit sortie d'un Tex Avery) sur un air des années folles.


Puis la blonde Mimi Le Meaux (héroïne principale du film), également sublime (quasiment une réincarnation de Marilyn Monroe !) s'en vient faire une somptueuse danse du ventre, une autre coiffée d'une immense tiare céleste préfèrera Waintin for The Sun et finira par un slam dans le public, ni plus ni moins ! Dernier grand moment de cette partie, le strip du cowboy (un mec méchamment gaulé et monté à cheval, si, si : cf lien vidéos en fin de chronique!), car bien sûr le Cabaret New Burlesque s'adresse à tous les publics ! Arrive ensuite, en grande tenue de smoking, le groupe qui accompagnera Katerine sur un certain nombre de reprises, pas toutes inoubliables d'ailleurs.


Banana Split (moyenne), Elle est d'ailleurs (très drôle), Capri c'est fini (proprement massacrée), Partir un jour (version jazzy), Confidence pour Confidence, etc, etc... Frôlé par l'ennui, on songe qu'il est trop tard pour aller voir Arcade Fire... Mais heureusement le New Burlesque revient : strip-tease "Kentucky Fried Chicken" pour le mâle (avec lancer final d'aile de poulet dans le public, sortie d'où vous pouvez l'imaginer), puis encore une ou deux reprises stupides mais agrémentées des filles sur scène (Mimi en guèpière et culotte noire, waouuuuuh !) : Mercedes Benz, par exemple...


La fin est néanmoins plus chiadée, avec un superbe Have Love will Travel (des Sonics bien sûr !), B.O. du film et vrai grand moment de rock'n'roll sexy, tout comme le seul et unique standard français de rockabilly grand public : C'est Lundi... de Jesse Garon bien sûr ! C'est l'heure pour Katerine de se faire déshabiller par les filles (ça, c'était à prévoir) sur l'air d' "il est vraiment phénoménal", avant de terminer, en slip donc, sur un Louxor J'adore presque inaudible puisque le son et la lumière ont pété sur la plage (ou ont été coupés ?). Malgré cette fin en queue de poisson, un spectacle très distrayant et qui a permis d'approcher, n'en doutons pas, les plus troublantes créatures du Nouveau Monde !


Le final se joue cette année avec ceux qui sont en train de devenir (pour le meilleur ou pour le pire, on ne le sait pas encore ?), le nouveau plus grand groupe de rock anglais du monde, les Arctic Monkeys, qui nous passionnèrent il y a 5 ans, à l'époque de leur premier LP, soutenu haut et fort dans des prestations scéniques enthousiasmantes d'énergie survoltée. Depuis, ils ont sorti 3 LP et chacun nous a un peu moins intéressé que les précédents, malgré l'influence stoner de tonton Josh Homme, et des chansons mieux écrites (mais nettement moins jouissives).


Retour sur la grande scène donc, (il y a 5 ans c'était sous le chapiteau), où le concert démarre en trombe avec Brainstorm et This house is a circus... Comme pour les QOTSA hier : pas de frime, pas d'esbroufe et de nom écrit en grand. Les Arctic Monkeys sont là pour jouer du rock et foutre le feu sans allumettes, point barre : ils en jouent fort, et juste ! Still Take you Home est la première d'une longue série de titres des deux premiers albums (c'est bien aimable, c'est nos préférés !), suivie d'un comique "T'asseois pas, j'ai bougé la chaise" (en français dans le texte, et néanmoins avec une superbe son stoner : ah, si seulement les BB Brunes pouvaient entendre ça !)


Pretty Visitors (qu'on avait un peu oubliée) a également un son très lourd : c'est une bombe sur scène, mais pas autant que, un peu plus tard, Teddy Picker, l'un de leurs premiers tubes "historiques" (d'il y a 5 ans !) qui déclence une grosse bronca empoussiérée du public. A partir de là, le public va en gros s'agiter & s'époumonner jusqu'à la fin, sur une set-list aux petits oignons en pickles : Brick by brick (au son bodybuildé), la balade du dernier qui fait "sha la la la" (une pause bienvenue), avant un terrifiant enchaînement The View from the Afternoon // I Bet you Look good on the Dancefloor : sanglant !


Devant le constat que les meilleurs titres semblent passées, on s'inquiète un poil mais sans raisons : la série continue certes avec un ou deux titres moins marquants mais se conclut avec Do Me a Favor, puis la faussement calme When the sun comes down. Le rappel, car bien sûr avec une telle clameur il fallait qu'il y en ait un, se fait en mode mélancolique/balade : Fluorescent Adolescent, puis 505, nostalgique et puissante à la fois ! Une bonne idée que de conclure le festival là-dessus, en nous préparant à l'idée un peu déprimante que c'est fini pour cette année ; en tout cas les Arctic Monkeys ont conclu sans fausse notes sur un concert tonifiant et sonique !


Et voilà ! C'en est déjà terminé de cette 23 ième édition des Eurockéennes ! Parfaitement réussie, puisqu'elle a permis aux organisateurs de réaffirmer leur style (pêcheurs de prospects prometteurs, et attrapeurs de têtes d'affiche pointues), et de retoiletter magnifiquement le site tout en améliorant globalement son ergonomie. Couronnement de cet effort, 95 000 entrées, c'est à dire à peu près complet tous les jours et au moins 5 000 festivaliers de plus qu'en 2010 ! Et pour les participants, nous avons vécu de grandes sensations musicales, eshétiques et visuelles (en y ajoutant les Plasticiens Volants finaux, qui ont conclu l'édition après notre départ) : voilà une édition qui fera réellement date dans l'histoire du festival !

Alors comme toujours, souhaitons une Longue Vie aux Eurockéennes ! A l'année prochaine ... et aux 18 suivantes, espérons-le !

Illustrations par Philippe, Photos à venir par Andy Trax !

Bonus : quelques vidéos-souvenir (attention, explicit strip-tease included) par ici !

-----------------------------
Flashback : Chroniques de (mes) 18 Eurockéennes (!) :
2010, 2009, 2008, 2007, 2006, 2005, 2004, 2003.... et plus anciennes encore, en continu et en trois parties depuis, euh, 1994...

> Réponse le 08 juillet 2011, par Sam

Bien vrai ça, y'en a marre de la Heineken partout même aux eurock, rendez-nous la KRO (et les jetons aussi tant qu'on y est !!)   Réagir

> Réponse le 11 juillet 2011, par Solange

Bon, vous avez préféré les filles en tutu c'est humain, mais il faudrait préciser qu'il y a eu en même temps un MAGNIFIQUE concert d'ARCADE FIRE quand même. on est au moins 20000 a y être allé et moi j'en suis repartie enchantée ! (NdPh : certes, c'est dit !)  Réagir


Les Eurockéennes de Belfort : les dernières chroniques concerts

(mes) Eurockéennes 2022, 1/1 : Arka'n Asrakofor, Wu-Lu, Last Train, Frustration, Izia, Ascendant Vierge, Simple Minds, Paul Kalkbrenner en concert

(mes) Eurockéennes 2022, 1/1 : Arka'n Asrakofor, Wu-Lu, Last Train, Frustration, Izia, Ascendant Vierge, Simple Minds, Paul Kalkbrenner par Philippe
Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert, le 02/07/2022
On dit que tout vient à point à qui sait attendre... 2019 : de belles 26ièmes Eurockéennes pour nous, conclues par Arnaud Rebotini. 2020 : confinement général, pas glop mais bon,... La suite

En attendant les Eurockéennes 2022... une balade au Malsaucy ? en concert

En attendant les Eurockéennes 2022... une balade au Malsaucy ? par Philippe
Presqu'ïle du Malsaucy, Evette Salbert, le 04/07/2021
Dimanche 4 juillet 2021... Voilà 2 ans, jour pour jour, qu'ont résonné les dernières notes des Eurockéennes de Belfort (celles d'Arnaud Rebotini, sauf erreur), sur la Presqu'Île... La suite

Daft Punk (Eurockéennes de Belfort 2006) en concert

Daft Punk (Eurockéennes de Belfort 2006) par Pierre Andrieu
Presqu'île du Malsaucy, Belfort , le 24/02/2021
Après avoir permis de voir défiler sur scène The Strokes, Arctic Monkeys, Two Gallants, Dionysos, Malajube etc., la journée du 30 juin 2006 aux Eurockéennes de Belfort se... La suite

Stray Cats + Turnstile + the Roots + the Smashing Pumpkins (Eurockéennes de Belfort 2019) en concert

Stray Cats + Turnstile + the Roots + the Smashing Pumpkins (Eurockéennes de Belfort 2019) par Lebonair
Presqu'île du Malsaucy - Belfort, le 07/07/2019
Malgré la fatigue cumulée depuis jeudi, on est tout de même monté en régime au fil du week-end. Au programme, on retrouve notamment à l'affiche Stray Cats, Christine and the... La suite

AaRON : les dernières chroniques concerts

Muse, The Lumineers, Aaron, Lia, Grand Blanc, Courtney Barnett, Last Train, The Deaf (Paléo Festival 2016) en concert

Muse, The Lumineers, Aaron, Lia, Grand Blanc, Courtney Barnett, Last Train, The Deaf (Paléo Festival 2016) par Lionel Degiovanni
Nyon, le 19/07/2016
Nous voilà ici, de retour en Suisse, pour assister au Paléo 40+1 !!! La barre des 40 est passée, et l'ambiance du Paléo est toujours présente. On y retrouve aussi pas mal de... La suite

Aaron + Yanis en concert

Aaron + Yanis par Cathy VILLE
Radiant-Bellevue à Caluire et Cuire, le 30/01/2016
Concert de Aaron ce soir au Radiant-Bellevue avec une première partie assurée par Yanis, un jeune homme qui n'en est pas à sa première expérience musicale. Précédemment connu... La suite

AaRON en concert

AaRON par Calie-cotto
Espace André Malraux Six-Fours, le 28/11/2015
AaRON ... Groupe portant le même nom que leur premier LP : Artificial Animals Riding on Neverland. Si on fait aussi référence à ce prénom biblique, on retrouve dans l'étymologie un... La suite

Aaron + Rover en concert

Aaron + Rover par Ysabel
Espace Julien - Marseille, le 14/10/2011
Je dois reconnaitre que j'ai été un peu déçue lorsque j'ai découvert que ce n'était plus Nadéah qui assurait la première partie du concert de ce soir à l'Espace Julien. Elle ma ... La suite

Arctic Monkeys : les dernières chroniques concerts

Arctic Monkeys, Fontaines D.C., Idles, Yard Act, NewDad, Inhaler, Beabadoobee (Rock en Seine 2022) en concert

Arctic Monkeys, Fontaines D.C., Idles, Yard Act, NewDad, Inhaler, Beabadoobee (Rock en Seine 2022) par Pierre Andrieu
Parc de Saint-Cloud, Paris, le 25/08/2022
Retour sur le mémorable passage des Arctic Monkeys en tête d'affiche du festival Rock en Seine le 25 août, un concert concluant de très belle manière une journée apocalyptique... La suite

Arctic Monkeys (Les Nuits de Fourvière 2018) en concert

Arctic Monkeys (Les Nuits de Fourvière 2018) par Pierre Andrieu
Théâtre antique de Fourvière, Lyon, le 04/12/2020
"Le plus grand groupe de rock du monde..." Affichant toujours une classe américaine leur permettant d'évoluer bien au-dessus des autres, les Arctic Monkeys ont une fois de... La suite

Arctic Monkeys (Le Printemps de Bourges 2006) en concert

Arctic Monkeys (Le Printemps de Bourges 2006) par Pierre Andrieu
Le Phénix, Bourges, le 28/11/2020
Au cours de leur percutant concert sous l'immense chapiteau du Phénix à l'occasion du Printemps de Bourges 2006, les quatre adolescents du groupe Arctic Monkeys prouvent que,... La suite

Miles Kane en concert

Miles Kane par Lb Photographie
La Cigale - Paris, le 04/10/2018
Miles Kane a des choses à prouver. Et c'est à La Cigale qu'il a choisi de le faire, prêt à défendre un troisième album déroutant, éloigné de la trajectoire jusqu'ici prise dans la... La suite

Beady Eye : les dernières chroniques concerts

Main Square Day 1 : Limp Bizkit, Queens of the Stone Age, Eels, Selah Sue, Beady Eye, Warpaint, Shaka Ponk...  en concert

Main Square Day 1 : Limp Bizkit, Queens of the Stone Age, Eels, Selah Sue, Beady Eye, Warpaint, Shaka Ponk... par Boby
Citadelle, Arras, le 01/07/2011
Back to the roots pour la 7 éme édition du Main Square. Si les dernières années le Main Square avait pu habituer à une programmation dont le line up donnait des allergies... La suite

Beady Eye + The Dodoz en concert

Beady Eye + The Dodoz par lolo
Bikini, Ramonville, le 19/03/2011
Concert de Beady Eye à 19h (bientôt, on sera en matinale !), service d'ordre musclé digne du plan vigie pirate alerte maximum, limite fouille au corps, sandwichs jetés à la... La suite

Philippe Katerine : les dernières chroniques concerts

Clair en concert

Clair par Sami
La Meson, Marseille, le 08/04/2023
On a tellement l'habitude d'attendre des mois, voire des années de voir des artistes dont on aime les disques à Marseille, ce soir c'est un peu l'inverse, l'album de Clair etant... La suite

Benjamin Biolay et Philippe Katerine (Festival Europavox 2021) en concert

Benjamin Biolay et Philippe Katerine (Festival Europavox 2021) par Pierre Andrieu
Stade Marcel Michelin, Clermont-Ferrand, le 27/06/2021
Dernier soir pour le Festival Europavox 2021 au stade Marcel Michelin (Clermont-Fd), avec en têtes d'affiches fédératrices et 100% françaises Philippe Katerine et Benjamin... La suite

Philippe Katerine + Eveno (Tournée  Confessions) en concert

Philippe Katerine + Eveno (Tournée Confessions) par Pierre Andrieu
La Coopérative de mai, Clermont-Ferrand, le 23/01/2020
Triomphal retour de Philippe Katerine à La Coopé, qui affiche complet ce 23 janvier 2020 et réserve un accueil chaleureux (mais pas délirant, le public étant un peu... La suite

Philippe Katerine (featuring Lomepal) en concert

Philippe Katerine (featuring Lomepal) par lol
La Cigale, Paris, le 16/12/2019
On ne savait pas vraiment à quoi s'attendre en allant voir Philippe Katerine en concert à la Cigale en ce 16 décembre 2019. En quittant la salle après 1h30 de spectacle, on n'était... La suite

Presqu'Ile du Malsaucy, Evette Salbert : les dernières chroniques concerts

(mes) Eurockéennes 2022, 1/1 : Arka'n Asrakofor, Wu-Lu, Last Train, Frustration, Izia, Ascendant Vierge, Simple Minds, Paul Kalkbrenner en concert

(mes) Eurockéennes 2022, 1/1 : Arka'n Asrakofor, Wu-Lu, Last Train, Frustration, Izia, Ascendant Vierge, Simple Minds, Paul Kalkbrenner par Philippe
Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert, le 02/07/2022
On dit que tout vient à point à qui sait attendre... 2019 : de belles 26ièmes Eurockéennes pour nous, conclues par Arnaud Rebotini. 2020 : confinement général, pas glop mais bon,... La suite

En attendant les Eurockéennes 2022... une balade au Malsaucy ? en concert

En attendant les Eurockéennes 2022... une balade au Malsaucy ? par Philippe
Presqu'ïle du Malsaucy, Evette Salbert, le 04/07/2021
Dimanche 4 juillet 2021... Voilà 2 ans, jour pour jour, qu'ont résonné les dernières notes des Eurockéennes de Belfort (celles d'Arnaud Rebotini, sauf erreur), sur la Presqu'Île... La suite

Daft Punk (Eurockéennes de Belfort 2006) en concert

Daft Punk (Eurockéennes de Belfort 2006) par Pierre Andrieu
Presqu'île du Malsaucy, Belfort , le 24/02/2021
Après avoir permis de voir défiler sur scène The Strokes, Arctic Monkeys, Two Gallants, Dionysos, Malajube etc., la journée du 30 juin 2006 aux Eurockéennes de Belfort se... La suite

Kraftwerk (Eurockéennes de Belfort 2005) en concert

Kraftwerk (Eurockéennes de Belfort 2005) par Pierre Andrieu
Presqu'île du Malsaucy, le 03/07/2005
Les quatre informaticiens allemands de Kraftwerk nous avaient fait très fort impression lors des dernières Trans Musicales de Rennes, ils ont réitéré leur robotique performance... La suite