Accueil Chronique de concert (my) This Is Not a Love Song (TINALS) Festival 2018, 2-3 : John Maus, Chorale La Paloma, Mattiel, The Buttertones, Chocolat, Father John Misty, Black Bones, Yellow Days, Phoenix, Ecca Vandal, Viagra Boys, Ty Segall
Jeudi 28 mars 2024 : 6615 concerts, 27064 chroniques de concert, 5409 critiques d'album.

Chronique de Concert

(my) This Is Not a Love Song (TINALS) Festival 2018, 2-3 : John Maus, Chorale La Paloma, Mattiel, The Buttertones, Chocolat, Father John Misty, Black Bones, Yellow Days, Phoenix, Ecca Vandal, Viagra Boys, Ty Segall

(my) This Is Not a Love Song (TINALS) Festival 2018, 2-3 : John Maus, Chorale La Paloma, Mattiel, The Buttertones, Chocolat, Father John Misty, Black Bones, Yellow Days, Phoenix, Ecca Vandal, Viagra Boys, Ty Segall en concert

Paloma, Nîmes 2 juin 2018

Critique écrite le par

Le vendredi, c'était par ici !


Deuxième journée et pas la moindre à TINALS, qui se joue encore une fois des nuages vaguement menaçants qu'on aperçoit ici ou là pendant la journée. On arrive seulement en fin d'aprème, ayant profité de la journée pour découvrir un peu mieux Nîmes dont on ne connaissait vraiment que les bruyantes Arènes (à qui l'on doit des concerts mémorables de Radiohead, Rammstein, Metallica, Nine Inch Nails etc)... On constatera d'ailleurs que d'autres "Tinaliers" en eu la même idée, en croisant des gens arborant le joli bracelet bleu en tissu du pass 3 jours, à plusieurs reprises sur les terrasses et dans les rues de cette bien belle ville, et même au Carré d'Art Contemporain.


On commence avec John Maus, un garçon très agité qui joue de la pop fortement marquées 80's et l'incarne comme si sa vie en dépendait, en hululant des cris informes tout en faisant du headbang sur des airs synthétiques. Dans notre cerveau, le kitsch warning se met à clignoter très fort, le temps de décider si cela ressemble plus à Simple Minds, ou à A-Ha... Même avec une orchestration mise à jour et des mélodies plaisantes, c'est un style qu'on ne peut pas raisonnablement supporter trop longtemps, d'autant que les extérieurs ensoleillés nous appellent. La première bonne sensation de la journée est donc plutôt la Chorale de la Paloma, ces dames et messieurs en bleu, qui reprennent magnifiquement le gospel furieux The Underside of Power d'Algiers dans le patio. On les a déjà aperçus hier, et leur grand nombre leur donne une puissance indéniable. Bonne idée d'animation !


Après avoir croisé l'autre moitié du public rock de Marseille (...celle qu'on avait pas croisée hier), et avoir agréablement et longuement blagué, on se décide pour Mattiel, from Atlanta, nouvelle chanteuse sur le circuit, petite demoiselle dotée d'une voix forte, assurée et par moments assez torride, et portée par un groupe costaud au look ska impeccable. Compositions assez classiques mais la puissance de l'ensemble fait que ça groove bien, avec des riffs d'enfer. Du coup c'est un petit manque de subtilité qui finit par se faire sentir au sein de ce torrent d'énergie rock'n'roll : un morceau lent tombe à pic et dévoile pourtant un réel potentiel dans cet autre secteur. Pas étonnant qu'elle ait été disque du mois dans Rock'n'Folk, elle le mérite !


Mais il y a tant de concerts à la même heure qu'on décide de tenter également les Buttertones, des minots encore de L.A. (décidément, on a du faire un charter depuis la Californie cette année, à moins qu'on ait eu un prix de gros ?) Annoncés "surf", ils en font un peu mais d'une manière pas tout à fait stricte comme le veut le style, en partant aussi vers le rock ou le punk. Curieusement ils semblent manquer un peu d'enthousiasme également, en plus de direction artistique... Sympa mais sans plus, on se rue donc au patio dans l'espoir de voir la fin de Cathedrale qui a bondé cet espace à un point inédit. La preuve que leur punk rock était sans doute super cool mais... une seule chanson vue, hélas. Mauvais timing !


Les canadiens de Chocolat, enthousiastes, frappent d'abord par leur look rigolo avec bleu de travail, mulets et moustache pour certains, le chanteur ayant des faux air de Gunther "Ding Dong Song"... Psyché, prog, garage, un peu Zappa par moments, un passage en horrible scie heavy metal (quand même assez jouissif), une balade franglaise dérangée, une fin instrumentale puissante : ils sont très attachants ("si y'en a qui veulent faire des stage-dive, tantôt...") et rigoureusement inclassables, musiciens très techniques alternant des moments géniaux (tout ce qui va vite et fort, en gros) et d'autres plus déconcertants. Rigoureusement inclassables mais très efficaces sur scène !


Trompé par son nom ténébreux, on imaginait Father John Misty, ex-Fleet Foxes, un peu plus mystérieux ou mystique : le groupe qui a attiré une grande foule fait finalement de la chanson rock assez classique, portée principalement par la très belle voix claire d'un chanteur charismatique. 10 personnes sur scène ne seraient pas forcément nécessaires... C'est très joli, certains titres sortent du lot (Leaving LA), mais pas non plus bouleversant sur la longueur. Avec quand même une mention spéciale à la très belle Mr Tillman, qui rappelle agréablement Sean Lennon. Musique néanmoins idéale pour ambiancer une fin d'après-midi douce et plaisante, comme seul TINALS peut en procurer...


A la recherche de sensations plus fortes, on s'aventure à Black Bones, un collectif de Reims aux costumes rigolos (mexicains ET fluo, ouch, ça pique un peu les yeux !), qui s'est peint le visage de masques mortuaires à la peinture invisible : quand la lumière noire apparaît, un petit côté Fiesta del Muerte très réussi ! Le groupe a un répertoire varié de pop joyeuse ou triste, lorgnant sur le hip-hop, joliment interprété, voix femelle et voix mâle, en trafiquant parfois les voix vers le bas ou vers le haut. Certains hymnes pop sont assez touchants (I'm a Believer), d'autres plus difficiles à aimer (I'm gay...), mais le rendement d'un batteur et d'une basse costaud portent le tout, flirtant parfois avec le kitsch sans jamais y sombrer. Grosse ambiance et une belle surprise, à découvrir plutôt sur scène !


C'est le moment d'entendre avec plaisir la soul blanche (de peau, pas de voix) de Yellow Days, qui met en avant un très jeune chanteur doté d'une voix torturée et gracieuse, parfaite pour le job. Jamais vu un soulman crédible et aussi jeune, il a même déjà certaines mimiques de Stevie Wonder ! Les petits blanc-becs alignent des compositions impeccables de soul languide, c'est à la fois très beau et un peu léthargique quand même sur la durée - mais il n'y a que ça à cette heure ! Une partie du public en profite pour faire sa sieste de fin d'aprème en rêvassant debout, une autre pour sa pause pique-nique ou pour aller déconner au Sound Truck, ambiancé par deux hurluberlus déjantés qui alternent joyeux bides humoristiques, dance floor hors de contrôle avec queue-leu-leu intégrale, et autre karaoke sur Mireille Mathieu...


Pour les avoir souvent vus, on connaît bien le gros barnum que représente Phoenix sur scène, qui nous horripile un peu par certains côtés (6 sur scène dont un batteur très puissant... 4 sur photos, pourquoi ?) mais déploie une efficacité indéniable dans sa pop high energy. Leurs titres comme Girlfriend sont parfois devenus des hymnes générationnels, repris par tout le public : du coup ils déroulent sans surprise, en mode best-of et alignent les machines de guerre (Listomania). Pour cette fois, 20 minutes nous suffiront, merci, mais il faut leur reconnaître des qualités d'entertainers à l'américaine, plutôt rares en France.


Comme on est quand même plutôt venu faire des découvertes, place à la petite et très vénère petite punkette australienne Ecca Vandal, et son hip-hop mâtiné de metal. Une grosse décharge d'énergie qui électrocute les premiers rangs, transformés en pois sauteurs, mais qui manque un peu de chansons marquantes. Le mélange de deux styles énervés fonctionne quand même très bien sur certains titres, qui peuvent rappeler Cypress Hill notamment (un morceau vraiment classe sur les réfugiés en particulier), tandis que d'autres sont plutôt vilains et irritent un peu les oreilles. Plus ou moins plaisant donc, au fil de la set-list. On sort quand même un peu lessivé du shaker, à la fin d'un programme avec essorage inclus.


Il ne nous faudra que 30 secondes de lignes de basse groovy et glaciale à la fois, et aussi voir la gueule du chanteur, pour savoir qu'on va forcément adorer les suédois de Viagra Boys ! Rock, punk, post-punk, tout est bon tant que ça permet d'emporter le public dans une transe, qui ne faiblira (un peu) que pendant le long moment où toute la façade de droite de la scène va tomber en panne. Comme on pouvait s'y attendre, le chanteur est couvert de tatouages, y compris sur une bedaine qui dévoile un excessif (mais légitime, nous le partageons) amour de la bière... Attitude de branleur, dégaine d'enfer, insultes gratuites proférées d'une voix délicieusement hargneuse, guitares rentre-dedans et saxophone en embuscade, chansons mortelles dont la dernière est étirée dans une coda surpuissante d'environ 10 minutes : le groupe produit un concert absolument fabuleux de punk 3.0, en fracassant au passage tous les codes du genre. Même en mid-tempo, il reste fascinant. Assurément notre prochain achat en vinyle !


Reste à re-re-re...voir le grand prêtre du rock de SF, l'homme au mojo d'enfer, invité ici une année sur deux - tout comme à Rock en Seine, notre bien-aimé Ty Segall, qui ne fait jamais deux fois la même chose en live et est donc capable à notre goût du meilleur (époque "Manipulator") comme du presque pire (époque "and the Muggers"). Ce soir, il fonctionne en mode gang, exclusivement tourné vers ses quatre musiciens. Comme toujours il déchaîne une nouvelle et plutôt enthousiasmante set-list de titres amples, où l'on reconnait quelques titres de Freedom Goblin (désolé, mais au rythme de ses sorties, on a plus le temps de les mémoriser...). Hélas des enchaînements très laborieux, tout comme l'absence de communication vers le public, finissent par faire ressembler le tout à une répétition en plein air... Reste la puissance ravageuse des titres étirés jusqu'à la transe, sa voix fascinante et sa capacité à faire sortir les enfers de sa six-cordes, avec un groupe qui lui obéit littéralement au doigt et à l'oeil. Au final, plutôt un cru moyen donc, connaissant son potentiel quand il a vraiment bossé la mise en scène et la set-list mais bon, ça reste Ty Segall !


Retour à la fraîche après une deuxième longue et belle soirée, peut-être un peu plus copieuse encore que la première, en tout cas nettement plus peuplée, et encore très riche de découvertes !

Troisième journée, c'est par !


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