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Chronique de Concert

Joseph Arthur

Joseph Arthur en concert

Poste à Galène Marseille 20 mai 2011

Critique écrite le par

"Embrasser le Cul de Dieu !
Plutôt Que Celui de Mick Jagger..."
("A Punk Wouldn't Feel Guilty !" / Joseph Arthur / 20/5/11)


Préquelle en mode récapitulatif/rétrospectif : destinée à remplir succinctement les "manques", divers "questionnements", et/ou, "blancs" éventuels...

Tout de suite, à peine entré en les sombres arcanes du lieu : une paire de neurones nostalgiques se/me demande combien il peut bien y avoir de "survivants", d'"originaux", d'"historiques", d'individus déjà présents devant-lui en ce même PAG (le 28 Juin 1997) dans la foulée de son tout premier album Big City Secrets, alors enregistré de magie au sein des studios Real World, de Peter Gabriel !



22 albums, des DVD, Recueils de Poèmes, Peintures, Expositions et Dessins, ou milliers de concerts donnés, plus loin, l'on est en droit de se demander si la même flamme l'habite encore, si la passion demeure, si dame créativité chevauche toujours gaillardement à ses côtés, et surtout, surtout, tenter de comprendre pourquoi celui-ci n'est pas placé aujourd'hui au niveau des grands du genre - Dylan, Neil Young, Springsteen, Lennon... - ou tout du moins considéré comme tel, comme leur égal : ici, là, un peu plus à droite sur la carte, quelques centimètres en dessous, en quelque nouveau continent ou îles lointaines, et puis, tiens, pendant qu'on y est, par-là, en la "Vieille Europe", aussi ! Tant qu'on y est !
Ce mec reste décidément une énigme : il a pondu une cinquantaine d'hymnes incontournables - In The Sun, Mercedes, History, Redemption's Son, Honey and The Moon, Birthday Card, Big City Secrets, Enough To Get Away, Prison... - dotés de mélodies à tomber et habités de VRAIS lambeaux de chair de vie, "dedans", écrit de sang ou sève, signé, dessiné et parlé sans compter avec des dizaines de milliers de fans et spectateurs "en amour", qu'il a rejoint de décontracté dès la fin de ses shows, et, c'est toujours comme s'il n'existait pas, ou peu, ou pas ; au plus proche de l'insignifiance médiatique ou de l'existence artistique réelle, à peine reconnu, donc... Un non sens, quand on voit "ce" qui triomphe, s'"expose", ou bien s'"achète" en masse du quotidien, par chez-nous !



Bonne nouvelle : le gars originaire d'Akron/Ohio/USA recommence à peindre sur scène au cours de l'actuelle tournée, chose qu'il avait délaissée de son plein gré dès l'émergence de son groupe (de potes musiciens) nommé d'après l'une de ses peintures : The Lonely Astronauts ! Mauvaise nouvelle, après un dessin rapide, très beau, très graphique, exécuté de main de maître à l'aide d'un tracé initial plein d'assurance, de maîtrise, de beauté instinctive, il n'y reviendra plus et se contentera simplement de la regarder à maintes reprises, mais sans jamais aller oser plus loin ! : "Tu comprends, j'en trouvais le tracé tellement abouti, quasi parfait, ou presque, que j'ai eu peur de la saloper, parce que... Tu comprends bien que ce n'est pas sur scène, en chantant ou en jouant avec mes loops, que l'on obtient les choses les plus abouties qui soient, côté peinture ! J'y reviendrais sans doute plus tard... Ou pas !" (Joseph Arthur/Toulon "After Show" : 21 Mai 2011).
Pour le reste, après un court départ avorté de technique incidents, l'Arthur se lance dans une très belle version de Almost Blue, extrait de l'album The Graduation Ceremony, encore à paraître en France curieusement (le 6 juin !) : ce qui tendrait à expliciter au mieux la relative et actuelle désaffection des salles dont il est (LA) victime (PINCIPALE) de la part d'un public Français qui lui sera pourtant de tous temps resté fidèle, 15 années durant. Comment en effet arriver à fédérer du public, lorsque le battage médiatique est à ce point léger, inexistant, frisant le ridicule de légende : pas d'album en vente "libre" - hormis le vinyle en édition limitée qu'il tendra fièrement devant lui afin de le présenter dès le début de Gypsy Faded On Us - pas de single, pas de passage en radio, pas plus d'exposition cathodique, d'interview, ni même de scandale Cannois ou d'affiche de la tournée à mâter en ville... C'est donc d'ores et déjà une sorte d'exploit herculéen, que le Poste À Galène ne sonne pas définitivement creux d'humain aux alentours des 21 h 30 !



En dépit d'une once d'énervement - nichée en bordure d'une paire de regards noirs, insistants, lancés à destination de la technique - née d'un affreux "larsen", la version est belle, forte, un rien bruitiste, habitée d'envie et augmentée d'un tout premier "Spoken Word", extrait de son recueil de poèmes à LUI, dont il s'empare au plus vite afin que de scander et brasser du mot "Freedom" (liberté) à donf, en mode "Dylanesque" très sixties (Your Only Job). Un texte qui renvoie illico en les vertes années du genre, avec la liberté et l'amour (re)mis au centre de toutes choses ; comme au bon vieux temps d'un "Flower Power" indexé sur ces deux valeurs "phare", qu'il semble parfois n'avoir quitté que pour mieux user des actuels avantages/évolutions né(e)s des avancées de la froide technologie. Une envolée brutalement avortée du pied qui le voit se lancer en une suite de courts gémissements lancés au plus près de la Roche Tarpéienne : comme en bordure de vide, au plus proche de la chute, mais sans espoir aucun de remontée probable, possible, ni même, espérée (par ailleurs) : "...mais tu n'arrives pas à LA trouver, non, tu n'y arrive pas ! Dans un miroir, tout est inversé. Tu n'arrives pas à LA trouver, non, et chaque jour, tu te sens maudit un peu plus..." (Black Lexus)



Pris d'une subite envie de s'en aller titiller du manche, ce fameux "Chaos et Beauty" de légende : il décapsule sèchement un feutre d'un coup de mâchoire supérieure, jette le capuchon au sol, au loin, puis se bâtit un véritable "mur" du son à même de faire rougir de jalousie le fameux Spectre du Phil d'antan : fait de larsens et soli entremêlés d'un rien de cacophonie - augmentée de claquements secs et réguliers du poing, sur corps de guitare consentante. Une "giclée" d'adrénaline qui emballe de sec ce début de set en fanfare (même si le feutre ne servira finalement à rien, LUI, niveau bruit de bouche, solo, ou tableau !).

Et, puis, tout semble finalement se détraquer, dans la foulée d'un assourdissant LARSEN qui cisaille nos pavillons pour les martyriser encore un chouïa plus. Après avoir promis de jouer "beaucoup d'extraits du nouvel album !", il se fend d'une version brouillonne, du pourtant très beau Gypsy Faded On Us, puis d'un bancal Watch Our Shadows Run, sauvé uniquement par la force d'une voix, LA sienne : qui touche, qui remue, qui interpelle en profondeur, qui remue de l'émotion à tout va (visite en les culottes des filles, comprise !). Tandis que Too Much To Hide le voit peiner à bien superposer ou faire cohabiter les couches de son, je me demande pourquoi le gars - qui ne fait pourtant pas partie des "moches" de légende... - fascine d'autant à l'aide de ses pieds (très mal) chaussés de laides bottines de daim élimées, paisiblement vieillies en "fût de concert", chaque soir, année après année, méthodiquement, sans se presser ni jamais, l'affaire, lâcher ! De pauvres "boots" ouvertes en deux qui fabriquent pourtant du fétichiste partout autour, et à la pelle ! Une sorte d'énigme moderne que l'on se plaira à ne surtout pas fouiller plus avant, tant il est parfois bon que le mystère demeure : à défaut de la bête qui l'habite et/ou le consomme lentement depuis 16 années, en de multiples occasions, lieux, bouges, états, tropiques, ou continents ; par tous les temps, modes, dénis, ou périlleux équilibres.



Une suite de sautes d'humeur vrillées sur manche, plus loin, retour à la case, The Graduation Ceremony, avec un Horses- parfois frénétique sur scène, depuis quelques semaines - qui, peine à convaincre, cette fois, de même que les deux morceaux suivants, d'ailleurs, joués en mode baisse de tension (Temporary People / Travel as Equals + Out on a Limb) avant que le Joe ne s'en prenne vertement à une "pète-quenouilles en chef !" nichée à quelques pas dans le public, qui ambitionne manifestement de couvrir ses vocalises de notes personnelles sans intérêt, ni grâce aucune ; le principal "touché" lui conseillant sèchement de la "fermer !", parce que se plaignant ensuite de devoir ainsi "mettre ses tripes sur la table, comme ça, là, devant quelqu'un de bourré qui caquète de façon insupportable, juste là, en face !".

Curieusement, cela semble avoir le don de le réveiller, parce que ce qui suit ravive ô combien nos attentes pour les ravir de foulée : Isobel - tout nouveau morceau encore inédit de studio, comme c'est devenu la norme, lors de chaque tournée ! - se pare tout de go de beaux atours, rythmes et bruits, compris, avant qu'il ne s'arrête de nouveau pour demander si le public est en mal de suggestions. Comme c'est devenu d'usage, il en à "oublié !" certaines (Permission) ou dédaigne clairement d'autres propositions (Leave Us Alone, Hang Around Here) pour se fixer sur le sublime Toxic Angel, extrait du cultissime Vacancy (99), qu'il magnifie alors d'envie, en dépit d'un très léger dérapage sur pédale qui manque d'en interrompre brusquement l'irrésistible "montée".
Jouée, comme d'hab', sur un clavier de foire très 80's, Eyes On My Back irrite autant qu'elle n'attire, ou ne convainc, et se pare, en sus, de longues nappes éthérées uniquement destinées à soutenir une troisième "déclamation poétique" qui fige d'autant les non-anglophiles, et qui ne s'imposait nullement, céans. On peux tout de même légitimement se demander s'il n'en connaît qu'une, au piano, le gars Joe ! Et, puis, tiens, vu que son installation n'est véritablement destinée qu'à "pousser" icelle, s'il ne ferait pas mieux de tourner SANS, finalement...



Emblématique de ses débuts et (toujours) très appréciée, ici, en France, Mercedes récupère le flambeau porté en berne pour réveiller pleinement l'auditoire et rappeler dans le même temps que ce putain de "songwriter" fait partie des tous meilleurs : une version sèche, tendue, chantée à la perfection, soit, mais qui met curieusement un terme au concert, au moment même où celui-ci ne s'apprêtait à décoller de nouveau.

Séquelle (bruissante d'acoustique et d'intimité, feux de camp et marshmallows, exceptés)

C'est un Joe apaisé, rieur et détendu, qui s'en revient alors vers-nous une courte paire de minutes plus loin. Un Joe qui entreprend de s'excuser auprès de la "fille" rudoyée quelques instants plus tôt - qui se croira alors tout permis et qui se mettra bêtement en scène jusqu'au bout, jusqu'à l'absurde, oubliant par là même ce pourquoi il y a un public et un ARTISTE, et nous les brisant, "menu, menu !" jusqu'au bout ! - puis qui s'amuse d'une fin annoncée/autoproclamée du monde (pour ce soir) nous enjoignant alors à enlever tous nos vêtements pour organiser dans la foulée la plus improbable et inattendue des orgies, sur fond du fameux "Jesus t'aime plus que tu ne le saura jamais" extrait du magnifique et toujours recommandé Nuclear Daydream (l'album) avant d'enchaîner sur Nuclear Daydream (la chanson !) de refuser Look At Me (Lennon) Shock The Monkey (Peter Gabriel) et Wild Horses (Stones) de taper du talon en rythme sur le curieux et dépenaillé I Miss The Zoo, puis de boucler le tout à l'aide du traditionnel In The Sun : le morceau qui eut dû lui permettre de tutoyer les sommets de la célébrité si les réseaux radio et "clients" de ceux-ci possédaient réellement quelque chose d'autre que du marketing et du laid profit entre les 2 oreilles ; un sommet repris par Peter Gabriel, chanté avec REM et toute une kyrielle d'autres sommités musicales, et que Chris Martin (Coldplay) présente souvent comme étant LA plus belle chanson du monde, aussitôt après l'avoir interprétée de concert...



Un concert du soir qui aura vu (lui) le Joe alterner sans cesse entre les bons, les grands, les "petits" moments, les "intimes", et les instants plus "meuble", soit, mais qui aura une fois encore rappelé aux esprits chagrins et autres grincheux de passé shootés d'amère nostalgie, que sa présence reste un présent, que son art est unique, délicat, et que les courts moments passés en sa compagnie s'apprécient, se goûtent, se nichent le plus souvent au plus proche du précieux de légende...

Comme à CHAQUE FOIS (depuis 15 ans !) : il est ensuite venu parler et signer, échanger et poser, parler et parler encore, jusqu'à plus soif, jusqu'au bout de la nuit, avec qui en manifestait simplement l'envie ou le souhait, et, rien que pour cela (en sus de tout le reste) il mérite de toute façon notre respect entier, affiché, "fan-ifié", éternel !

Set List :

Almost blue / Your Only Job
Black Lexus
Gipsy Faded
Watch Our Shadows Run
Too Much to Hide
Horses
Temporary People / Travel as Equals
Out on a Limb
Isobel
Toxic Angel
Eyes on My Back /The Big Sleep
Mercedes

Don't Tell Your Eyes *
Nuclear Daydream *
i Miss the Zoo *
In the Sun *

(* Versions Acoustiques : Hors Sono et Micro !)

AFTER, AFTER, AFTER, AFTER SHOW !!!

Ayant dû annuler au tout dernier moment un show-case (+ signature) prévu au magasin de disques Massilia Records (13, cours Lieutaud / Marseille) ce même jour : Joseph Arthur y aura néanmoins fait escale (en route pour Zurich) une heure durant, le dimanche 22 : afin de s'excuser pour l'annulation, parler, prendre un café, tâter du vinyle, acheter un T-Shirt des Stones, et y apprécier l'Exposition d'Art installée à l'étage ! Du pur bonheur à sauvegarder longtemps en mémoire, pour les propriétaires du lieu...


> Réponse le 24 mai 2011, par dr-psychedelic

Merci de m'avoir fait revivre ce moment inoubliable J2C même si je ne suis pas aussi sévère que toi sur l'analyse de ce concert (excepté pour la "perturbatrice") que j'ai trouvé passionnant comme souvent, mais il est vrai que je n'ai pas ton expérience en ce qui concerne les prestations live de JA. Je tiens à signaler d'autre part que son dernier album est magnifique, et qu'il nécessite comme bien souvent chez JA quelques écoutes avant d'avoir le privilège de pénétrer son univers. Pour info. il est disponible en tirage limité (vinyl blanc) à côté quelques live de cette tournée chez Massalia Records. dr-psychedelic   Réagir

> Réponse le 25 mai 2011, par Lacrymoboy

Je suis Joseph Arthur depuis le début, l'ayant vu de nombreuses fois (au début) sur scène. Mais j'avais arrêté car les dernières fois, ça ne le faisait plus. Sur disque pareil d'ailleurs ... Puis j'ai écouté ses derniers opus et j'ai trouvé ça mieux qu'à une certaine époque. Bref, me voici parti pour le Poste. Comme d'hab, accueil désagréable par l'équipe du Poste puis je retrouve sur scène l'attirail de Joseph Arthur : guitares, pédales d'effets à gogo et toile prêt à être peinte. Bon depuis la dernière fois (il y a un paquet d'années), 3 guitares au lieu d'une seule (il en touchera que 2), beaucoup plus d'effets au sol, un clavier pourri et la toile plus grande ! Il attaque le concert par peindre en un seul trait 2 personnage et il ne fera pas plus sur la toile car il le dit...  La suite | Réagir

> Réponse le 25 mai 2011, par Francois

Un artiste que je ne connais qu'a travers le concert où je m'ennuyai. Mais est-ce sa faute ou la mienne si je n'arrivai pas à rentrer dans son univers. Et là, un bon concert. C'est bien mieux qu'avant.  Réagir

> Réponse le 29 mai 2011, par Cabask

[Poste à Galène - Marseille - 20 mai 2011] Bravo à J2C pour ces superbe chronique retranscrivant bien ce qu'il s'est passé vendredi dernier. Bien que foutraque par moment (le savant fou créant l'ensemble des pistes en direct est pourtant passionnant), la prestation s'est révélée fort appréciable. Les styles musicaux et les intonations de voix ont beaucoup varié, évitant l'ennui (à part peut être sur le titre avec une très longue intro au clavier). La guitare et la voix ont toujours été la hauteur et l'émotion palpable à bien des moments. La qualité d'écriture a crevé les oreilles, tant ce songwriter maudit est grand. Les perles se sont succédées et la ressemblance par rapport à Dylan, notamment pour le protest singer déclamant ses vers, était parfois criante, sans verser pour autant dans la caricature ou la simple...  La suite | Réagir


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