Accueil Chronique de concert (mes) Eurockéennes 2019, 2/2 : Julia Jacklin, Stray Cats, Turnstile, The Roots, 88Kasyo Junrei, The Smashing Pumpkins, Arnaud Rebotini
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Chronique de Concert

(mes) Eurockéennes 2019, 2/2 : Julia Jacklin, Stray Cats, Turnstile, The Roots, 88Kasyo Junrei, The Smashing Pumpkins, Arnaud Rebotini

(mes) Eurockéennes 2019, 2/2 : Julia Jacklin, Stray Cats, Turnstile, The Roots, 88Kasyo Junrei, The Smashing Pumpkins, Arnaud Rebotini en concert

Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert 7 juillet 2019

Critique écrite le par


Après un traditionnel et très agréable barbecue à la fraîche, on arrive un peu avant l'ouverture, pour un deuxième et dernier jour au Malsaucy, toujours baigné de soleil même pas caniculaire... Et on croise à l'entrée, parmi le tout-venant festivalier, toute une petite foule très typée : des rockeurs tatoués et gominés de frais (parfois avec des constructions capillaires impressionnantes), dont certains doivent également soulever de la fonte régulièrement ! Ils sont évidemment venus pour les dieux du rockabilly qui vont jouer tout à l'heure, impossible de les manquer ! C'est aussi là qu'on croise l'Eurockéen antédiluvien, déjà cité hier, celui qui a non pas deux mais presque trois fois l'âge moyen du reste du public, heureusement tiré vers le haut aujourd'hui par les rockabillies en goguette, pas vraiment des perdreaux de l'année non plus... Même si le rock'n'roll immortel - c'est bien connu - a pour effets naturels de rafraîchir le teint, retendre les collagènes, muscler le pelvis, brûler la cellulite et ralentir la chute des cheveux...


Après avoir glandouillé un moment sous les arbres, un rafraîchissement à la main, on rejoint la toute mimi Julia Jacklin, qui attaque directement (enfin attaque, façon de parler, c'est très doux !) par sa très jolie chanson Body ! Dans ses moments les plus dynamiques, elle nous fera penser à Anna Calvi, d'autant qu'elle est armée d'une Telecaster comme elle, ce qui accentue la ressemblance du son. On ondule doucement en rythme, en regardant l'australienne chanter les yeux mi-clos, secondée discrètement par son groupe, habités par ses compositions délicates comme Don't know how to keep loving you, ou emportés par quelques jolis moments plus pop/rock comme You were right. Au final, elle constitue une belle alternative pour les gens qui trouveraient la londonienne trop lyrique (nous n'en faisons pas partie !), étant elle-même plus dans la retenue et la balade, en mode presque exclusivement majeur... Du coup, certes pas de chair de poule, mais assurément le moment le plus délicat du week-end !


On en part un peu avant la fin pour rejoindre les légendes vivantes du jour, ceux qui étaient déjà délicieusement vintage (qui a dit ringards ?) dans les années '80 : les Stray Cats ! En configuration orthodoxe bien sûr, donc en trio Gretsch / contrebasse / batterie, et avec trois membres d'origine s'il-vous-plaît (pas si évident, après 40 ans d'existence...). Le très fringant et chaleureux Brian Setzer, le très affuté et souple Slim Jim Phantom, le très classieux et péroxydé Lee Rocker, ne sont pas venus pour vendre des cravates ! Mais bien pour délivrer une grand-messe de rock'n'roll, parfois teintée de surf (avec un passage par le célèbre Misirlou de Dick Dale). Pas de fioriture sur scène, leur seul autel sera une série d'images de leur iconographie personnelle (un peu pixellisées, ils se sont pas foulés), projetées sur le grand écran.


Evidemment, la chevelure de Brian Setzer ne fait plus 20 centimètres de haut comme à la grande époque... Mais il n'a rien perdu dans ses dix doigts, tricotant du début à la fin des titres de rock'n'roll extraordinaires, comme leur célèbre reprise de Gene Vincent, Double talkin Baby, ou le medley/hommage Gene & Eddie... Voilà qui nous a bien énervé de joie, et mériterait presque un petit pogo ! Eux-même sont encore très en forme : le batteur se trémousse et sourit du début à la fin, le contrebassiste porte son énorme babasse en guitare, lui fait faire des tours sur elle-même, fait mine de la saillir ou monte dessus, tandis que le chanteur grimpe aussi bien sur la batterie que sur la contrebasse ou sur un retour, entre deux magnifiques assauts de sa six-cordes.


Car surtout, ça joue et ça sonne fantastiquement, bordel de Zeus ! A commencer par leurs propres tubes aux riffs saignants - que nous avons pour certains en 45 tours : la décontractée Stray Cat Strut ou la pétaradante Runaway Boy (sans doute notre préférée). Puis d'autres que je ne connaissais pas, comme l'explosive Blast Off, la très elvisienne Fishnet Stockings, un très joli slow en passant... Et sans oublier évidemment au final, celle sans laquelle ils auraient risqué de finir atrocement ... dépeignés par leurs fans dépités : l'indépassable Rock this Town ! Pour les amateurs et pour les fanatiques de bibabeuloula, 75 minutes de pur bonheur sans mélange, et un énorme groupe à enfin cocher sur notre to-see-before-I-or-they-die list !


A vrai dire, il nous faudra un bon moment pour nous en remettre... Il faut dire que la Pollution de France passe à ce moment-là au dessus de nos têtes (oui, bon, c'est très joli évidemment !), qu'on a entamé une visite exhaustive des 14 installations de nourriture du site, et qu'un hotdog Montbéliard/oignons rouges nous a pratiquement sauté dans les mains au passage, tout comme un vraiment très chic totebag "Pile=Eurocks / Face=Saucisse de Montbéliard", un bien joli partenariat en somme... Il n'y a pas grand-chose à voir sur le créneau de toutes façons : l'afrobeat d'Underground System nous amuse quelques minutes, tout au plus : big band explosif, énergie brute et contorsions superbes de la chanteuse, mais vraiment pas notre came... Au moins, ils ont ramassé tous les anti-autotune du public (fuyant l'atrocité qui se produit sur la Greenroom), ce qui fait quelques milliers de personne quand même, devant la petite scène Loggia, totalement bondée !


Retour aux affaires sur la Plage, où tombe la nuit et où commence à rugir le hardcore de Turnstile. On avait un souvenir mitigé de ce groupe, aperçu parmi d'autres bien meilleurs, au Hellfest. Et oui, ça nous revient : musiciens certes puissants et pour certains, au look rigolo (tel ce mini-guitariste, coiffé d'un bob qui ne le grandit guère, ou l'autre aux socquettes blanches), un son puissant qui crée une grosse ambiance dans le public, même si les coureurs/pogoteurs privatisent un peu trop la plage... Un magnifique wall of death certes (on a des nouvelles de cette demoiselle qui est bêtement restée au milieu du vide, pour faire la maligne ?) mais... pas de chansons ! 100 % riffs & breaks, ça fait la blague quelques minutes mais une mélodie de temps en temps, même brutale, serait quand même un plus, ce n'est pas interdit dans le HxC, à notre connaissance ! Pire encore, le hurleur est finalement un peu faible (enfin, vocalement, il est hyper-gaulé par ailleurs...). D'ailleurs, le tout s'arrête très en avance sur l'horaire, comme si eux-même en avaient déjà marre...


On tente donc notre chance ensuite à The Roots, apparemment des légendes vivantes eux aussi (mais pas en rockabilly)... Ca commence plutôt bien, il y a du monde mais sans qu'on étouffe, ça groove fort et haut, la voix du chanteur est puissante et son flow impressionne quand il nous harangue, le big band est presque au complet avec un bombardon très impressionnant. Mais... le groupe est aussi jazz que soul (plus, même) et au final, il nous ennuye donc après quelques minutes, puisque dans ce style on est obligé de se tap... d'écouter les soli inspirés de chacun des musiciens à son tour ! Et puis on pensait que des choristes sensuelles étaient contractuellement obligatoires dans ce genre, or ici on en entend qu'en play-back, pas classe ! On va donc se faire voir ailleurs, et on repassera à la fin, toujours avec des hauts et des bas mais aussi avec une grosse teuf sous le chapiteau : ils sont sans doute très bons, mais dans un genre hybride qui ne nous parle pas trop... [Remarque de vieux con blasé : après tout, on a déjà vu sous cette même tente Amy Winehouse, ou encore Gnarls Barkley, et c'était quand même autre chose...]


Bien plus distrayants, les 88Kasyo Junrei jouent au même moment à la Loggia. Looks très dépaysants, autant que leur nom imprononçable : une coupe mulet+bol+bouc (!) pour la chanteuse-bassiste, un sosie non-officiel de Jimmy Page en 1970 à la guitare (une fille également androgyne - on a quand même vérifié leurs genres depuis, pour être sûr), et un batteur du style première gachette chez Takeshi Kitano, qu'on a pas trop envie de faire chier. Leur musique est un metal un peu expérimental mais accrocheur, punchy grâce à des rythmiques rigoureuses (et parfois aussi un peu dingos), dynamité par le chant hargneux et miaulant, et visuellement boosté par les fantastiques poses des filles, et de la guitariste en particulier, qui a un son hyper-travaillé !


Evidemment tout le monde semble les découvrir ce soir, mais le trio récolte un beau succès et se crée sans doute déjà quelques fans : on chante d'ailleurs volontiers avec elles, quand elles nous le demandent. Concert mené pied au plancher, les 45 minutes passent bien trop vite ! Encore une fois notre théorie se vérifie : quel que soit le style choisi en rock, punk, pop, garage, noise, metal... les Japonais sont toujours hyper-investis, surmotivés et donc, excellents. Arigato !


Il reste une grosse tête d'affiche à voir, du genre où l'on ne se précipite pas (ce groupe ne nous a jamais fasciné !), mais où on se rend avec plaisir pour ré-entendre quelques airs de jeunesse : les Smashing Pumpkins ! Eux ont chiadé leur décor, avec trois grandes créatures gonflables et très visuelles, qui par contre les écrasent un peu sur scène, par comparaison. Evidemment, Billy Corgan, James Iha et les autres, ont pris 25 ans dans la gueule tout comme nous. Mais s'il ressemble désormais fortement au Lord Varys de Game of Thrones (effet renforcé par la soutane noire qu'il porte pour cacher sa bedaine...), sa voix n'a rien perdu de son timbre nasillard, inimitable et très plaisant. Ca commence donc fort et bien, avec un son parfait : on apprécie des classiques comme l'assez jouissive Zero, ou la jolie balade Eye qu'on avait oubliée, depuis le film Lost Highway en 1997 ! Mais Bullet with butterfly Wings sera évidemment notre climax, pas loin de la chair de poule à vrai dire... Dommage par contre, aucune interaction avec le public, en tout cas pas sur la moitié du concert à laquelle on a assisté, et qui nous a bien suffi - on l'a quitté après 1979, certes de bonne tenue comme le reste du show ! On entendra encore la plaisante Tonight en s'éloignant, sans trop de regrets - un dernier show nous titillait un peu, hélas à la même heure...


Du coup on arrive quand Arnaud Rebotini en est déjà à la chanson-titre de 120 bpm, dont il interprète ce soir la bande originale (un film absolument magnifique, soit dit en passant)... et donc le remix de la poignante Runaway de Bronski Beat ! Le dispositif visuel est très joli et évoque à plusieurs reprises le triangle tragique d'Act-Up. Le frontman, déjà vu mais en mode rock avec Blackstrobe, est comme toujours tiré à 4 épingles (costard-cravate !), et dirige ce soir un groupe agrémenté d'un quatuor à cordes. Evidemment s'agissant de la B.O. d'un film, il y a des passages atmosphériques, trèèèès atmosphériques... La fatigue se fait donc sentir, surtout pour nos amis qui en sont à trois jours et qui finissent crashés dans l'herbe. Ayant des nouvelles de la section vingtenaire de notre petit groupe, prête à se rendre elle aussi, on abandonne donc le musicien, hélas au moment-même où il entame le générique du film. Après cette indélicatesse, il conviendra donc d'essayer de revoir ce gentleman de l'électro en salle...


Au final, on termine cette édition 2019 sur le même constat que l'an passé : après un petit coup de moins bien en découvrant la programmation (de plus en plus squattée par le "non-rock" que les organisateurs, tout comme à Rock en Seine, voient à tort ou à raison comme leur seule planche de salut ...), on a du faire l'effort de s'intéresser aux petites scènes ... Et c'est bien là qu'on a finalement trouvé des pépites brutes, déposées par le précieux programmateur Kem Lalot... Qui au final ont fini par composer, pour nous, deux très belles journées, même sans la grosse tête d'affiche qui nous aurait fait nous rouler par terre de plaisir... Après tout il n'a pas raté non plus Fontaines DC, Idles ou DTSQ, tous très performants sur scène et habilement distillés sur 4 jours...


Mais bien souvent, on a écouté nos favoris en étant très à l'aise et pas serré.e.s du tout (donc dans d'excellentes conditions !). Il est vrai que ce qui nous intéresse le plus, et qui n'est généralement pas ce qui intéresse la plus grande partie des eurockéens nés au siècle suivant - tant mieux si le soleil brille pour tout le monde... Voici donc notre suggestion pour 2020, si comme il l'a évoqué, le patron des Eurocks veut vraiment faire un festival de 5 jours (!) : faire 3 jours de musique de jeunes (avec autotune, laptop et playback à volonté), et nous réserver ensuite 2 jours de rock pur et dur, allant de la folk acoustique au thrash metal, bien sûr... Allez chiche, M'sieu Pigasse ?!

Longue Vie aux Eurockéennes !

Photos par : René GARCIA (ambiance plage) ; Eric MUNCK (Julia Jacklin, ambiance crash barrière) ; Mathieu VITRE (Stray Cats) ; Jérémy CARDOT (Underground System, Turnstile, 88Kasyo Junrei, Arnaud Rebotini) ; Bastien SUNGAUER (The Roots, ambiance ballons) ; Brice ROBERT (Smashing Pumpkins).
Un grand merci à tou.te.s !

Flashback : Chroniques de (seulement) 25 années passées aux Eurockéennes, soit environ 2 mois entiers :
2018, 2017, 2016, 2015, 2014, 2013, 2012, 2011, 2010, 2009, 2008, 2007, 2006, 2005, 2004, 2003.... et les 9 plus anciennes, regroupées en trois parties depuis 1994...


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