Accueil Chronique de concert (ma) Route du Rock 2010 : The Hundred in the Hands, Foals, Massive Attack, Two Door Cinema Club, We Have Band
Vendredi 19 avril 2024 : 6344 concerts, 27081 chroniques de concert, 5410 critiques d'album.

Chronique de Concert

(ma) Route du Rock 2010 : The Hundred in the Hands, Foals, Massive Attack, Two Door Cinema Club, We Have Band

(ma) Route du Rock 2010 : The Hundred in the Hands, Foals, Massive Attack, Two Door Cinema Club, We Have Band en concert

Le Fort, Saint-Père 14 août 2010

Critique écrite le par


Fréquenter toujours le ou les mêmes festival(s) donne un sentiment de confort, mais aussi le risque de se blaser et de passer à côté de sensations particulières et dépaysantes comme, par exemple, patauger 48 heures dans la boue à manger de la wurst, en écoutant les dieux du trash metal. Une seule expérience de festival en Bretagne (une journée à Art Rock 2008 à Saint-Brieuc) est par ailleurs restée un très grand souvenir, magré une tragique rupture de stock en galettes-saucisses à 23 heures.


De plus, on a remarqué que cette soirée du 14 août à Saint-Malo concentrait des artistes qu'on a adorés (Massive Attack et son égérie), et d'autres qu'on a ratés en juillet aux Eurockéennes pour cause de timing (Foals principalement, mais aussi Two Door Cinema Club), le tout saupoudré de groupes participant au buzz du moment, The Hundred in the Hands & We Have Band. Selon nos propres critères, de quoi envisager sérieusement de traverser deux fois la France pour découvrir, selon des gens bien informés, l'un des plus fameux festivals de moyenne jauge de France. En rail pour la Route du Rock de Saint-Malo !


Pas moyen par contre (les TGV vont vite, mais quand même) en se levant à Marseille le matin, de voir sur scène l'intrigante pop dérangée de DM Stith, programmé trop tôt, ou encore la jolie Hope Sandoval. Surtout si cette PUTAIN DE NAVETTE DE MERDE y met du sien : 1 h 05 d'attente (pour un passage annoncé "toutes les 30 minutes" et quelques bouchons à la clé : la pluie y est sans doute pour quelque chose, mais l'organisation déplorable de l'accès aussi... Plusieurs personnes dont l'auteur de ces lignes auraient volontiers tué le chauffeur bêta qui s'est finalement présenté, si ça n'avait pas risqué de ralentir encore le processus. Résultat : pas vu la charmante Martina Topley-Bird dont le troisième disque tout en douceur, Some Place Simple donne pourtant des chaleurs à notre iPod depuis quelques semaines. Grrrrr...


Fort heureusement on tombe directement sur nos camarades accrédités de Concertandco : Flore-Anne et ses appareils sophistiqués, Pierre et ses bières diaboliques... De quoi se remettre de bonne humeur d'autant que la pluie a finalement décidé, après nous avoir poursuivi dans toute la France et avoir totalement ruiné le site du Fort de Saint-Père, de nous lâcher un peu les baskets. Qu'on aura donc rapidement pleines de boue mais enfin, on a pied partout... Et notamment sur ces banquettes formées de sacs de sable aux couleurs du Festival, excellente idée qui permet, de temps en temps, de pouvoir poser ses fesses quelque part. Le site est de petite taille et tout est bien indiqué : en 5 minutes, le néophyte y a trouvé ses marques, pour se remplir comme pour se vider.


Hélas, un vacarme presque un peu pénible vient de la scène : The Hundred in the Hands n'avait pas réellement retenu notre attention sur une brêve écoute avant festival, et ne s'est pas avéré un groupe inoubliable non plus en live. Leur électro pop joué tout à fond et en mono, malgré une fort jolie chanteuse brunette, au look un peu trop sage, et un guitariste pas mauvais du tout, ne cédant d'ailleurs pas toujours à la simplicité. Problème, pas vraiment de chansons transcendantes non plus : pas de quoi casser des briques, dans une place fortifiée par Vauban. En tout cas, le silence qui suit leur prestation nous donne autant, voire beaucoup plus de plaisir que leur concert !


Le premier album de Foals, assez intello, nous avait laissé de marbre, mais pas le deuxième, Total Life Forever, situé à la confluence d'influences bien digérées de Editors, Radiohead ou Bloc Party, et qui squatte régulièrement nos oreilles depuis sa sortie, même si on a pas trop mémorisé ses titres de chansons. La première est facile : Total Life forever!, joué prestement par ces 5 bons musiciens, avec un son nettement amélioré. On tombe alors sur Boby "Le Job le plus Cool de l'Eté" Allin et ses petits camarades, qui couvrent également le festival - la Société Générale sait-elle que le garnement arbore pour la représenter un K-way jaune fluo et un bonnet péruvien ? Maintenant, oui...


Pendant ce temps, Foals baisse le tempo avec la jolie Miami, puis le réaccélère avec After Glow et sa guitare très Radiohead, pas mal : le groupe a trouvé le juste équilibre entre un son "live" nécessairement plus costaud, et le maintien de la subtilité de ses compositions dans le dosage du son. Puis vient un titre très Bloc Party (Alabaster ?) où l'on décide, tiraillé par la faim, de partir chasser la galette-saucisse (pour finalement revenir avec un riz frit thaïlandais). C'est donc de loin qu'on suit la montée progressive et très esthétique de Spanish Sahara, une de leurs plus belles compositions à la fin assez intense, et sans doute le climax du concert. Ces garçons sont très bons musiciens et on sent qu'ils ont travaillé leurs nouveaux titres avec passion.


Sauf erreur, ils n'ont même pas joué Blue Blood ni la très prenante This Orient, ce qui montre de belles réserves de bonnes chansons ! Le groupe pioche évidemment aussi un peu dans son premier disque qu'on connaît moins, pour se livrer à de longs instrumentaux électro-pop très plaisants, et finir sur "le tube sautillant du premier album". Au final un concert très bien fichu et bien dosé : rien de révolutionnaire mais une vraie bonne sensation sur scène que les Foals, garçons certes chevelus, mais sympathiques et modestes par ailleurs - d'ailleurs les nombreux anglais présents sur le site ne parlaient que d'eux en fin de soirée, c'est un signe qui ne trompe pas. Après tout quand notre pays accouche des BB Brunes, le leur accouche des Bishops, c'est dire...


On a pas oublié, c'est même une des raisons de notre présence ici, que Massive Attack a donné un concert fascinant et parfois même bouleversant à Evette-Salbert. Tête d'affiche médiatique du festival, ils sont impatiemment attendus et tout le monde essaye de bien se placer (y compris une personne de petite taille non identifiée qui me verse en passant, certes sans malice, au moins un demi-verre de quelque chose pile à l'entrejambe - de quoi attraper bêtement un rhume. En tout cas la jauge raisonnable du site permet de se rapprocher assez facilement, même parmi une foule chauffée à blanc - à noter, les bretons étant des gens aimables et polis, on se fait très peu bousculer ici, en comparaison avec d'autres festivals...


L'intro en méga-basses prouve que l'amplitude énorme du son du groupe ne perd rien à cette scène un peu plus petite, ni même la fameuse bande lumineuse derrière eux, qui déroulera comme toujours force messages, titres de dépêches en français, statistiques géopolitiques fascinantes et explosives, infamies proférées par les abrutis pré-fascistes que les français ont porté au pouvoir en allant (ou en allant pas) voter, et citations puissantes sur la liberté d'expression, prononcées par de grands hommes. Quizz : qui a dit "Les innocents n'ont rien à craindre" en parlant de vidéo-surveillance, le Kaporal Brice Hortefeux ou Nelson Mandela ?


La belle Martina Topley-Bird est venue ouvrir le bal avec la très nerveuse Babel, puis le géant Grant Marshall avec la sépulcrale Risingson, et après eux, Horace Andy ("what can I say ? This man is a fucking legend !" commente Robert del Naja qui ne sait plus comment le présenter, à force) et la magnifique Girl I Love You, qui sonne déjà comme un classique. Peut-on rêver meilleur trilogie pour débuter un concert ? Le set continue avec un passage tellurique : Future Proof, que chante 3D de sa voix nasale/atonale si étrange, avant de danser et s'éclater comme un fou.


La set-list comporte une nouveauté inattendue (un duo électro entre 3-D et MT-B, assez fascinant), une autre transe tribale avec Mezzanine, gutturalée par Grant et qui fait vibrer les corps, et l'un des points culminants de ce soir à notre goût, l'hypnotique Angel chantée par Horace comme en apesanteur, et dont la fin nous fait pratiquement headbanguer... Et à point nommé, comme toujours, un ange se présente (qui a en plus retiré son vilain poncho) : Martina chante Teardrop dans différents niveaux de réalité, dont un où la superbe créature ne chante que pour moi, la Bretagne entière ayant disparu. Evidemment, c'est sublime ! Mais en jouant habilement le chaud et froid, le groupe nous ramène dans les profondeurs avec l'électro sombre d'Inertia Creeps...


Avant de redécoller avec la mystique Splitting the Atom, qui confronte les trois chanteurs aux tonalités toutes différentes et toutes hors du commun, tandis que Martina assure les claviers. Puis la "nouvelle" chanteuse qu'on craignait de ne pas voir ce soir (Debrah Miller ?) vient joliment interpréter l'inusable Safe from Harm, conclue par un long moment instrumental assez fascinant et la sortie du groupe. Le public bouillant s'égosille et les fait revenir pour jouer Atlas Air et... c'est tout. Le concert a pourtant eu la bonne durée - mais génère une petite frustration de ne pas avoir entendu certains titres (on attendait Psyche, et puis Unfinished Sympathy qui nous a quand même foutu notre chair de poule de l'année en juillet). Et néanmoins, prestation d'une classe encore une fois éblouissante par un groupe qui a retrouvé avec ce nouvel album tout son plaisir à jouer...


Il se produit encore un passage un peu magique pendant le changement de plateau, un enchaînement de Madame Rêve de Bashung avec le thème de Twin Peaks, donnant une soudaine étrangeté à l'ambiance. Le reste de la soirée ne peut évidemment pas rivaliser en intensité ni en intérêt, mais il reste deux groupes à vocation "ludique". Et puis si Two Door Cinema Club ne révolutionnera pas la face du monde, il n'en reste pas moins que son premier disque peut occuper agréablement un espace sonore, tout en laissant du temps de cerveau de libre. Les jeunes gens au look Franz Ferdinand - en bien moins beaux, sont en outre plus tournés vers l'électro-pop hédoniste : ils attaquent sauf erreur avec la guillerette What you know et sa guitare qui pérore dans les aigüs, sympa et bien sûr boostée en live.


De même Do you want it all est entêtante à souhait, et le groupe fait danser les filles sans difficultés sur ses titres enlevés comme Cigarettes in the theatre, très Vampire Weekend et qui fait un petit carton, tout comme This is the life, plus banale. On en profite donc pour aller assouvir enfin notre fantasme de galette-saucisse, et suivre une partie du concert depuis l'écran géant un peu boueux, placé à l'arrière : il s'avère que leur tube potentiel semble être You're not stubborn, refrain catchy qui nous laisse pourtant un peu froid, au contraire d'I can Talk (celle qui fait "ah oh ah ah oh"), à la guitare vrillante très Editors, irrésistible, qui sera la dernière et aussi, notre préférée ce soir. Du beau boulot.


A ce moment, à 2 heures bien sonnées, on peut dire qu'on a atteint la phase endurance, d'autant qu'il n'y a rien pour s'asseoir (les sacs de sable sont inatteignables) - on s'occupe en flânant dans les vinyles, mais le temps est bien long : les petits slips de Concertandco sont partis se coucher, on croise heureusement un ancien camarade marseillais, le Norvégien, bon géant blond parti sous d'autres latitudes. On ne connaît de We Have Band que quelques singles pétaradants et diablement efficaces, et une bonne réputation sur scène. Le groupe apparaît tout vêtu de blanc, et on ne voit d'abord que sa chanteuse-batteuse synthétique, dont le jeu de baguettes debout (je tape la même chose des deux mains), n'est pas sans rappeler celui de la plantigrade femelle qui tient ce poste chez les ignobles Glasvegas...


Le chanteur black, plus intéressant, a une voix plaisante quoique pas toujours juste, sous influence new wave des années 80, tout comme la meilleure partie de leur musique. Leurs incursions électro-pop sont nettement moins originales, un passage techno-rock est plus intéressant (mais nécessiterait une implication physique dont on est plus capable). Quand on décide donc de lâcher l'affaire, l'ambiance est encore au top dans les premiers rangs, qui se rejouent pratiquement la guerre des Malouines (ouf, j'ai failli ne pas réussir à la placer, celle-là) sur le très con mais très efficace single Oh !.


La navette retour, rapide et agréable, sera un baume pour le coeur alors qu'on s'attendait (vu l'arrivée) à galérer encore longuement pour regagner Saint-Malo... Au final, en y ajoutant le lendemain une découverte magnifique de Saint-Malo intra-muros à la fraîche avant de reprendre le train, voilà un déplacement qui aura valu le coup, malgré quelques aléas de transport et de pluie qui ont un peu compliqué les choses. On retiendra en tout cas la leçon pour revenir, espérons-le, un jour à la Route du Rock : arriver impérativement la veille, et prendre les premières navettes ! Et bien sûr, tant qu'à faire, rester au moins deux jours et enfin, ramener beaucoup plus de kouign aman...


Quelques vidéos bonus : ici !

> Réponse le 24 août 2010, par Guirec

Vous n'avez vraiment pas de chance Philippe, c'était le seul jour où il a plu pratiquement ! Merci pour vos impressions sur la soirée et, quand même, sachez que le kouign aman est une spécialité du Finistère (Douarnenez, pas Saint-Malo) où il n'y a pas la Route du rock par contre... Guirec  Réagir


Foals : les dernières chroniques concerts

Foals, Strokes, Wet Leg, Murder Capital, Gaz Coombes (Rock en Seine 2023) en concert

Foals, Strokes, Wet Leg, Murder Capital, Gaz Coombes (Rock en Seine 2023) par Efix Efix
Parc de Saint Cloud, Paris, le 27/08/2023
Rock en Seine, bilan de ma seule journée.Un Gaz Combes qui a eu un peu de mal à se mettre en marche mais qui a très bien maîtrisé la 2eme partie de son set...Après un début qui se... La suite

Foals & Egyptian Blue en concert

Foals & Egyptian Blue par Stef'Arzak
Zénith de Paris, le 16/05/2022
Egyptian Blue En attendant le concert de Foals, le public a droit a une ouverture qui s'annonce remuante : le groupe Egyptian Blue, originaire de Brighton ! J'avais hâte... La suite

Foals (Festival Rock en Seine 2019) en concert

Foals (Festival Rock en Seine 2019) par Pierre Andrieu
Parc de Saint-Cloud, près de Paris, le 25/08/2019
Une heure de show à haute teneur en tubes pour l'imparable passage de Foals à Rock en Seine fin août... Remontés à bloc et visiblement ravis de jouer une nouvelle fois à Paris,... La suite

Yak, Slaves, Foals, It It Anita, Crack Cloud, Deerhunter, Jacco Gardner, Flavien Berger (Festival Check In Party 2019) en concert

Yak, Slaves, Foals, It It Anita, Crack Cloud, Deerhunter, Jacco Gardner, Flavien Berger (Festival Check In Party 2019) par Dissy
Guéret, le 24/08/2019
Un festival de rock indé dans la Creuse ? Qui aurait pu le croire ? C'est pourtant le magnifique cadeau que nous ont fait Terre du Milieu et Shut Up & Dig !, les deux assos à... La suite

Massive Attack : les dernières chroniques concerts

Massive Attack + Young Fathers (Nuits de Fourvière 2018)  en concert

Massive Attack + Young Fathers (Nuits de Fourvière 2018) par Kx Santos
Théâtre Antique de Fourvière, Lyon, le 01/07/2018
2018. 1er Juillet. Dimanche. Grande Joie dans nos oreilles tirée de ce fort instant passé au théâtre antique de Fourvière en présence des Youngs Fathers et de Massive Attack.... La suite

Iggy Pop, Foals, The Last Shadow Puppets, Massive Attack, Casseurs Flowters, Sigur Rós, Brian Jonestown Massacre, Kaviar Special, Bring Me The Horizon, Kevin Morby, Sum 41, Two Door Cinema Club, Clutch  (Rock en Seine 2016) en concert

Iggy Pop, Foals, The Last Shadow Puppets, Massive Attack, Casseurs Flowters, Sigur Rós, Brian Jonestown Massacre, Kaviar Special, Bring Me The Horizon, Kevin Morby, Sum 41, Two Door Cinema Club, Clutch (Rock en Seine 2016) par Stéphane Pinguet
Domaine de Saint-Cloud, le 28/08/2016
ROCK EN SEINE 2016, UNE ÉDITION CANICULAIRE ! Si cette quatorzième édition du festival parisien Rock en Seine affichait à première vue une programmation pas très excitante,... La suite

(mon) Rock en Seine 2016, 1/2 : Wolfmother, Casseurs Flowters, Grand Blanc, La Femme, L7, Sigur Ròs, Massive Attack en concert

(mon) Rock en Seine 2016, 1/2 : Wolfmother, Casseurs Flowters, Grand Blanc, La Femme, L7, Sigur Ròs, Massive Attack par Philippe
Saint-Cloud, Parc de Saint-Cloud, le 27/08/2016
Quand l'été est presque enfui, comme chacun sait, il n'y a qu'une seule solution pour le clôturer dignement : Back to Rock en Seine ! Bon, on pourrait nous accuser légitimement... La suite

Massive Attack, Birdy Nam Nam, Marina Kaye, Francis Cabrel, Jain, Stephan Eicher, Le Roi Angus, Tatum Rush, Alex Beaupain, The Two (Paléo Festival 2016) en concert

Massive Attack, Birdy Nam Nam, Marina Kaye, Francis Cabrel, Jain, Stephan Eicher, Le Roi Angus, Tatum Rush, Alex Beaupain, The Two (Paléo Festival 2016) par Lionel Degiovanni
Nyon, le 21/07/2016
Le Roi Angus Pour le jeudi, on démarre toujours tranquillement avec le rituel du show case et là je découvre Le Roi Angus. Les 5 musiciens, bien dans leurs baskets... La suite

The Hundred In The Hands : les dernières chroniques concerts

The Hundred In The Hands + Adam Kesher en concert

The Hundred In The Hands + Adam Kesher par Kristhelheim
Le Poste à Galène - Marseille, le 10/11/2010
N'ayant pas réussi à motiver mes amis, camarades pour m'accompagner malgré le faible prix des places et la veille de jour férié, je me dirige donc seul au Poste à Galène. Une de... La suite

The Hundred In The Hands + Adam Kesher en concert

The Hundred In The Hands + Adam Kesher par sami
Poste à Galène - Marseille, le 10/11/2010
Pour motiver des amis peu enclins à sortir en semaine, un pote dj mettait en avant de manière aussi amusante que vaine le fait que sa soirée tombait une veille de jour férié. Ce... La suite

Massive Attack + Foals + Martina Topley  Bird + The Hundred In The Hands (La Route du Rock 2010)  en concert

Massive Attack + Foals + Martina Topley Bird + The Hundred In The Hands (La Route du Rock 2010) par Pierre Andrieu
Fort de Saint-Père, Saint-Malo, le 14/08/2010
Samedi 14 août 2010, deuxième jour de la Route du Rock 2010 : après avoir apprécié au plus haut point la prestation de la divine Hope Sandoval au Palais du Grand Large à... La suite

Two Door Cinema Club : les dernières chroniques concerts

Iggy Pop, Foals, The Last Shadow Puppets, Massive Attack, Casseurs Flowters, Sigur Rós, Brian Jonestown Massacre, Kaviar Special, Bring Me The Horizon, Kevin Morby, Sum 41, Two Door Cinema Club, Clutch  (Rock en Seine 2016) en concert

Iggy Pop, Foals, The Last Shadow Puppets, Massive Attack, Casseurs Flowters, Sigur Rós, Brian Jonestown Massacre, Kaviar Special, Bring Me The Horizon, Kevin Morby, Sum 41, Two Door Cinema Club, Clutch (Rock en Seine 2016) par Stéphane Pinguet
Domaine de Saint-Cloud, le 28/08/2016
ROCK EN SEINE 2016, UNE ÉDITION CANICULAIRE ! Si cette quatorzième édition du festival parisien Rock en Seine affichait à première vue une programmation pas très excitante,... La suite

(mes) Eurockéennes de Belfort 2013, 1/2 : Black Rebel Motorcycle Club, JC Satàn, Valerie June, Dinosaur Jr, Von Pariahs, Two Door Cinema Club, Fauve, Busy P, Phoenix, Kavinsky, ASAP Rocky, Cassius en concert

(mes) Eurockéennes de Belfort 2013, 1/2 : Black Rebel Motorcycle Club, JC Satàn, Valerie June, Dinosaur Jr, Von Pariahs, Two Door Cinema Club, Fauve, Busy P, Phoenix, Kavinsky, ASAP Rocky, Cassius par Philippe
Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert, le 06/07/2013
Vingtième année d'affilée aux Eurockéennes ! Sans interruption, au moins 1 jour à chaque fois, depuis 1994, et tout est chroniqué sur Concertandco, yes Ma'am ! Coïncidence, ça... La suite

Two Door Cinema Club en concert

Two Door Cinema Club par FL
Studio SFR - Paris, le 12/09/2012
Avec "Beacon", sorti le 3 septembre dernier, les Two Door Cinema Club nous offrent un des deux meilleurs albums pop rock de la rentrée avec celui de The Vaccines. "Tourist... La suite

Les Voix du Gaou : The Rapture + Two Door Cinema club + Hyphen Hyphen en concert

Les Voix du Gaou : The Rapture + Two Door Cinema club + Hyphen Hyphen par stephane
Les Voix du Gaou - Six Fours, le 17/07/2012
Seconde soirée du festival du Gaou avec une affiche qui paraissait alléchante : un jeune groupe repéré par les inrocks, un combo pop irlandais et une référence de l'électro-rock... La suite

We Have Band : les dernières chroniques concerts

Duchess Says, La Sera, We Have Band, Kelly Und Kelly (Rockorama #4) en concert

Duchess Says, La Sera, We Have Band, Kelly Und Kelly (Rockorama #4) par Sami
Tour Royale, Toulon, le 16/06/2012
Pour une raison qui m'échappe, quand l'été se profile le Var s'avère nettement mieux doté coté concerts qui m'interessent qu'à Marseille. Avec le pointu Midi Festival à Hyères,... La suite

We Have Band + Kim Novak en concert

We Have Band + Kim Novak par Chandleur
La Maroquinerie, Paris, le 01/03/2012
We Have Band : Electro-Pop sautillante et syncopée dans la toujours délicieuse ambiance surchauffée de La Maroquinerie, à Paris. Ici on recycle gaiement les eighties, des... La suite

We Have Band + Markovo en concert

We Have Band + Markovo par sami
Poste A Galene, Marseille, le 12/12/2010
Concert prévu initialement en Octobre, j'hésitais un peu à y aller en sachant que ce report tombait un dimanche, le regain de froid n'aidant pas non plus. C'est dans une salle... La suite

Of Montreal + We Have Band en concert

Of Montreal + We Have Band par Fl
La Cigale - Paris, le 07/10/2010
Commençons par le commencement... Complètement surexcités à l'idée d'assister à un nouveau concert d'Of Montreal (nous étions déjà au Bataclan lors du dernier concert du groupe sur... La suite

Le Fort, Saint-Père : les dernières chroniques concerts

Blues Explosion + Dionysos + Blonde Redhead + Girls In Hawaii + Mojave 3 (La Route du Rock 2004) en concert

Blues Explosion + Dionysos + Blonde Redhead + Girls In Hawaii + Mojave 3 (La Route du Rock 2004) par Pierre Andrieu
Fort de Saint Père , le 15/08/2004
La veille, on avait aperçu le très bronzé et coquet (mais beaucoup plus vieux que sur ses photos de presse) Bernard Lenoir sur la plage après Nouvelle Vague en train de... La suite

Air + Lali Puna + Flotation Toy Warning + Laura Veirs + Nouvelle Vague + Phoenix (La Route du Rock 2004) en concert

Air + Lali Puna + Flotation Toy Warning + Laura Veirs + Nouvelle Vague + Phoenix (La Route du Rock 2004) par Pierre Andrieu
Fort de Saint Père, Palais du Grand-Large et Plage, le 14/08/2004
Nouvelle Vague Après une baignade régénératrice sur la plage de Saint-Malo, la deuxième journée de La Route du Rock 2004 commence sur les chapeaux de roue... Le groupe... La suite

dEUS + LCD Soundsystem + The Kills + The Beta Band + CocoRosie + Velma (La Route du Rock 2004) en concert

dEUS + LCD Soundsystem + The Kills + The Beta Band + CocoRosie + Velma (La Route du Rock 2004) par Pierre Andrieu
Fort de Saint Père et Palais du Grand-Large, le 13/08/2004
Cela fait déjà quelques années qu'on rêvait de prendre à fond La Route du Rock ; le mois d'août 2004 nous verra enfin saisire le volant pour dévaler les 624 kilomètres qui... La suite