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Chronique de concert Vincent Volt & Dick Hillowatt (Osmose Festival 2002)
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Chronique de Concert
Vincent Volt & Dick Hillowatt (Osmose Festival 2002)
Nohanent, près de Clermont-Ferrand 29 juin 2002
Critique écrite le 03 juillet 2002 par Pierre Andrieu
Arrivée en Mercedes, lunettes de soleil, costards noirs, gardes du corps, attitudes de rock-stars... La première de Men In Black 2 au Grand Rex à Paris ? Jean-Pierre Raffarin jouant du tambourin au Puy-en-Velay pour la Fête de la Musique et pour les photographes ? Liam Gallagher arrivant dans son night-club favori ? Non, non et non ! Vincent Volt et son ami Dick Hillowatt viennent "simplement" de monter sur la petite scène du festival Osmose ! Ils ne peuvent pas s'empêcher de se la péter à mort ces deux là ; on avait pas vu de pareils kékés depuis... A Smell Of Fox !
Dick Hillowatt
Après La Pamparina, La Nuit des Arts Electroniques, Les Volcaniques de Mars, ils poursuivent leur tournée des festivals dans le but de choquer les braves gens et de briser l'apathie ambiante. C'est plutôt réussi : il est extrêmement difficile de rester de marbre devant leurs shows ; soit on reste car on aime se faire agresser par des images stroboscopiques et des rythmes préhistoriques, soit on court vers le bar en hurlant "remboursez !". Le public d'Osmose a remarquablement bien tenu le choc et mérite une citation à l'ordre national du... mérite !
Vincent Volt
Pourtant Vincent Volt & Dick Hillowatt n'ont pas ménagé leurs efforts : hurlements, sons de guitare et de basse bien crades, poses de poseurs, soli de boîtes à rythmes interminables, textes cryptés (ou idiots !)... La routine pour eux !
Vous désirez vous vriller irrémédiablement les derniers neurones qu'il vous reste ? Appelez Vincent et Dick ! Et ouais !
(Photos : Flore-Anne Roth)
Dick Hillowatt
Après La Pamparina, La Nuit des Arts Electroniques, Les Volcaniques de Mars, ils poursuivent leur tournée des festivals dans le but de choquer les braves gens et de briser l'apathie ambiante. C'est plutôt réussi : il est extrêmement difficile de rester de marbre devant leurs shows ; soit on reste car on aime se faire agresser par des images stroboscopiques et des rythmes préhistoriques, soit on court vers le bar en hurlant "remboursez !". Le public d'Osmose a remarquablement bien tenu le choc et mérite une citation à l'ordre national du... mérite !
Vincent Volt
Pourtant Vincent Volt & Dick Hillowatt n'ont pas ménagé leurs efforts : hurlements, sons de guitare et de basse bien crades, poses de poseurs, soli de boîtes à rythmes interminables, textes cryptés (ou idiots !)... La routine pour eux !
Vous désirez vous vriller irrémédiablement les derniers neurones qu'il vous reste ? Appelez Vincent et Dick ! Et ouais !
(Photos : Flore-Anne Roth)
Critique écrite le 03 juillet 2002 par Pierre Andrieu
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