Accueil Chronique de concert -M- aka Matthieu Chédid + Rodrigo & Gabriela + Yodelice (Festival de Nîmes 2014)
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Chronique de Concert

-M- aka Matthieu Chédid + Rodrigo & Gabriela + Yodelice (Festival de Nîmes 2014)

-M- aka Matthieu Chédid + Rodrigo & Gabriela + Yodelice (Festival de Nîmes 2014) en concert

Arènes de Nimes 3 juillet 2014

Critique écrite le par

Cette année encore, le Festival de Nîmes nous offre une superbe programmation ! Du rock sous toutes ses formes, le cultissime ZZ top comme les trashy Arctic Monkeys, des très excités Shaka Ponk aux groupes phénomènes de l'année, Stromae ou Fauve ! Ça promet une édition haute en couleurs ! Et ce 3 juillet ne dénote pas, bien au contraire, puisque le rendez-vous est pris avec -M- aka Matthieu Chédid, Rodrigo y Gabriela, et Yodelice...

20 heures, pas de retard, Yodelice, grand ami de Matthieu Chédid, entre en scène devant un public curieux mais plutôt calme. Je dois avouer que, contrairement aux deux autres groupes prévus ce soir, je ne sais quoi attendre de l'alter ego de Maxim Nucci.


Très honnêtement, dans ma tête l'homme évoque simplement Alive, qui est un gros navet, et l'amant de Marion Cotillard dans le film Les petits mouchoirs... Quand à Yodelice, personnage imaginaire, il est décrit comme, "un grand gaillard habillé sombrement, chevelu et barbu, venu d'un monde imaginaire appelé Spookland, avec une plume piquée sur son chapeau melon et une larme maquillée sur la joue"... euh, pourquoi pas... ! Sceptique moi ?!? Mais dès les premiers riffs, je sais que le groupe risque de me faire changer d'avis.



Après quelques chansons tirées de leur nouvel album Square Eyes, Maxim, Xavier, Thibault et Edouard enchaînent avec le titre qui les a propulsés en 2008... Sunday with a flu ! Si elle parle bien d'une dépression, ce sont plutôt des sourires qu'elle fixe sur le public nîmois qui reconnaît la chanson et la hurle en synchro avec le groupe...


A suivre, leur dernier succès en date, Fade away ! Aux premiers accords, que tous ceux qui écoutent la radio commencent à connaître par cœur, le public continue son voyage dans l'univers excentrique et le poursuit avec un troisième tube More than meets the eye ! Yodelice ne leur laisse aucun répit et propose des versions étendues de chaque morceau, prolongées par des solos de Maxim et sa fameuse "skull" guitare... Personnellement, j'ai toujours détesté les concerts exactement calqués sur l'album, donc je suis plutôt ravie. En plus, ça rocke vraiment pas mal, tout pour me plaire !. C'est à se demander si Mr Nucci n'avait pas attendu toute sa vie ce personnage farfelu de Yodelice pour montrer ce qu'il savait faire !


Pour garder un public captivé, Yodelice fait participer les festivaliers ! Pour "remplacer les cuivres qu'il adore mais qu'il n'a pas" (puisque sur scène, on a deux guitares, une basse et une batterie)... Il initie le public au Sugar Ray, baptisé après le geste culte du boxeur du même nom. A chaque "Sugar Ray !" de Maxim, toute la foule pousse un cri enragé en levant le poing... c'est plutôt simple mais ça fonctionne... la quasi-totalité de l'arène suit le mouvement...



Wake me up, tirée de l'album Cardioid continue d'exalter la foule, surtout qu'elle est mise en valeur par un nouveau solo incroyable à la guitare électrique... Etrangement, c'est ce solo qui inspire les plus vives réactions... j'aurais dû savoir que lorsqu'on partage l'affiche avec un groupe de purs musiciens comme Rodrigo y Gabriela, le public recherche de la vraie musique plus que du show de midinette... et ce n'est pas moi qui m'en plaindrais !


Le chanteur au chapeau met ensuite en lumière ses trois musiciens, les mêmes depuis le démarrage du groupe en 2008, sur un morceau aux influences électro-rock, une sorte de Daft Punk à la barbu... vraiment bien également. Ça joue.


Lorsque le groupe fini son set, je me surprends à être déçue de les voir partir. Le live est vraiment super, ils prennent du plaisir sur scène, ça se sent et c'est très communicatif ! Quand à Maxim Nucci qui "leade" à merveille, j'ai un peu l'impression que ce clown mélancolique et plutôt sombre de Yodelice a évolué en un artiste plus épanoui, au costume clair, sans larme sur la joue, à l'humour malicieux, à la gestuelle féline et au son bien groovy... Pari gagné à la sorti de scène, le public est emballé et un des roadies accueille le groupe avec de gros thumbs up ! Sugar Ray ! Mon seul bémol sera de ne pas avoir entendu Talk to me en live, mais je conviendrais que c'est un regret acceptable.



Bref, de toutes façons, pas le temps de demander un rappel, ma seule hâte est de voir enfin arriver Rodrigo y Gabriela prendre la relève !! Si pour moi, l'importance des paroles est capitale dans une chanson, je veux bien faire une exception pour ce groupe complètement instrumental, qui m'a vendu du rêve dès la première écoute.


Ces deux virtuoses mexicains auront dû attendre plus de dix ans pour partager leur musique, et quel bonheur qu'ils y soient arrivés. A première vue, ils ne payent pas de mine, marchant discrètement vers la scène sans dire un mot et se positionnant directement face à face, comme s'ils allaient nous proposer une "battle de guitares acoustiques"... mais il ne faut pas se laisser berner, ils ne sont pas là par hasard, et on le sait tous (ou presque). Pour les accueillir, une standing ovation anime les arènes, ça fait plaisir à voir.


Et ça démarre sur les chapeaux de roues !! Dès le début, une énergie folle se dégage du duo ! Gabriela sautille de partout, tout en faisant voler ses doigts à un rythme effréné sur sa guitare, une vraie technique de flamenquiste qui sert une musique world rock, à mi-chemin entre le flamenco et le heavy metal, si un tel chemin existe ! Les musiciens utilisent également leurs guitares pour ajouter de la percussion, c'est parfois très difficile de penser qu'ils ne sont que deux sur scène, on croirait souvent entendre une formation beaucoup plus grande. Le gros point fort du groupe, c'est la gestion de l'intensité du concert, tantôt calme et sensuel, tantôt acharné, ils savent parfaitement osciller entre rythmes lents et rapides pour ne pas lasser le public, éviter de rendre un concert plat et envoyer la sauce à souhait quand ils l'ont décidé.


Redéfinissant sans cesse leur art, ils composent une musique quasi viscérale, dans sa plus simple démonstration, sans chichi ni blabla, qui vient des tripes et fais directement vibrer. Il n'y a même pas besoin d'effort quelconque, le public danse et sourit à pleine dents, ils les suivent à 100%, que ce soit dans la fosse ou sur les gradins.
Tout comme la musique celtique, leur flow hispanico-métal brut de décoffrage a une caractéristique rythmique très particulière, et c'est exactement ce que l'on a envie d'entendre de deux mexicains basés en Irlande en fait. Leur musique est universelle, intemporelle et authentique. Je suis complètement fascinée par la vitesse d'enchaînement des accords et la fluidité quasi-sensuelle de ce qu'ils composent. C'est un vrai duo, avec une âme et une complicité palpable sur scène. Après plus d'une demi heure non-stop, Gabriela prend le micro pour nous saluer. Ca s'enchaîne avec un solo de Rodrigo tout droit sorti de la Third street promenade, suivi de celui de Gabriela entre percussions, arpège et mélodie, munie d'une pédale whawha,


Lorsque les deux musiciens reprennent la scène ensemble, l'ambiance revient à l'énorme jam auquel on croit assister. Même si très calibré, on a vraiment l'impression d'assister à un moment privilégié et unique. Rod y Gab sont des enfants du métal, et ça s'entend même à la guitare flamenca. Et lorsqu'ils nous reprennent Orion de Metallica, toujours uniquement instrumentale, on sent que c'est avant tout parce que ça les éclate et que ça fait partie intégrante de leur univers métissé. Pour terminer, Gab reprend le micro et nous invite à chanter... "Usted quieres cantar ?" et c'est alors que j'entends les premiers accords de Creep de Radiohead... alors que le groupe de Thom Yorke l'a écarté de ses concerts, j'ai enfin l'occasion de la partager en live avec des milliers de festivaliers... juste parfait !


Avant de faire une sortie triomphale sur du AC/DC, juste pour en remettre une couche sur leur appartenance au monde du rock, ils nous jouent leur plus grand succès, la chanson qui leur a donné une notoriété internationale, Tamacun, qui a fait partie de la bande originale de la première saison de la série phénomène Breaking Bad. Ces deux dernières chansons ont réellement unifié tout le public autour des deux artistes, superbe ! Gros coup de cœur pour ce groupe qui a fait grimper une température déjà ben caliente sur les arènes.


Mais il est maintenant l'heure d'acclamer The big tête d'affiche... le sensiblement loufoque Matthieu -M- Chedid !!!! Et le public ne se fait pas prier... Même après la demi-heure de changement de scène, ils sont tous debout pour saluer le Machistador.


L'artiste a l'ex-coupe éponyme arrive avec un bon gros son bien rock qui sert d'intro au live Mon ego, tiré d'un de ses albums les plus connus Qui de nous deux ?. Sobre avec sa veste à paillettes ornée d'une encolure en fourrure, il prolonge le morceau et le fera sur tous les autres du set, faisant hurler sa guitare nylon électrique, un sourire béat aux lèvres...


Après cette chanson de 2003, -M- enchaîne avec la petite dernière extraite de l'album Îl, Faîtes moi souffrir, un texte à la limite du masochisme mais assez perché pour lui donner la légèreté presque naïve de l'artiste. Il demande à son public de tout lâcher en criant un "crie de souffrance tous ensemble" mais même en regardant bien, c'est plutôt de plaisir que je vois crier les spectateurs. Et c'est à ce moment même que je vois aussi les profanes ou derniers rares récalcitrants plonger dans l'univers du maître.
Une fois toute la foule délaissée de ses nerfs, -M- calme tout et plonge toute l'arène dans un espace temps presque figé avec l'une de ses chansons les plus cultes, Onde sensuelle. Jeux de lumière rose à l'appui, il fait chanter son public qui ne se fait toujours pas attendre.


On passe drastiquement du culte à la nouveauté et du pink rose aux eaux troubles de l'Océan, chorégraphié façon tribale par un danseur qui s'anime autour du chanteur... du joli spectacle. Chedid le promet, il va tout donner et repart dans ses classiques avec A tes souhaits, il ne perd aucune occasion de communiquer avec son audience, et ce sens du partage, qu'on a part ailleurs retrouvé chez les deux autres groupes qui ont partagé son affiche, fait vraiment la différence entre un bon et un excellent live.


On nous présente Lawrence Clay qui balance des rythmes reggae à la batterie pour quelques minutes... tout au long du concert, il fera aussi très habilement office de chauffeur de salle... même si ce n'est clairement pas utile vu l'état général ! "Vous allez tous vous lever !!", s'écrit Lawrence mais ils sont bel et bien déjà debout ! Oui toute l'arène est prête pour le tube du dernier album Mojo !! Une chose est sure, ils l'ont le mojo, ça c'est plutôt certain.


Terminant Le Roi des ombres, Chedid demande le silence complet dans l'arène qui s'exécute, "On n'est pas bien là...". Clairement show man et habitué des Zéniths à guichets fermés, Matthieu Chedid réussit tout de même à rendre n'importe quel concert intimiste, je l'avais déjà vu au Dôme en mars dernier et il m'avait fait la même impression, celui du presque accessible, qui parvient à séduire, surprendre et émouvoir à sans trop forcer. Avec ses grosses lunettes "Mister Mystère" à LED, il est l'alien de la musique française, le poète original des temps modernes.


Petite partie seul en guitare/voix avec Ma bonne étoile, La seine, extrait de la bande son du film d'animation Un monstre à Paris, et pour laquelle il fait monter deux enfants pour chanter avec lui sur scène. Avant que je bascule dans le "oh c'est trop mignon", il balance un nouveau solo qui fait du bien aux oreilles et nous présente Brad Thomas Ackley qui tient une basse très particulière avec deux cordes de basse, quatre de guitare et un pad centrale... Une drôle de machine qui déboîte !


Chedid laisse ensuite les deux autres musiciens seuls sur scène, qui nous font un remix de Can't touch this, Jump et Killing in the name of avant de reprendre leur répertoire avec le maestro sur Le Complexe du Corn-Flakes... En continu, la foule crie autant que pour un rappel dans un autre concert... Après avoir demandé le silence et éteint tous les jeux de lumières, il entame tout en douceur sa chanson la plus connue, celle qui a présenté son personnage au monde, Je dis aime. C'est sa grand-mère Andrée Chedid qui lui a écrit cette chanson si particulière, il lui rend hommage à son début. En faisant monter la tension, il fini en apothéose en se jetant dans la foule et porter par les fans, tout en continuant à jouer... C'est juste incroyable !!



Il continue le show en grattant sa guitare avec ses dents ou son pied de micro, et enchaîne avec Mama Sam pour laquelle il fait faire sa fameuse chorégraphie au public, qui suit, euphorique, presque envoûté par le concert... "Et si on est assis, ben c'est simple on lève son cul !" , j'ai l'habitude d'écouter la version live de Toulouse en 2005 donc même si elle est étendue, je reste sur ma faim. Heureusement, une version de Machistador accompagnée de trompettistes et saxophonistes me fait oublier cette petite contrariété.



Avant le rappel composé de la récente Baïa, écrite pour la mère de Matthieu, Machine et d'une reprise étendue de Mojo, il s'agenouille devant ses musiciens pour les remercier.
J'apprécie l'humilité du bonhomme, c'est très plaisant à voir, il est toujours demandeur de partager sa scène avec sa famille, ses amis ou bien simplement ses musiciens et ses fans. Ca fait de chacune de ses apparitions un joli moment de partage et d'émotions, je rempilerais volontiers pour une quatrième !



> Réponse le 11 juillet 2014, par jprweb1

[arenes de nimes - 3 juillet 2014] Je suis complètement d'accord avec ce résumé (comment faire pour résumer un si bon moment!)et souhaite apporter une petit précision à propos de Yodélice : ce ne sont pas du tout les mêmes membres du groupe depuis sa création en 2008, mais ceux du nouvel album. Ce groupe, comme d'illustres prédécesseurs depuis les années 70, est à géométrie variable.  Réagir


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