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Chronique de concert John Butler Trio + David Walters
Jeudi 25 avril 2024 : 6240 concerts, 27085 chroniques de concert, 5411 critiques d'album.
Chronique de Concert
John Butler Trio + David Walters
David Walters :
Au début, on hésite, on se demande si on va pas avoir droit à un set de ragga qui n'aurait rien à voir avec JBT, et puis on se laisse attraper... Tout seul, le marseillais/antillais débarque avec sa guitare, puis utilise un rack de percus marrantes, puis des samplers, puis un kazoo, puis... Bref, pas mal de bricole pour un set plein d'énergie et une bonne découverte.
John Butler Trio :
Tous ceux qui étaient allés les voir à Marseille les 2 premières fois étaient là... Toujours dans la simplicité, les 3 gars s'installent et commencent fort avec Treat Your Mama, énorme, à la slide. Que c'est bon de les retrouver, de savoir que le concert va être excellent. Pas de déception, 1h40 de groove au slide, au banjo, à la 11-cordes, à la contrebasse, de solo de basse+batterie sur Betterman... Les pins autour (c'était sur la scène B, plus petite et plus enfouie dans la nature), les cigales, tout est réuni pour que le cadre soit déroutant. On n'a pas l'habitude de voir de si près des gars comme eux, au milieu de la nature.
Bref, grosse claque, grosse banane, comme d'hab'.
Merci John, et à la prochaine !
Au début, on hésite, on se demande si on va pas avoir droit à un set de ragga qui n'aurait rien à voir avec JBT, et puis on se laisse attraper... Tout seul, le marseillais/antillais débarque avec sa guitare, puis utilise un rack de percus marrantes, puis des samplers, puis un kazoo, puis... Bref, pas mal de bricole pour un set plein d'énergie et une bonne découverte.
John Butler Trio :
Tous ceux qui étaient allés les voir à Marseille les 2 premières fois étaient là... Toujours dans la simplicité, les 3 gars s'installent et commencent fort avec Treat Your Mama, énorme, à la slide. Que c'est bon de les retrouver, de savoir que le concert va être excellent. Pas de déception, 1h40 de groove au slide, au banjo, à la 11-cordes, à la contrebasse, de solo de basse+batterie sur Betterman... Les pins autour (c'était sur la scène B, plus petite et plus enfouie dans la nature), les cigales, tout est réuni pour que le cadre soit déroutant. On n'a pas l'habitude de voir de si près des gars comme eux, au milieu de la nature.
Bref, grosse claque, grosse banane, comme d'hab'.
Merci John, et à la prochaine !
Critique écrite le 24 juillet 2006 par JLuc
