Accueil Chronique de concert (mon) Rock en Seine 2016, 2/2 : Imarhan, Killason, Gregory Porter, Sum 41, Ghinzu, Iggy Pop
Mercredi 17 avril 2024 : 6321 concerts, 27081 chroniques de concert, 5410 critiques d'album.

Chronique de Concert

(mon) Rock en Seine 2016, 2/2 : Imarhan, Killason, Gregory Porter, Sum 41, Ghinzu, Iggy Pop

(mon) Rock en Seine 2016, 2/2 : Imarhan, Killason, Gregory Porter, Sum 41, Ghinzu, Iggy Pop en concert

Saint-Cloud, Parc de Saint-Cloud 28 août 2016

Critique écrite le par


Le samedi, c'était par ici !


On commence (mal) notre journée clodoaldienne en ratant (la faute à un repas en terrasse bien trop sympa) les Blues Pills hélas programmés à une heure proprement indécente. Un photographe rock qualifié nous confiera en avoir retiré une impression mitigée, la faute au soleil en pleine gueule qui décidément, ne va particulièrement pas aux groupes de heavy rock... Dommage, c'est pourtant l'un de ceux qui sur album nous avait fait grande impression récemment, et qu'on avait donc un peu "potassé" pour l'occasion... Mais tout chroniqueur un peu gonzo vous le dira : un festival où on ne manque pas bêtement au moins l'un des groupes qu'on voulait absolument voir, n'est pas pleinement réussi ! On entendra donc la fin de loin mais, avec dans les bras un minot de 4,5 ans qui a décidé de commencer sa sieste il y a 10 minutes à la Porte d'Auteuil, pas moyen de courir jusqu'à la grande scène...


Quoi qu'il en soit, l'enfant aura au moins plaisir à se réveiller, pour sa deuxième visite ici, pendant une belle suprise de coin de prog', comme souvent planquée sur la très belle scène "Pression Live" à l'entrée : le quatuor Imarhan, des jeunes bluesmen nord-africains de qualité et très attachants. Il demandera d'ailleurs à enlever son casque pour mieux les entendre, ces gentlemen des sables ayant la délicatesse de ne pas jouer trop fort. Tout en ayant une section rythmique notoirement plus punchy que certains de leurs aînés en chèche - eux ont un look plus urbain que, par exemple, les glorieux Tinariwen ou Toumast... Les deux percussionnistes s'avèrent être des tueurs dans leur genre : on joue moins ici la transe que la rythmique, plutôt le corps que l'esprit donc, mais ça le fait aussi ! Ayant découvert fortuitement leur existence, on a du aller vérifier que leur tube final, vraiment classe, s'appelait bien comme eux, Imarhan. Ils n'avaient que 40 minutes, dommage, on les aurait bien écouté encore un moment. A revoir !


Son abattage d'enfer sur la vidéo de présentation avait un peu piqué notre curiosité, on pensait donc juste aller voir à quoi ressemblait KillASon, par curiosité. Le problème est qu'on ne quitte pas facilement un type comme ça une fois qu'il a commencé : showman total, harangueur de première, fluent in english et volubile en français, danseur émérite, il en fait des caisses, grande gueule flamboyante (mais réussissant à ne pas nous braquer, grâce à son talent et son enthousiasme juvénile), et c'est un rappeur à flow d'enfer toastant sur des sons sortant d'un laptop certes, mais sacrément travaillés. En quelques minutes on a compris que le mec était un phénomène et qu'en effet on allait voir Prince (pour l'attitude), Michael Jackson (pour la danse) et Saul Williams (pour la diction) en même temps - le tout dans un corps de beau mec, sacrément bien gaulé, du genre qui vous claque une moonwalk ou un saut périlleux arrière comme qui rigole... Devant un tel show, les filles ont toutes les yeux qui brillent et même les garçons se rendent et lèvent tous les bras quand il leur demande... Alors tant pis pour les sympathiques Editors, déjà vus au temps de leur splendeur et perdus de vue depuis : le jeune poitevin nous a proprement kidnappés et occupé tout le cerveau, chapeau l'artiste.


Par contre, on apercevra pas assez Gregory Porter, sapé comme un guignol (ce qui n'est pas éliminatoire en soi - regardez La Femme !) pour pouvoir en juger vraiment objectivement. On lui accordera quand même une oreille pas trop distraite, en flânant devant les belles affiches de l'exposition désormais traditionnelle d'affiches des artistes en concert cette année, dessinés par d'autres (Iggy a été massacré, mais certains sont vraiment bien servis, comme nos bien-aimés Slaves passés vendredi). Et franchement, on aura quand même pas l'impression de manquer le soulman révélé du 21ième siècle (qui par ailleurs est blanc et très bien habillé lui, s'appelle Paul "St Paul" Janeway et est passé ici-même il y a deux ans avec ses Broken Bones !). Car tout ici sonne assez pépère et mainstream, façon successeur potentiel de Barry White, et le type aggrave son cas avec des choses aussi problématiques (enfin, selon nous hein !) qu'un solo de saxophone. Faut pas pousser, quand même !


Dans le genre problématique aussi, Sum 41 est un groupe de skate pop punk depuis 20 ans (ce qui est notoirement trop long pour un tel style) et donc avec tous les défauts afférents : titres pour djeuns qui prennent un peu un coup de vieux quand ceux à qui ils s'adressent ont désormais l'âge d'être leurs enfants, formation tellement remaniée que (on a vérifié depuis, mais ça se voyait bien sur scène !) il n'y a plus qu'un membre d'origine, bien décidé à tirer jusqu'à la retraite si possible (un peu comme les encore moins frais Offspring, subis de loin l'an passé). Avec seulement quelques titres passables (Underclass Hero), une absence patente de chansons marquantes les oblige à occuper l'espace avec un son réglé (plutôt mal) au maximum, des gimmicks un peu éculés, et seules les harangues de la petite frappe sympathique nous retiennent plus de 3 chansons. Ca et quelques riffs metalloïdes pas déplaisants, mais pas originaux non plus. Quant à leur première ballade, elle s'approche si dangereusement de Bon Jovi qu'on décide raisonnablement que nous aussi on est trop vieux pour ce genre de conneries (et au moins nous, on est pas sur la scène...) Et puis porter son propre T-shirt en live à ce niveau de notoriété, c'est évidemment la honte intersidérale, tout en révélant une stratégie consistant à vivre en vendant des T-shirts, à défaut de musique... Allez, salut.


Prometteuse en vidéo (où elle se produisait avec un groupe), la très jeune Little Simz est assez décevante en live (où elle est évidemment seule avec un DJ). pas grand chose à lui reprocher, gros beats et jolie voix, elle est mimi, c'est juste moins original qu'on avait cru l'entrevoir... On prend donc la décision d'aller voir la deuxième moitié des Ghinzu, groupe très aimé à une époque mais pas revus de vue depuis un paquet d'années (Eurocks 2010 ?). Ils sont toujours efficaces sur scène, mais manifestement pas décidés à se renouveler (sauf erreur, pas de nouvel album depuis la dernière fois !). On les voit donc interpréter rigoureusement pareil leurs heureusement très bonnes chansons de pop-rock mélodieux : The Dragster Wave, la magnifique 21st Century Crooner ou encore Mirror Mirror et Dream Maker. C'est néanmoins sans regret et un peu déçus qu'on les quitte sur Do You Read Me, pour aller reconstituer toute notre équipe et si possible, de façon pas trop mal placée, pour la venue de l'Idole du jour...


[Interlude : C'est hélas encore aux bâtards du Bataclan qu'on doit, indirectement, de ne pas avoir l'immense Josh Homme et le reste du fantastique gang formé autour d'Iggy Pop pour Post Pop Depression ce soir ! En effet le monde entier a alors découvert Jesse Hughes, sa personnalité hors norme et ses idées quelque peu problématiques après les attentats, et à force de lui tendre le micro, il a fini par y déverser des idioties pourtant habituelles chez lui, mais qui cette fois l'ont fait bannir du festival par un programmateur sans couilles, sans lettres et sans mémoire : il avait tenu les mêmes propos dans Rock'n'Folk le mois précédent... et déjà donné deux concerts vraiment très cool ici par le passé ! Josh Homme, vexé qu'on vire son meilleur pote comme un malpropre, a donc naturellement annulé sa venue à Paris, puisqu'EODM était rayé de la programmation, alors que (si si on peut en attester !) c'était bien Post Pop Depression qui était initialement annoncé sur iggypop.com !... Beau gâchis qu'on doit sans doute aussi au légendaire cocktail de maladresse/déveine des programmateurs du festival Rock en Seine (Amy Winehouse ? Oasis ? The La's ? Et quid de Sharon Jones initialement annoncée cette année ? etc. etc.]


Dont acte, notre petit Joshua ne verra donc pas le grand Joshua pour cette fois... Mais quand même, quand Iggy Pop déboule sur Seine comme un boulet de canon en aboyant déjà qu'Il Veut Etre Notre Chien, on ressent une grande fierté à avoir ainsi amené notre Mini-Me voir une rare légende survivante du rock, peut-être la plus grande de tous dans notre coeur ! Ainsi que notre grande soeur, agréablement cueillie par l'entrée façon best-of du concert, enchaînant avec les plus grands tubes de l'Iguane d'entrée de jeu : The Passenger, Lust for Life complètent ainsi une trilogie fracassante ! Toujours aussi grossier, mais jamais vulgaire, James Osterberg s'en donne à coeur joie et braille moult insanités comme un tonitruant "Let's go, cocksuckers !" à son backing band. Hé ! Si à 69 ans tu peux pas traiter tes collègues de travail de suceurs de b... sans même qu'ils se fâchent, et devant 25 000 personnes hilares, c'est que t'as raté ta vie, non ?


Faisons quand même un petit check-up physique de la Bête : Iggy Pop pète la forme, merci pour lui, il court partout et de traviole avec sa hanche niquée, tape dans des centaines de mains, pense à saluer de tous les côtés, est toujours très présentable torse-nu (un peu plus fripé devant mais toujours ok derrière), a pris moins de rides que moi depuis notre dernière rencontre (aux Voix du Gaou 2005, un festival qu'il a enterré comme pas mal d'autres choses !), il a un sourire d'enfer avec un ratelier certes pas d'origine, il aboie et danse avec la même conviction que depuis toujours ! Libéré de sa fidélité aux Stooges (pour cause de disparition massive) comme à Post Pop Depression, il a le choix d'un répertoire de pur plaisir, composé en grande partie d'oeuvres de jeunesse, en commençant par les albums solo que Bowie l'avait aidé à enregistrer, The Idiot et Lust for Life ! On bavera donc de plaisir à voir enfin en live les chaloupées Sister Midnight, Nightclubbing ou la nauséeuse Mass Production, on se fera décalquer la gueule avec Sixteen ou remuer la couenne avec Some Weird Sin, autant de chansons qui nous accompagnent de loin certes, mais depuis si longtemps...


Mais bien sûr, s'il zappe cruellement China Girl, c'est qu'Iggy peut aussi revisiter Five Foot One avec gourmandise, ou même se taper un Skull Ring bien bas du front juste pour le plaisir : on le suivrait n'importe où... Et surtout dans ses glorieux débuts Stoogiens, incarnés ici par 1969 au milieu (rhaâââ !), et une absolument tuante Search & Destroy à la fin (re-rhaaâââ !). Ah oui parce qu'au fait, ses Cocksuckers font parfaitement bien le job et incarnent les différents sons nécessaires pour le suivre, sans aucun problème audible ! Lui n'a à ce point plus peur de rien, qu'il boit dans une bouteille tendue par un fan sans hésiter, c'est beau ! A ce stade le Gardenia final est presque superfétatoire et d'ailleurs écrasé aussi sec par les aboiements furibards de Down on the Street !... Après 75 minutes passées en un souffle, on voudrait pouvoir le (re)garder encore, se prosterner, on voudrait pouvoir l'embrasser, mais il a déjà choisi une groupie pour l'emmener en coulisse boire un verre et peut-être plus si affinités : il sort dans un grand gigotement de pitre plantigrade et après un salut hilare... Holy shit. What a man ! A dans 10 ans, Monsieur ?


On l'aura compris, la venue d'Iggy Pop aura fait notre journée (à interrompre ensuite pour cause de petit gars ravi mais épuisé à rentrer coucher). Et il aura été plus dur de lui trouver des bonnes frites, après (à l'heure ou 20 000 autres personnes voulaient manger elles aussi !), que de lui faire aimer Iggy "Ziggypop" Pop, pendant ! Car au delà d'un certain niveau de performance physique et sonore exceptionnelle, même un petit gars de 4,5 ans qui vous connaît à peine peut tenir plus d'une heure à vous regarder sans s'ennuyer ! Apparemment Soulwax et Foals, heureusement déjà vus, ont achevé proprement les foules ensuite, tandis que nous rentrions heureux et saturés de bonnes vibrations...

Longue vie à Rock en Seine, we'll be back !

Crédit Photos :
Ambiance 1, Imarhan, KillAson © Christophe CRENEL ; Ambiance 3 © Victor PICON ;
Gregory Porter, Sum 41, Little Simz, Iggy Pop © Olivier HOFFSCHIR. Merci beaucoup !

------------------
Flashback : A ce stade là et même en venant un peu souvent en touriste, ça commence quand même à ressembler à de la fidélité... Chroniques de notre passage aux éditions 2004, 2005, 2006, 2007, 2009, 2011, 2012, 2014 et 2015 du Festival Rock en Seine !



Rock en Seine : les dernières chroniques concerts

Foals, Strokes, Wet Leg, Murder Capital, Gaz Coombes (Rock en Seine 2023) en concert

Foals, Strokes, Wet Leg, Murder Capital, Gaz Coombes (Rock en Seine 2023) par Efix Efix
Parc de Saint Cloud, Paris, le 27/08/2023
Rock en Seine, bilan de ma seule journée.Un Gaz Combes qui a eu un peu de mal à se mettre en marche mais qui a très bien maîtrisé la 2eme partie de son set...Après un début qui se... La suite

The Strokes (Rock en Seine 2023) en concert

The Strokes (Rock en Seine 2023) par lol
Parc de Saint-Cloud, le 27/08/2023
Le point d'orgue annoncé de cette dernière journée de l'édition 2023 de Rock en Seine était sans nul doute le concert de clôture donné par les Strokes. Si la journée avait été... La suite

Nick Cave And The Bad Seeds, The Limiñanas, DIIV, Aldous Harding, James Blake, Squid, Gwendoline, London Grammar (Rock en Seine 2022) en concert

Nick Cave And The Bad Seeds, The Limiñanas, DIIV, Aldous Harding, James Blake, Squid, Gwendoline, London Grammar (Rock en Seine 2022) par Pierre Andrieu
Parc de Saint-Cloud, Paris, le 26/08/2022
Après une éprouvante première soirée (trop de monde, rien qui marche) sauvée par le concert des Arctic Monkeys, la tête d'affiche du festival Rock en Seine 2022 (pour nous !),... La suite

Nick Cave & The Bad Seeds (Rock en Seine 2022) en concert

Nick Cave & The Bad Seeds (Rock en Seine 2022) par lol
Parc de Saint-Cloud, le 26/08/2022
26 août 2022, 22h30, festival Rock en Seine, aux abords de la grande scène, l'impatience et l'effervescence sont palpables, alors que l'entrée en scène de Nick Cave et de ses... La suite

Ghinzu : les dernières chroniques concerts

Interview du groupe Ghinzu dans le cadre de la sortie de l'album Blow en concert

Interview du groupe Ghinzu dans le cadre de la sortie de l'album Blow par Pierre Andrieu
La Coopérative de Mai, Clermont-Ferrand, le 28/11/2023
"La musique comme on l'a vécue en Belgique avec ces histoires anglaises, américaines et ces gens qui se jettent par terre, qui s'habillent en moine, qui décapitent des... La suite

The Rusty Bells + My Little Cheap Dictaphone [MLCD] + Ghinzu en concert

The Rusty Bells + My Little Cheap Dictaphone [MLCD] + Ghinzu par Stephanie K
Bikini - Ramonville, le 13/04/2011
From good to best. Le Bikini commence à peine à se remplir lorsque les trois toulousains de The Rusty Bells investissent la scène, sous quelques rares ovations. Les lumières... La suite

(mes) Eurockéennes 2010 2/3 : Omar Souleyman, Emilie Simon, Airbourne, General Elektriks, The Specials, The XX, The Hives, Ghinzu, Vitalic en concert

(mes) Eurockéennes 2010 2/3 : Omar Souleyman, Emilie Simon, Airbourne, General Elektriks, The Specials, The XX, The Hives, Ghinzu, Vitalic par Philippe
Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert, le 03/07/2010
Le vendredi, c'est par ici ! Chaque année, au moins un projet excitant est programmé à une heure indécente, pour qui doit faire la grasse-matinée, récupérer, partager un bon... La suite

Danakil + Nneka + The Beatnuts + Wax Tailor + Eiffel + Ghinzu... en concert

Danakil + Nneka + The Beatnuts + Wax Tailor + Eiffel + Ghinzu... par Audrey H
Festival Garorock - Marmande, le 03/04/2010
Première nuit de camping un peu frileuse et réveille avec un temps bien mitigé, alternant soleil et pluies. Après une ballade bien boueuse dans le camping pour voir... La suite

Gregory Porter : les dernières chroniques concerts

Jazz des Cinq Continents (FJ5C 2012) 5/7 : Robin McKelle & The Flytones ft. Gregory Porter en concert

Jazz des Cinq Continents (FJ5C 2012) 5/7 : Robin McKelle & The Flytones ft. Gregory Porter par Mcyavell
Le Silo - Marseille, le 23/07/2012
Après deux ans sans jazz vocal ou presque (la seule Youn Sun Nah pour les deux dernières éditions), le FJ5C frappe fort cette semaine : Robin McKelle est la troisième spécialiste... La suite

Iggy Pop : les dernières chroniques concerts

Iggy Pop en concert

Iggy Pop par Philippe
Le Silo, Marseille, le 17/05/2022
Ah... Revoir Iggy Pop encore et encore, tant qu'on pourra, tant qu'IL pourra ! Après Les Eurocks 1998 (grande scène envahie à sa demande, un bordel monstre), Le Gaou 2005... La suite

Iggy Pop (Free Tour 2022) en concert

Iggy Pop (Free Tour 2022) par Stef'Arzak
Le Liberté, Rennes, le 12/05/2022
Ce soir-là au Liberté de Rennes c'est un moment de pur punk (et oui) que nous nous attendons à vivre avec Iggy Pop, malgré l'annonce d'un concert plus calme à la sortie de son... La suite

Iggy Pop (Free Tour 2022) en concert

Iggy Pop (Free Tour 2022) par lol
Salle Pleyel à Paris et Le Liberté à Rennes, le 12/05/2022
En juillet 2019, on avait laissé Iggy Pop triomphant devant le public des Vieilles Charrues après un concert anthologique plein de maitrise, d'électricité et de puissance,... La suite

Iggy Pop (Free Tour 2022) & DJ set The Liminanas en concert

Iggy Pop (Free Tour 2022) & DJ set The Liminanas par Pierre Andrieu
La Coopérative de mai, Clermont-Ferrand, le 04/05/2022
Mémorable concert de l'éternel sale gosse Iggy Pop à La Coopé pour sa tournée "Free tour", initialement programmée en 2020 et reportée deux fois pour cause de pandémie. James... La suite

Imarhan : les dernières chroniques concerts

Plan B : Sarah Maison + Imahran + Bachar Mar-Khalifé + Ammar 808 & Maghreb United en concert

Plan B : Sarah Maison + Imahran + Bachar Mar-Khalifé + Ammar 808 & Maghreb United par Sami
Mucem, Marseille, le 01/08/2018
Le festival Plan B, c'est reparti ! Après de bons souvenirs chroniqués l'été dernier, voici la soirée d'ouverture de cette 4ème édition qui propose encore des manifestations... La suite

Imarhan en concert

Imarhan par Pierre Andrieu
La Coopérative de Mai, Clermont-Ferrand, le 13/05/2016
Excellent concert d'Imarhan dans le club de la Coopé, devant un public certes un peu trop restreint mais rapidement enthousiasmé par le blues du désert - à la fois... La suite

Kurt Vile & The Violators + Imarhan en concert

Kurt Vile & The Violators + Imarhan par Pierre Andrieu
L'Alhambra, Paris, le 08/03/2016
Précédée par une très bonne première partie du groupe touareg Imarhan, déjà vu aux Transmusicales de Rennes, la prestation de Kurt Vile & The Violators à l'Alhambra, à Paris,... La suite

Imarhan, Dralms, DeWolff, France, Steve 'n' Seagulls, Grand Cannon, Kaviar Special, Vintage Trouble, Totorro, The Dizzy Brains, 3SOMESISTERS, Queen Kwong (Transmusicales de Rennes 2015) en concert

Imarhan, Dralms, DeWolff, France, Steve 'n' Seagulls, Grand Cannon, Kaviar Special, Vintage Trouble, Totorro, The Dizzy Brains, 3SOMESISTERS, Queen Kwong (Transmusicales de Rennes 2015) par Pierre Andrieu
Parc Expo, Rennes, le 05/12/2015
Le très ouvert d'esprit programmateur des Trans Musicales de Rennes, Jean-Louis Brossard, étant toujours à l'affût des nouveautés issues de la planète entière, c'est toujours... La suite

KillASon : les dernières chroniques concerts

(mes) Eurockéennes 2017, 1/2 : Thomas Azier, Johnny Mafia, Rei, HMLTD, Killason, Meatbodies, Explosions in the Sky, Dropkick Murphys, Vitalic, Justice en concert

(mes) Eurockéennes 2017, 1/2 : Thomas Azier, Johnny Mafia, Rei, HMLTD, Killason, Meatbodies, Explosions in the Sky, Dropkick Murphys, Vitalic, Justice par Philippe
Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert, le 08/07/2017
Devenir un vieil Eurockéen ? Ce n'est pas être vieux et aller encore au festival, non, c'est juste faire le constat que d'y aller pour la 24 ième p...n d'année d'affilée, donne... La suite

Marsatac : Raekwon, Ghostface Killah, Flatbush Zombie, Jazzy Bass, Dj Djel, Odezenne, Perfect Hand Crew, Killason  en concert

Marsatac : Raekwon, Ghostface Killah, Flatbush Zombie, Jazzy Bass, Dj Djel, Odezenne, Perfect Hand Crew, Killason par Marcing13
Marseille Friche Belle de mai, le 23/09/2016
On est fin septembre, les vacances sont bel et bien finies, on est de nouveau la tête dans la guidon. Mais ce week end on va pouvoir décompresser, se défouler, bref... La suite

Sum 41 : les dernières chroniques concerts

Sum41, Bloodbath, Triggerfinger, Flogging molly, Aborted, Vreid, Unearth, Der Weg Einer Freiheit, Silmaris, Akiavel, Nostromo, Acod, Candy (Hellfest 2023 - jour 2)  en concert

Sum41, Bloodbath, Triggerfinger, Flogging molly, Aborted, Vreid, Unearth, Der Weg Einer Freiheit, Silmaris, Akiavel, Nostromo, Acod, Candy (Hellfest 2023 - jour 2) par Pipoulem
Clisson, le 16/06/2023
Candy (Altar) Deuxième jour. Après une courte nuit je voulais arriver pour voir Vended, le fils de Corey Taylor, mais 10h30 c'est décidément trop tôt. Je commence donc par Candy... La suite

Sum 41 + Hollerado en concert

Sum 41 + Hollerado par Jérôme Justine
La Coopérative de mai, Clermont-Ferrand, le 20/02/2017
Je ne sais pas si c'est à mettre en relation directe avec la signature la semaine dernière du traité CETA, mais ce lundi 20 février c'est soirée canadienne à la Coopérative de... La suite

Sum 41 + Paerish en concert

Sum 41 + Paerish par Cathy Ville Solvéry
Le Transbordeur à Villeurbanne, le 26/01/2017
Groupe canadien de punk rock tendance skate core ayant connu son heure de gloire dans les années 2000 (à l'instar de combos tels que Blink 182 ou Green Day), Sum 41 fait salle... La suite

Iggy Pop, Foals, The Last Shadow Puppets, Massive Attack, Casseurs Flowters, Sigur Rós, Brian Jonestown Massacre, Kaviar Special, Bring Me The Horizon, Kevin Morby, Sum 41, Two Door Cinema Club, Clutch  (Rock en Seine 2016) en concert

Iggy Pop, Foals, The Last Shadow Puppets, Massive Attack, Casseurs Flowters, Sigur Rós, Brian Jonestown Massacre, Kaviar Special, Bring Me The Horizon, Kevin Morby, Sum 41, Two Door Cinema Club, Clutch (Rock en Seine 2016) par Stéphane Pinguet
Domaine de Saint-Cloud, le 28/08/2016
ROCK EN SEINE 2016, UNE ÉDITION CANICULAIRE ! Si cette quatorzième édition du festival parisien Rock en Seine affichait à première vue une programmation pas très excitante,... La suite

Saint-Cloud, Parc de Saint-Cloud : les dernières chroniques concerts

Nick Cave And The Bad Seeds, The Limiñanas, DIIV, Aldous Harding, James Blake, Squid, Gwendoline, London Grammar (Rock en Seine 2022) en concert

Nick Cave And The Bad Seeds, The Limiñanas, DIIV, Aldous Harding, James Blake, Squid, Gwendoline, London Grammar (Rock en Seine 2022) par Pierre Andrieu
Parc de Saint-Cloud, Paris, le 26/08/2022
Après une éprouvante première soirée (trop de monde, rien qui marche) sauvée par le concert des Arctic Monkeys, la tête d'affiche du festival Rock en Seine 2022 (pour nous !),... La suite

Arctic Monkeys, Fontaines D.C., Idles, Yard Act, NewDad, Inhaler, Beabadoobee (Rock en Seine 2022) en concert

Arctic Monkeys, Fontaines D.C., Idles, Yard Act, NewDad, Inhaler, Beabadoobee (Rock en Seine 2022) par Pierre Andrieu
Parc de Saint-Cloud, Paris, le 25/08/2022
Retour sur le mémorable passage des Arctic Monkeys en tête d'affiche du festival Rock en Seine le 25 août, un concert concluant de très belle manière une journée apocalyptique... La suite

(mon) Rock en Seine 2022 : DIIV, The Initiativ, The Limiñanas, Klangstof, Kraftwerk, Nick Cave and the Bad Seeds en concert

(mon) Rock en Seine 2022 : DIIV, The Initiativ, The Limiñanas, Klangstof, Kraftwerk, Nick Cave and the Bad Seeds par Philippe
Parc de Saint-Cloud, Saint-Cloud, le 26/08/2022
Pas revenus depuis 2018 au joli Parc de Saint-Cloud, pour ce bon vieux Rock en Seine (la vie, le COVID, tout ça...), on remet les pieds avec plaisir dans ce festival, marquant... La suite

Nick Cave & The Bad Seeds (Rock en Seine 2022) en concert

Nick Cave & The Bad Seeds (Rock en Seine 2022) par lol
Parc de Saint-Cloud, le 26/08/2022
26 août 2022, 22h30, festival Rock en Seine, aux abords de la grande scène, l'impatience et l'effervescence sont palpables, alors que l'entrée en scène de Nick Cave et de ses... La suite