installation de l'expo photo au Makeda que vous êtes invités à découvrir dès demain lors de la rencotnre littéraire autour de la sortie du livre Histoire du Rock à Marseille de Pascal Escobar dès 19h

Vous étiez quelques un(e)s à nous faire savoir que vous ne receviez plus tout le temps la newsletter ... il faut dire que la gestion de 10,000 adresses mails collectées sur quelques 20 ans ce n'est pas si trivial que cela à gérer. Beaucoup d'adresses en erreur (genre toutes les adresses voila.fr qui ont pris fin en 2016) qui ont fini par faire planter le robot d'envoi. Après 15 jours de pause nous avons repris tout en les relayant sur facebook (sachant qu'avec le facebook de Concertandco si on ne paye pas on touche max 400 personnes franchement ça ne vaut pas le coup), mais pour cela nous avons du mettre en quarantaine un paquet d'adresse.

Aussi j'ai profité de ce week-end de 3 jours pour écrire à l'immense majorité des adresses en qaurantie pour effacer celles effectivement en erreur et repécher ceux qui m'ont répondu (welcome back et merci pour vos gentils mots qui ont rendu la chose un tout petit peu moins monotone).

Du coup quitte à être en retard sur l'envoi j'ai bien passé 2heures de plus à compléter l'agenda en bonne partie grace aux copains du Vortex (comme je le précise à côté de chaque date pompée sur eux) .. du coup mes efforts n'ont pas été vains pusque ce ne sont pas moins de 99 dates !!!!!!! que vous trouverez rien que cette semaine dans l'agenda et si on ne compte que les concerts sur Marseille pas moins de 112 artistes qui vont se produire pour vous/nous.

Donc j'espère que vous en profiterez plus que moi qui du coup suis carrément à la bourre sur mon vrai boulot ...

Pirlouiiiit

ps : evidemment avec tout cela je n'ai pas du tout avancé sur ma retranscription de l'interview des Frères Morvan

N'hésitez pas à réagir à cette newsletter en écrivant directement à mrmiolito@yahoo.fr qui nous fera suivre

Hightone déjà au Moulin en 2001
 
Cette semaine, sur les près de 100 concerts annoncés sur Concertandco (ce qui représente quand même 112 artistes rien que sur Marseille)... si j'avais tout le temps que je voulais je ferais surement le choix d'aller voir
 
* lundi 11/11 - Beouf de ukulélé à l'Intermédiaire
* mardi 12/11 - Stéphne Béchy pour la demi heure d'orgue à l'eglise Notre dame du Mont à midi, puis le showcase de Patrick Adkinson au Makeda après la rencotnre litteraire autour de la sortie du Histoire du Rock à Marseille (1980-2019) de Pascal Escobar ...
* mercredi 13/11 - soirée garçons avec the Needs et Jack's à l'Intermédiaire ou soirée filles avec Flèche Love / Isaya / Siem Folknomade au Makeda
* jeudi 14/11 - Hightone sera de retour au Moulin pendant que la Makeda recevra Charles X & Siska + Gaïo
* vendredi 15/11 - après No Jazz Quartet au Lollipop Music Store, ce serait La Noria à l'Afriki Djigui Theatri plus près géographiquement que Le Cri du Caire & Mederic Collignon à la Criée dans le cadre des Rencontres d'Averroes
* samedi 16/11 - trop trop de chose ... Aldebert au Dome dès 17h, puis les 15 ans de Manivette Records avec plein de gens comme Gigi de Nissa, Moussu T e lei Jovents etc ... plutôt que le festival les Festives un poil trop loin (au Rouge Belle de Mai) sans parler du concert dessiné de Domas et Bruno Bessadi avec et l'Ensemble Musical du Sud au théâtre Thoursky autour du "Voyage dans le monde Miyazaki"
* dimanche 17/11 - Archive étant complet je serais allé aux Aggrolites au Molotov
 
je vous rappelle que ceci est une sélection forcement très subjective et que l'agenda sur le site est mis à jour tous les jours ... aussi je vous invite à aller voir les détails sur https://www.liveinmarseille.com

Terminator Dark Fate de Tim Miller vu par Fred B

Les robots venus du futur sont de retour, et cette fois dans une nouvelle formule dont hollywood a le secret. Mesdames et messieurs, vous avez aimé les suites, les prequels, les reboots, les cinematic universes, vous allez adorer les semi-reboots. En effet, après Halloween qui nous a balancé l'an dernier une suite directe au premier volet, la saga de James Cameron revient avec une suite à Terminator 2 rendant nuls et non avenus tous les épisodes qui ont suivi. A la poubelle donc le T3 de Mostow, à la poubelle le futur dystopique de McG, à la poubelle le Genisys tout pourri d'Alan Taylor. Place à un épisode adoubé par Cameron lui même (de manière assez malhonnête il faut le dire, tous les films précédents l'avaient été d'une façon ou d'une autre), réalisé par Tim Miller bien connu pour son Deadpool, moins pour ses incroyables cinématiques de jeu vidéos (notamment pour Star Wars : Old Republic), avec un casting tout neuf, et le retour des figures historiques. Pour une attente assez mesurée, l'image de la franchise s'étant quand même bien écornée au fil du temps.

Et il faut bien l'avouer, ce Terminator Dark Fate n'est pas nul, et c'est déjà une petite réussite. Partant d'une introduction assez radicale, le film nous introduit de nouveaux personnages, une nouvelle menace (qui ressemble quand même pas mal aux anciennes) pour un début de film qui, sans être très original, est suffisamment intrigant et bien exécuté pour faire l'affaire. Après, c'est dommage qu'on doive se taper le retour des acteurs emblématiques de la saga, le vrai point faible du film à mon goût. Tel Star Wars VII qui commençait de manière classique mais sympathique avant de s'effondrer à l'arrivée du Faucon Millenium et de Han Solo, le film perd en intensité à l'arrivée d'une Sarah Connor badass mais handicapée par le jeu un peu à la ramasse de Linda Hamilton, et d'un T800 basé sur un postulat original (mais qui ne plaira pas à tout le monde) porté par un impeccable et assez drôle Schwarzy..

Ces grandes licences portent en elles des concepts très forts, souvent à l'épreuve du temps et riches d'une infinité de potentielles histoires. Malgré tout l'amour qu'on peut porter à ces icônes, c'est vraiment dommage que les producteurs et les scénaristes n'aient pas suffisamment confiance dans leurs univers et se sentent obligé de faire revenir des personnes âgées pour leur faire faire des cascades par peur de perdre leur public historique. Ceci dit, cela ne m'a pas empêché de passer un assez bon moment devant une oeuvre mineure mais à la mise en scène efficace, en étant conscient que le film qui pourra s'asseoir à la table des deux monuments de Cameron n'existe toujours pas, et n'existera sans doute jamais.

Mad Fishes de Bird in Shell écouté par Philippe

L'air de rien cela fait quand même un peu plus de 20 ans que je suis l'actualité musicale marseillaise. J'ai donc eu l'occasion d'en voir se former, splitter ou se recomposer. Sans avoir creuser la question à fond il se pourrait bien que Bird in Shell soit l'un des plus vieux groupes encore en activité. Si je les ai découvert en en 1999 en première partie de Théo Hakola je viens de lire dans l' Histoire du Rock à Marseille 1980-2019 de Pascal Escobar que Bird in Shell a vu le jour en 1990 ! A titre de comparaison les pourtant vénérables Cowboys From Outerspace n'existent "que" depuis 1996. Certes le groupe a connu quelques changements de line-up autour de l'historique Pierre-Marie Gely aka PiM mais il n'empêche que le power trio est toujours là et bien vivant si l'on en juge par ce nouveau mini album. Avec Fred Sanière à la basse et de Mario Di Salvo à la batterie, ils continuent à porter haut les couleurs d'une pop anglo-saxonne qui n'a rien perdu de sa superbe. Le trio excelle autant dans les balades intemporelles que dans les tubes aux plus pêchus. On pense (en tout cas je) aussi bien Bluetones et aux Strokes qu'au Beatles (sur la montée I want you esque de so many times). Sur les morceaux plus rock on pense éventuellement aussi à the H.O.S.T. Et si par le passé j'ai pu les trouver parfois un poil statiques sur scène j'avoue qu'il se dégage de ce disque une telle puissance (merci à Nicolas Dick qui a enregistré, mixé et masterisé le disque) qu'on a hâte de les retrouver sur scène.

2019 (Bird in Shell)

Après Rachid Taha et La Rue du Rock 2018, Sleaford Mods, Thomas Fersen plutôt que David Lafore, Vanwho plutôt que SovoX, Hervé André, Karim Tobbi, Les Frères Morvan ...

Voici un clip qui fait écho au triste anniversaire de la seamine dernière ... En effet, intitulé LA PLUIE, ce clip Dekadrage/Primitivi, rend Hommage aux victimes des effondrements des immeubles de la rue d'Aubagne

LA PLUIE, clip Dekadrage/Primitivi, en Hommage aux victimes des effondrements des immeubles de la rue d'Aubagne from primitivi on Vimeo.

qui s'il n'apparait pas ci dessus est visible en cliquant ici