Du Heavy Metal par excellence ! Sous l'impulsion d'un leader charismatique, Lemmy, le trio londonien Motörhead a mêlé la puissance du hard rock à l'état d'esprit sans détour du punk, proche des sources d'un rock'n'roll sauvage et extrême. Motörhead en concert : une véritable tuerie jouissive ! En concert, c'est un titanesque relevé des compteurs du rock 'n roll métallique... Lemmy Kilmister est mort le 28 décembre 2015, R.I.P. .
Motörhead en concert
Motörhead : l'historique des concerts
Di.
15
Nov.
2015
Ma.
23
Juin
2015
Ve.
19
Juin
2015
Site du Hellfest - Clisson (44)
Ma.
18
Nov.
2014
Me.
13
Août
2014
Arenes Romaines d'Avenches (Ch)
Di.
10
Août
2014
Théâtre de Plein Air - Parc des expos - Colmar (68)
Di.
03
Août
2014
Lokerse Feesten site du festival - Lokeren (Belgique)
Ve.
11
Juillet
2014
Esplanade du Lac - Aix les Bains (73)
Motörhead : les dernières chroniques concerts 27 avis
Ladies Ballbreakers + Rocket Queens + Motörqueens (tribute bands AC/DC, Guns N' Roses et Motorhead)
Critique écrite le 17 décembre 2019, par Jérôme Justine
La Puce à l'Oreille (salle Dumoulin), Riom 14 décembre 2019
Tout juste un an après la réussite d'une première édition qui avait vu les performances des Into the Deep, Zep Set, et Iron Troopers, en ce samedi 14 décembre 2019, Rock the Night et La Puce à l'Oreille relèvent, sans trembler (ou alors très discrètement) le défi d'une seconde édition sous la thématique " bad girls play rock n roll " ! Dans un monde musical rock 'n rollien bien encombré par des mâles blancs quinquagénaires chauves et bedonnants, le pari est tout autant osé qu'émoustillant. La question est donc la suivante : quelle place pour des jeunes et jolies filles dans l'artisanat difficile du cover band ? Question essentielle d'autant plus que ce soir on s'attaque à des groupes sévèrement burnés, si je peux me permettre cette expression autant imagée que triviale. Parce que dans le genre groupes autant chargés en testostérone qu'un cycliste en EPO, on ne fait guère mieux que Motörhead, Guns n' Roses et AC/DC !! Motörqueens Alors ce soir de samedi de l'Avent, on sort la veste à patchs pour accueillir comme il se doit les Italiennes de Motörqueens représentant Lemmy et sa bande, les re-Italiennes de Rocket Queens pour figurer les Guns n' Roses et enfin les Françaises de Ladies Ballbreakers dans le rôle des Australiens en tenues... Lire la suite
Phil Campbell And The Bastard Sons + 4Links
Critique écrite le 27 mars 2017, par Jérôme Justine
La Coopérative de mai, Clermont-Ferrand 23 mars 2017
Il y a parfois des reconversions difficiles. C'est le triste constat que nous allons vivre au concert de Phil Campbell ce jeudi 23 mars à la Coopérative de Mai. Il ne suffit pas d'avoir été à la droite de Dieu sur des milliers de scènes du monde, devant des centaines de milliers de personnes pendant 35 ans pour attirer plus de 300 personnes à Clermont-Ferrand. Son ex-compagnon de route, Mikkey Dee, a trouvé une solution plus simple, choisir après la mort du sien, de suivre un groupe qui remplit déjà des salles, en l'occurrence Scorpions. Pour Phil Campbell, la mort de Lemmy, et à sa suite la fin annoncée de Motörhead, signifie de retrouver le courage et l'envie de monter sur scène, de se refaire un nom et un répertoire, le danger étant de devenir un cover-band du Bombardier. C'est ce que fait courageusement Phil avec Bastard Sons, goupe composé de ses 3 fils : Todd (guitare), Dane (Batterie) et Tyla (basse), avec au chant avec au chant Neil Starr. Défendant un 5 titres enregistré en novembre, ce nouveau projet fait une tournée européenne passant ce soir par nos contrées bien dépeuplées en rockeurs à poil longs. Le concert annoncé dans la grande salle étant passé au dernier moment dans le club. 4links L'honneur de chauffer la... Lire la suite
Nous avons décidément une chance incroyable (ou une petite épitaphe pour Lemmy & David) [Bowie / Motörhead]
Nous avons décidément une chance incroyable ! Et d'ailleurs des milliards de gens pourraient, non, devraient nous envier, à s'en rouler par terre de dépit et de jalousie !... Mais qui est ce "Nous" et de quoi parle-t-il, vous demandez-vous à juste titre, à la fin d'une année aussi merdique que 2015 ? Nous, sommes d'abord les fanatiques de "rock", au sens le plus large et ouvert de ce terme fourre-tout. Et parmi ce très, très grand groupe, nous, sommes ensuite plus précisément le (très grand lui aussi) sous-groupe des sceptiques. Autrement dit et comme le fameux Saint-Thomas des chrétiens : on veut bien croire à ce qu'on voit, en tout cas à ce qu'on a entendu dire et qu'on arrive à trouver crédible... Mais pas forcément à tout ce qu'on nous raconte. Ou alors avec difficulté. Or dans ce qu'on nous raconte, chacun.e pourra en convenir, ce qui est souvent le moins étayé de preuves tangibles est quand même l'existence de D/dieu(x), non ? Le fait qu'une personne soit capable d'utiliser une arme contre une autre personne, au nom d'un (ou plusieurs) D/dieu(x), et ceci depuis à peu près la Préhistoire, ne vaut pas du tout preuve de Son (ou de leur) existence. Des miracles et autres manifestations divines sont bien rapportées mais là encore,... Lire la suite
Kill it Kid + Motörhead + The Animen + Skunk Anansie + The Coronas
Première soirée de la 23ème édition du festival Caribana. Un festival à la programmation très éclectique : rock, pop, hip-hop. Situé dans le petit village de Crans-sur-Nyon, les pieds dans le lac Léman, à quelques kilomètres du Paléo festival qui a lieu à Nyon. Le festival Caribana est un des premiers festivals estivaux (début juin) est permet de très bien commencer la saison. Surtout que le soleil a finalement décidé d'être de la partie. Le festival est organisé en deux scènes : la grande scène et la scène du lac. C'est sur la scène du lac que Kill it Kid inaugure cette édition du festival. Le groupe, venu d'Angleterre, nous délivre un rock alternatif proche du grunge. Ils sont quatre sur scène : le chanteur/guitariste Chris Turpin, Marc Jones à la batterie, Stephanie Ward au piano/chant et Dom Kozubik à la basse. La voix de Chris m'a rappelé celle des chanteurs de blues du siècle dernier, ce qui donne un vrai relief à leur musique (les mélodies étant finalement assez classiques). La groupe tient son office et est ouvre le festival d'une très belle manière. Dommage que les trois garçons manquent un de charisme pour vraiment embarquer la foule. Seule la pianiste arrive à envouter le public et donne de la force au groupe.... Lire la suite
Motörhead : les chroniques d'albums
Motörhead : Under Cöver
Chronique écrite le 20/09/2017, par Philippe
Album posthume et néanmoins assez joyeux, sans doute dû aux assoiffés ayant-droits de l'irremplaçable Lemmy Kilmister, cette compilation de reprises, Under Cöver, a au moins le mérite de mettre ensemble une partie des reprises jouées de son vivant par Motörhead, ex-groupe phare de la new wave of british heavy metal (en français courant : mythique trio défonceur de tympans et arracheur de slips... au sens propre comme au figuré). Certes ils en ont fait pas mal d'autres (Enter Sandman, Highway to Hell, Stand by Me, Let it Rock, etc. etc., le tube en est plein !). Sans même parler de tout ce que Lemmy a pu jouer avec ses potes via son trio rockabilly Head Cat... Mais bon, il faut bien en garder un peu dans les tiroirs pour assurer son avenir de rentier, pas vrai ? Bien sûr certaines, figurant (ou non) déjà sur des albums, étaient déjà archi-connues des fans, comme leur God Save The Queen (version Sex Pistols, évidemment, ne pas rater son clip, imberbe mais idiot à souhait), un Jumpin'Jack Flash un peu scolaire (des Stones) ou encore, un superbe Sympathy for the Devil (idem) qui concluait, hélas, leur riche discographie. Et... Lire la suite
Motörhead : Bad Magic
Chronique écrite le 07/01/2016, par Philippe
Rhaââ mais bordel de merde, mille milliards d'acouphènes vrombissants, on nous aurait menti ? Finalement il n'était quand même pas immortel ? Pour paraphraser Pierre Desproges : "le 28 décembre, premier coup dur... Lemmy est mort. Le 29 décembre, deuxième coup dur... Johnny est toujours vivant !". Allez, c'est juste pour rire, on souhaite ici une longue vie au dernier mammouth du rock, bien sûr. Voici en tout cas une raison de plus d'aller cracher sur la tombe des assassins du 13 novembre 2015 : ils ont indirectement privé des milliers de spectateurs parisiens de ce qui aurait donc été le dernier Zénith traditionnel de Motörhead, prévu deux jours après et annulé... Puisque notre bien-aimé Lemmy, flamboyant cow-boy dont la silhouette noire [chapeau sudiste, chemise noire, basse Rickenbacker, jean slim et bottes de motard] a marqué à tout jamais le rock bruyant, ne pourra pas revenir jouer ce concert en 2016. Et qu'il a aussi annulé, sans trop d'excuses, le reste de la tournée... Une de ses dernières apparitions publiques lui a en tout cas permis de traiter ces êtres inanimés de cowards & d'assholes, et vraiment, on a pas trouvé mieux ! Que restera-t-il de Motörhead sans son mythique frontman, et nos merveilleux souvenirs des concerts en... Lire la suite
Head Cat (Motörhead-Stray Cats : Walk The Walk, Talk The Talk
Chronique écrite le 07/08/2011, par Philippe
Vous avez 15 ans et vous êtes convaincuE d'être né 50 ans trop tard pour cotoyer Eddie, Elvis, Carl, Jerry Lee, Buddy, Chuck, Gene et les autres, aux temps historiques de l'invention du rock'n'roll ? Vous avez 75 ans et vous êtes dépriméE par les groupes de jeunes cons à mèche qui prétendent faire du rock & parfois même du roll, alors qu'en 1955 vous étiez là, tout frais émoulu, devant la scène quand ça s'est vraiment passé ? Ou bien vous êtes quelque part entre les deux et l'ambiance de votre salle de concert préférée, fermée tout l'été, vous manque ? Eh bien, jeunes et vieux, restez calme et buvez frais : The Head Cat est là ! Quoi ? Encore un boys band de perdreaux de l'année avec un nom en "The" ? Mais, que nenni ! Ouvrez donc le boitier, retirez le CD et voyez qui vous mate d'un air glacial. D'accord, le premier ne vous est pas familier : Danny B Harvey, légende (surtout dans son pays) du rockabilly. Par contre à droite, c'est bien Slim Jim Phantom, la grande chose maigre et impressionnante qui tabasse debout les fûts des Stray Cats depuis 30 ans. Et au milieu, le chapeau, la clope et la verrue, mais oui, c'est bien Son Altesse Lemmy Kilmister lui-même ! Mais sans sa mythique basse Rickenbacker, sans ce batteur chevelu et sans ses... Lire la suite
Motörhead : The Wörld Is Yours
Chronique écrite le 22/03/2011, par Philippe
Depuis 35 ans qu'ils en sortent un tous les 18 mois, les disques de Motörhead ont souvent tendance à se ressembler pas mal, sans jamais parvenir à sécréter un nouveau tube aussi jouissif que les trois monuments historiques qui concluent invariablement leurs concerts, Iron Fist, Ace of Spades & Overkill. On a bien chroniqué l'un d'entre eux un jour presque au hasard, où l'on vantait déjà l'incroyable longévité de son bassiste & brailleur mythique, Lemmy Kilmister bien sûr, l'homme / légende dont un mois de vie aurait vraisemblablement tué ou fait interner n'importe lequel d'entre nous. Depuis on a aussi pu admirer la Bête en live, les pieds sur du béton puis dans la merde, et un formidable DVD est par ailleurs venu rappeler, s'il en était besoin, à quel point le bon (dieu) Lemmy était un personnage fascinant et justement idolâtré par ses pairs. Autant dire donc, un homme/groupe adulé mais dont on pensait tout savoir et qui pourtant, avec ce disque, réussit presque à nous intéresser à nouveau : The Wörld is Yours ! En effet le trio s'y risque à un peu plus de variété dans les styles : gros rock à riffs à l'huile bien sûr, mais parfois pas si violents (Born to lose, Devils in my... Lire la suite
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Motörhead : Vidéo
Motörhead : écoute
Top Metal-Hardcore
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