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Chronique de Concert

(mon) Rock en Seine 2005, 1/2 : Flying Pooh, The Sunday Drivers, Arcade Fire, Hot hot heat, Queens of the Stone Age, Jurassic 5, Vitalic

(mon) Rock en Seine 2005, 1/2 : Flying Pooh, The Sunday Drivers, Arcade Fire, Hot hot heat, Queens of the Stone Age, Jurassic 5, Vitalic en concert

Saint-Cloud, Parc de Saint-Cloud 25 août 2005

Critique écrite le par



C'est avec grand plaisir qu'on se rend pour la deuxième année consécutive à Rock en Seine, le petit dernier des gros festivals, dont la programmation est encore globalement un peu sage (beaucoup de choses déjà vues ailleurs) mais qui a su, comme l'an passé, nous appâter avec quelques pointures et aligner par exemple aujourd'hui, excusez du peu...

Les deux plus chauds groupes de rock actuels (plus un ancien, un peu refroidi)

On n'a pas réellement écouté le groupe pop Athlete car il fallait bien redécouvrir le site, agrandi d'une scène, et la magnifique expo photo-rock de Philippe Levy, qui photographie avec le même talent et la même passion les navrants Bloc Party, les énormes Beastie Boys, les mystérieux Daft Punk et le génial Tricky... très classieux tout ça !

Les français de Flying Pooh ouvrent donc notre bal avec leurs beaux costards noirs et cravates blanches, et leur musique dissonante, délurée et potache (selon la brochure, leur style improbable serait du cartoon core), passant allègrement du rock français pêchu (style Dionysos) au metal le plus outrancier (la fin déclenchera d'ailleurs un pogo furibard). Les chansons Spanking Day et Be fat confirment le côté 'Jackass' d'un projet cependant très convaincant et ludique (on pense même par moments aux expérimentations du génial Mike Patton), affaire à suivre !

On ne suivra par contre pas plus loin The Sunday Drivers, un groupe de sympathiques espagnols qui a fait voeu de rester bloqué dans les années '60 (où pourtant ils n'étaient pas nés), plus particulièrement dans la pop gentillette et comme qui dirait formatée (époque Beach Boys). Même leur tube On my way nous en touche une sans bouger l'autre... mais l'ensemble reste, soyons juste, agréable et reposant à l'oreille.

De toutes façons l'événement interplanétaire (au moins selon Télérama et Rock&Folk) arrive : les canadiens d'Arcade Fire et leur pop-rock étrange, élégiaque et sophistiqué (si recherché qu'il faut du temps pour l'apprécier, d'ailleurs). Quoi qu'il en soit à force de persévérance on a fini par (presque) adorer ce groupe protéïforme, dont le noyau est le duo formé par le grand Win-qu'il-est-vilain Butler et la flamboyante Régine-qui-parle-français Chassagne, entouré d'une section cuivres, strings, rythmique et divers : presque un orchestre sur scène !
Si la voix du bon géant a un je-ne-sais-quoi de bouleversant et vous prend aux tripes, on aime un peu moins celle de la demoiselle (comparée un peu hâtivement à Björk)... mais le duo s'accorde à merveille !
Connaissant mal les titres de ce genre d'album (qui s'écoutent en une fois, ou pas du tout), je suis un peu à la rue pour la playlist : on aura bien sûr droit entre autres aux 4 magnifiques versions de leur thème Neighborhood en commençant par la deuxième (accordéon et voix à la Bowie old school). La version n° 3 (I woke up in Paradise) nous emmène en effet au septième ciel ! D'ailleurs émoustillé par cette musique divine, le ciel décide à cet instant de se mettre définitivement au grand bleu, pour accueillir une chanson d'un premier album dont, damnation, nous n'avions jamais entendu parler ! Neighborhood #1 déferle alors comme une immense vague de Prozac liquide devant un public conquis !
Le slow qui tue, Crown of Love, nous fait regretter l'absence de quelqu'un, jusqu'à sa dernière minute totalement disco et déjantée ! A signaler, outre des temps morts un peu longs entre les chansons, la présence d'un hurluberlu aux percussions, sorte de fou du roi plein de conneries qui nous amusera tout le concert en tabassant un casque, ses collègues et même parfois un instrument, aussi bien sur une chanson calme comme Haïti que sur la pétaradante et fabuleuse Rebellion. Bref leur concert, quoique sacrément trop court, Tabernac', ne sera pas décevant !

Pour se remettre, rien ne vaut un groupe dispensable comme Hot hot Heat, pop-rock catchy à double voix, très tendance mais sur lequel on a absolument rien à dire tellement ses compos sont banales, malgré un nom écrit sans doute à la taille de leur prétentions : très très grand. Ce sera le groupe joker de la journée, celui pendant lequel on trouve avec plaisir le temps de s'asseoir et de se restaurer.

Car c'est pas tout ça, mais il fallait être au top de sa forme pour assister au concert des Queens of the Stone Age dont on sait depuis les dernières Eurocks de quoi ils sont capables ! Accompagné par une charmante, mais plutôt petite personne, on restera cependant ce soir à distance raisonnable de l'inévitable pogo dans lequel nous faillimes mourir de bonheur (et d'écrasement) la dernière fois.
Dès l'entrée sur Big black wolf du groupe, on constatera encore une fois que le grand Josh Homme, ses cheveux roux gominés, ses biscottos et sa moue boudeuse à la Elvis, son déhanchement et ses yeux de chat font un effet certain à la même demoiselle (tandis qu'on retrouve de notre côté avec plaisir la plantureuse joueuse de clavier du groupe).
L'énorme Medication nous chope au colback et on sait bien qu'on ne va plus être lâché, matraqué par les chansons de leur dernier album, impression confirmée par First it giveth ou encore Little Sister ! Les rouquins étant l'incarnation du Malin comme chacun sait, on est guère étonné que Burn The Witch soit la chanson favorite de Josh Homme. Par ailleurs ses assistants, un bassiste à tête de tueur à gages et un batteur baraqué et tatoué à mort (sans même la tête d'oiseau de proie de Mark Lanegan, exclu du groupe) instillent en nous quelque chose qui ressemble à... de la peur !
On aura aussi droit, notamment, à une nouveauté, mais aussi à la fascinante Tangled up in plaith, aux inévitables et stoner-issimes Someone's in the Wolf et Song for the Dead, ou encore au blues toxique de I Never came où la voix précise et posée du chanteur, assez viril pour ne pas craindre les notes aigües, fait des merveilles !
Après la toujours sublime No one Knows on repart de là un poil moins exténué que la dernière fois (la playlist étant moins longue - pas de Everybody knows that you're insane par exemple) mais tout aussi heureux : les QOTSA sont très certainement le meilleur groupe de scène actuel (d'ailleurs mon pote le batteur pètera la gu... à qui osera dire le contraire), et j'ai eu le privilège de les voir deux fois cet été !

Un peu ivre de musique et à nouveau en goguette sur le site, on réalise qu'il y avait ce soir un excellent concert de rap U.S. dont on verra la fin avec plaisir : Jurassic 5, comme les 5 types au flow impeccable à la Public Enemy et sur une base musicale qui nous rappelle Cypress Hill, y'a pas à dire c'est carré, pro, ça déchire, voilà un style où les français ont vraiment du mal à atteindre une telle perfection (et oui, on a aussi vu IAM et NTM en concert) !

Cela dit notre écoute du concert est un peu troublée par l'intense cas de conscience qui nous agite depuis la première lecture du programme : Pixies ou Vitalic ? Peut-on se permettre de rater l'un des plus grands groupes de rock du monde pour aller voir un simple DJ techno-rock, sous prétexte qu'il squatte notre iPod depuis des semaines ?! Peut-on se permettre de rater encore (comme aux Eurocks) le DJ le plus excitant de ce siècle pour aller voir des petits gros sur le retour anonner leurs chansons, bien sûr géniales mais quand même salement défraîchies ?

C'est décidé et tant pis pour eux, même si le coeur se serre un peu en entendant de loin Where is my mind, ils n'avaient qu'à pas nous mentir : l'an dernier c'était la reformation de la dernière chance pour les voir, dont acte, veni vidi vici et p... que c'était bon, mais là ca fait un an qu'ils tournent et ils enregistrent un nouvel album ! Un article du Parisien confirmera que ce concert, joué sans passion excessive, semblait ne servir qu'à relever les compteurs... maybe next time ?

... Ce fut donc Vitalic comme 2 ou 3 centaines de happy few et on n'a pas regretté ce choix ! Au départ il entame son set sur des morceaux qui ne figurent pas sur son génial premier LP Ok Cowboy. Elles n'en sont pas moins entousiasmantes car il y a presque toujours une allusion au rock (riff de guitare et/ou batterie binaire), on pense souvent à Daft Punk (bonne époque) et le public est déjà très chaud quand, après une demi-heure, vient enfin un repère : Newman, ses hurlements torturés et sa basse énorme.
Sans arrêter son mix, une transition nous conduit tout naturellement à l'énormissime La Rock 01, remixée comme pour rendre le public encore plus hystérique, c'est réussi car c'est une vraie tuerie ! Sans plus de retenue, on se met à bondir, comme tous ceux qui nous entourent, une belle bande de kangourous en somme !
Mais Vitalic n'en a pas fini avec nous, le temps de constater (il est enfin éclairé) qu'en plus le salaud est un sacré beau gosse... Et il enchaîne, par la transition d'un morceau électro-tech hallucinant où il torture sa propre voix, et nous voilà livrés à son tubissime My Friend Dario, pas la meilleure sur album mais qui sera ce soir la plus excitante de toutes, et le public (mystérieusement multiplié par 5 en volume, s'emmerderait-on sur la grande scène ?) devient définitivement extatique et hilare !
Il pensait manifestement terminer son set sur la chanson No fun, mais à la demande d'un public qui ne le lâche pas, il se lance dans un rappel sur l'air de Midnight Express qui part hélas en sucette, son ordinateur faisant un caprice. On se contentera donc d'une chanson déjà jouée auparavant, mais très excitante, pour conclure sur ce set largement à la hauteur de nos espérances !

Cette première journée a donc tenu toutes ses promesses, et en plus agrémentées de découvertes agréables. Le Métropolitain très efficace de Paris nous ramène en ville, pour une fin de soirée où nous ne ferons pas long feu...
Pour le deuxième jour du festival, suivez le guide, c'est par ici !

Photo vignette : QOTSA prise aux Eurockéennes 2006.

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