Slam hip-hop. Il mêle hip-hop décalé, flow débridé, textes où s'articulent autodérision et biographie salée, mélodiques structurées et instruments acoustiques.

Dgiz se présente :Karim Ghizellaoui est né à Rennes le 21 novembre 1972. Français d'origine maghrébine, surnommé affectueusement Dgiz par son entourage, il commence à s'exprimer artistiquement adolescent à travers le théâtre et les ateliers d'écriture. Puis il découvre le Rap et le Slam qui devient son échappatoire et son terrain de prédilection. Il aime croiser les disciplines et les arts. En 1998, il est invité à enregistrer un freestyle sur la mix tape Neochrome. Il participe en 2000 au projet "une vie en bloc" qui permet aux jeunes des quartiers populaires de découvrir et pratiquer la musique au Conservatoire de Gennevilliers. Ce rappeur hors-normes multiplie les scènes depuis la sortie de son premier album atypique "DGIZ HORS" (chez Junkadel ic Zikmu en novembre 2002). Fruit de sa collaboration avec Dj Junkaz Lou, concepteur de talent et Bernard Cavanna, Directeur de l'ENM de Gennevilliers et compositeur émérite ( Victoire de la musique classique, prix de la meilleure musique contemporaine 1998). "DGIZ HORS" mêle hip hop décalé, flow débridé, textes où s'articulent autodérision et biographie salée, mélodiques structurées et instruments acoustiques. Comment ne pas ressentir chez Dgiz sa vive envie de vivre ? Considéré comme l'un de "MC" les plus novateurs et plus éclectiques, c'est grâce à ses rencontres et ses expériences qu'il a su métisser sa musique et s'ouvrir à diverses cultures musicales et sociales. Dgiz participe et anime toujours des slam sessions notamment à l'Atelier du Plateau à Paris et continue à diriger des ateliers avec des universités, des collectivités et des associations comme Zebrock où il fut résident avec ses musiciens en 2005. Issu du label JUNKADELIC (Dj Junkaz Lou, Sinistre, Bams, Kool Keith, Marc Live, Mr Sche...). Dgiz défend un hip hop sans concession qui place l'art au dessus du produit. L'intelligence et la sincérité de ses textes sont un contre-exemple des dérives du Hip Hop et des abus et injustices de la société. "C'est pas du RAP, je fais du R.U.P : Rap d'Utilité Publique..."

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