Nicola Marinoni en concert
Nicola Marinoni : l'historique des concerts
Sa.
19
Oct.
2019

Maison du Chant - Marseille (13)
Di.
30
Avril
2017
Sa.
26
Nov.
2016
Sa.
22
Oct.
2016
Je.
23
Juin
2016
Sa.
05
Mars
2016
Sa.
23
Janv.
2016
La Maison du Chant - Marseille (13)
Sa.
04
Avril
2015
Nicola Marinoni : les dernières chroniques concerts 2 avis
Ghost Fish, un autre festin ... feat. Lacrymoboy, Nicola Marinoni
Critique écrite le 04 juillet 2014, par pirlouiiiit
Art-Cade, galerie des Grands Bains Douche de la Plaine, Mars 03 juillet 2014

Nous ne sommes allés qu'une fois pour le moment chez l'atypique et microscopique Sushi Qui rue goudard (il y a 2 ans) même si nous en avions gardé un bon souvenir. Du coup lorsque nous avons entendu parler de cette soirée un peu particulière dans laquelle intervenaient deux musiciens forts talentueux je ne me suis pas trop fait prier (après coup j'ai réalisé que cela tomber en même temps que le concert de Stephane - ex Tante Hortense - Massy et Gaïo au Lounge, ainsi que Kabbalah à Maison blanche). Le prix pouvait paraitre un peu élevé mais je me souvenais que je m'étais fait la réflexion chez Sushi Qui et que je n'avais pas regretté d'être venu. Et puis sans même parler de la nourriture, il y a quand même pas mal de personnes impliquées puisque cette "création culinaire" qui "fait dialoguer les arts et la cuisine" regroupe quand même le travail de Didier Nadeau & Pierre Pell à la photographie-vidéo, Lacrymoboy & Nicola Marinoni à la musique, Laurence Maillot à la danse et Microclimax à l' "Art-Design". Connaissant le lieu et ne sachant pas trop comment il va être utilisé (assis / debout ? tables individuelles ou collectives ?) et notre babysitter étant là nous arrivons un peu en avance. C'est que les festivités sont annoncées pour... Lire la suite
Chants de Noël : Noëls Nomades

Une longue file patientait dans le froid en attendant que l'Eglise de l'Estaque ouvre ses portes. Enfin, nous pûmes entrer. Une bonne surprise nous attendait : Toute pimpante et refaite à neuf, la salle était chauffée, prête pour le spectacle de la Compagnie Lamparo, Lo Còr de la Plana. Il ne fallut que quelques minutes pour que les bancs soient tous occupés. Après un bref discours d'accueil du curé de la paroisse, le Conseiller Général prend la parole à son tour pour se féliciter d'une telle affluence et regretter que de nombreuses personnes n'aient pu entrer. Le spectacle peut commencer. Sans pitié pour mon arthrose cervicale, ils arrivent en procession (normal, dans une église) par l'allée centrale, chantant en chur ou se répondant, s'arrêtent, repartent. J'ai renoncé à me dévisser le cou. Je les attends et je les entends. C'est beau, c'est mélodieux et dans la nef pleine à craquer, chacun écoute dans un silence... religieux. Ils gravissent les marches de l'autel et s'installent face à nous, élégants dans leurs costumes anthracite toujours chantant et entourés par des musiciens qui s'intègrent au chur comme des voix supplémentaires. C'est magique. Les bruitages nous font sentir le vent dans les branches, les... Lire la suite