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Chronique de concert Tornaod
Vendredi 19 avril 2024 : 6229 concerts, 27081 chroniques de concert, 5410 critiques d'album.
Chronique de Concert
Tornaod
Un vendredi soir bien sympathique pour une rencontre de Tornaod - une fois passées quelques recherches infructueuses le long d'un quai en travaux, mais après tout quand on est habitué à la recherche de mégalithe en lande/forêt,
Ca n'est pas bien dur ce milieu urbain ... -, commencée par la visite d'un facteur de piano et la découverte d'un superbe Steinway bois de 1910 ("Tiens, salut Philippe ! Oh, mais c'est jouli tout ça, là !", etc. - "Hièp vous là-bas, il est temps de venir jouer !" (Thomas, dans le fond rameutant une troupe égaillée entre deux crêpes/Heineken)).
Enfin bref, une centaine de personnes dans la salle voûtée (si on compare ça à une cave, c'est mal vu localement) - une très bonne affluence, dans une grande salle faite pour et tout et tout.
Deux nouveautés musicales notables :
- un morceau court joué en intro. sur fond de pédale ouah récurrente presque à la "Berlin school" ; agréable et doux ;
- une pièce (de fin) nettement plus longe, variée et mettant en valeur les correspondances et instruments avec une grande intelligence (ah ! le duo Basse/Guitare : tching tching tching/Ouan ! Ouan ! - OK, c'est mieux de l'entendre plutôt que de l'écrire ...). On sent une relecture d'Ummagumma, et nettement moins du Led Zep dans ce morceau-là ! Très, très grand. Faut continuer à regarder ce groupe, mon cher Jean-Mimi il ira loin, il n'y a pas de doute. D'ailleurs il a déjà la matière pour un deuxième album, sans aucun
doute !
Ah, si ! Une nouveauté vraiment super pas du tout dans le domaine musical (si l'on peut dire) : La sono : a) neuve ; b) bien réglée (ça aussi, c'est un peu nouveau comparé aux bars divers habituels) : on redécouvre la basse, et on entend effectivement tous les instruments (si !) ; même les facéties de Mac Gyver Steven sont claires et audibles ce soir-là - elles sont tellement importantes : ça fait toute la différence subtilement goûteuse, le zigougoui du fond juste au bon moment !
Bref, du très grand Tornaod et un très grand nouveau morceau. Décidémment, ils sont très forts ces p'tits gars-là ...
Ca n'est pas bien dur ce milieu urbain ... -, commencée par la visite d'un facteur de piano et la découverte d'un superbe Steinway bois de 1910 ("Tiens, salut Philippe ! Oh, mais c'est jouli tout ça, là !", etc. - "Hièp vous là-bas, il est temps de venir jouer !" (Thomas, dans le fond rameutant une troupe égaillée entre deux crêpes/Heineken)).
Enfin bref, une centaine de personnes dans la salle voûtée (si on compare ça à une cave, c'est mal vu localement) - une très bonne affluence, dans une grande salle faite pour et tout et tout.
Deux nouveautés musicales notables :
- un morceau court joué en intro. sur fond de pédale ouah récurrente presque à la "Berlin school" ; agréable et doux ;
- une pièce (de fin) nettement plus longe, variée et mettant en valeur les correspondances et instruments avec une grande intelligence (ah ! le duo Basse/Guitare : tching tching tching/Ouan ! Ouan ! - OK, c'est mieux de l'entendre plutôt que de l'écrire ...). On sent une relecture d'Ummagumma, et nettement moins du Led Zep dans ce morceau-là ! Très, très grand. Faut continuer à regarder ce groupe, mon cher Jean-Mimi il ira loin, il n'y a pas de doute. D'ailleurs il a déjà la matière pour un deuxième album, sans aucun
doute !
Ah, si ! Une nouveauté vraiment super pas du tout dans le domaine musical (si l'on peut dire) : La sono : a) neuve ; b) bien réglée (ça aussi, c'est un peu nouveau comparé aux bars divers habituels) : on redécouvre la basse, et on entend effectivement tous les instruments (si !) ; même les facéties de Mac Gyver Steven sont claires et audibles ce soir-là - elles sont tellement importantes : ça fait toute la différence subtilement goûteuse, le zigougoui du fond juste au bon moment !
Bref, du très grand Tornaod et un très grand nouveau morceau. Décidémment, ils sont très forts ces p'tits gars-là ...
Critique écrite le 02 décembre 2003 par François
