Baloji offre un voyage musical dans son Congo natal et à Ostende, sa terre d'adoption. Sa musique est teintée de diverses influences comme la soul, l'afrobeat, la chanson et le hip hop.
Baloji : tous les concerts
Me.
09
Oct.
2024
Baloji : l'historique des concerts
Sa.
30
Nov.
2019
Sa.
28
Sept.
2019
Site de Garromanche Outreau - Boulogne-Sur-Mer (62)
Di.
01
Sept.
2019
Parc de Miribel Jonage - Miribel (01)
Sa.
03
Août
2019
Presqu'île de Crozon - Crozon (29)
Me.
31
Juillet
2019
Théâtre Jean Vilar - Montpellier (34)
Sa.
27
Juillet
2019
Théâtre de Verdure - Aix en provence (13)
Ve.
26
Juillet
2019
Place du Village - Le Thoronet (83)
Sa.
25
Mai
2019
Baloji : les dernières chroniques concerts 3 avis
Les Suds à Arles : Rokia Traoré + Baloji
Quel plaisir de retrouver ce soir le cadre d'exception du Théâtre Antique d'Arles, avec ses deux colonnes de scène encore debout, éclairées par le dessous et sa tour carré sur la gauche, habillée de lumière avec l'inscription Les Suds à Arles et Arte. La présentation de cette soirée, aux couleurs associées du Congo et du Mali, va être faite par Bernard Tournois (producteur et ancien directeur des programmes d'Arte), tout de blanc vêtu, qui n'oublie pas de remercier dans son introduction la fée clochette de ce festival : Marie-Jo et nous promet que ce soir nous aurons tout simplement droit à l'Afrique Enchantée. Pour ce faire, nous allons commencer avec Baloji pour danser la "Rumba congolaise", avant de nous laisser emporter par la femme d'exception qu'est Rokia Traoré, qui va également nous offrir son regard de la musique, avec tout son vécu du Mali. Une très belle affiche pour les amoureux de la musique africaine donc (concert filmé d'ailleurs pour Arte). Pour cette première partie, ils vont être cinq sur scène, les musiciens prenant place les premiers. Très vite suivi par Baloji qui nous arrive tout de suite très dansant, très dandy chic, avec son grand corps un peu dégingandé. Et à peine arrivé sur le plateau antique, il ne... Lire la suite
Soraya Zekalmi + Baloji
Les goûts de Gand est un festival en plein air à Gand, Belgique. Comme la météo annonce depuis des semaines un ciel ensoleillé suivi de nombreuses averses locales, les organisateurs ont pris la précaution de déplacer les artistes vers des salles de concert. Le soleil est au rendez-vous et les concerts sont gratuits. Conséquence, je n'ai pas du faire la queue pour me retrouver entassé entre des sardines au centre culturel De Centrale à Gand. Je crois que les organisateurs possèdent des montres suisses. A seize heures pile, Soraya Zekalmi accompagnée de ses musiciens Marc Bogaert (Sitar et Guitare) , Fabrice Collet (Drums,Tabla et Dholak), Mohammed Al Mokhis (violon) et Ashik Khan (Harmonium, voix) ouvre la série de concerts. Soraya nous présente quelques chansons qu'elle prépare pour son nouvel album. Elle débute avec hésitation. Un musicien-choriste qui a développé sa voix dans les déserts du Rajasthan couvre la voix de Soraya. Cette situation s'équilibre à partir de la deuxième chanson. Elle m'emmène dans un voyage musical sur la route de soie qui part du Proche-Orient jusqu'en Inde et le public est conquis par la voix et présence de Soraya aussi bien à l'aise dans les chansons pleines d'émotion que dans les compositions... Lire la suite
Babel med Jour1
Soirée d'ouverture de Babel Med aux Docks des Suds. A l'entrée, traditionnellement, les invits prônent sur les places payées plein pot. Un petit guichet seulement pour ces secondes, mais ça suffit largement. Je croiserai je pense ce soir une grande partie d'invités. Mais Babel Med est un festival atypique. En effet, c'est avant tout un endroit de rencontre pour les acteurs culturels. Des débats, des conférences, des show cases et surtout la rencontre entre les artistes et les programmateurs. Ce soir, vu la programmation fournit, ça va donc être un long marathon pour moi... Et la chronique sera un survol de bouts de concert, comme ça se passe souvent dans ce type de festival. Après une attente syndicale pour choper le pass, et vu l'heure, je me dépêche d'arriver dans la Salle des sucres. En effet, c'est la fin du set de Coetus. J'arrive juste pour le final, et j'ai juste le temps de voir le nombre impressionnant de musiciens, une bonne quinzaine.Mon compère Julien me fera un petit résumé, en deux mots : Ca envoyait ! Programme en main, je commence alors les allers retours entre la Salle des sucres, le Cabaret et les deux chapiteaux montés en face de la rue pour l'occasion. Ça fait plaisir de retourner de ce côté depuis... Lire la suite