Cette chanteuse transcende les frontières entre Europe et Asie ainsi qu'entre jazz, pop et chanson. Elle chante en anglais, coréen et hébreu.
Youn Sun Nah en concert
Youn Sun Nah : l'historique des concerts
Lu.
26
Fév.
2024
Sa.
24
Fév.
2024
Sa.
03
Fév.
2024
Ma.
28
Nov.
2023
Me.
15
Nov.
2023
Sa.
13
Mai
2023
Je.
09
Mars
2023
Ve.
21
Oct.
2022
Théâtre Claude Debussy - Maisons Alfort (94)
Youn Sun Nah : les dernières chroniques concerts 2 avis
Festival Jazz Des Cinq Continents : Youn Sun Nah Duo - Wynton Marsalis & Lincoln Center Orchestra
Pour cette nouvelle et pénultième soirée au parc Longchamp, une chanteuse Coréenne accompagnée d'un guitariste Suédois (ah ! le label cinq continents) vont égayer la première partie de soirée. Youn Sun Nah : chant Ulf Wakenius : guitare Un premier morceau est donné par Ulf Wakenius en solo sur sa guitare folk. Un chant indien (ah ! le label cinq continents). Après une partie instrumentale, le Suédois entame une litanie du type "chant de pluie", façon Cochise. Espérons qu'il ne sera pas trop efficace. Une intro qui produit un effet bizarre, inattendu, pour le moins. Puis arrive Youn Sun Nah, toute en timidité, elle a l'intonation d'une fillette de cinq ans qui débarque sur le plateau de l'école des fans. Un premier abord qui s'estompe dès qu'elle entame le chant sur Calypso Blues. Elle a soudain beaucoup plus d'assurance et se pose d'emblée comme une chanteuse à forte identité. Les morceaux s'enchaînent, puissants, suaves, et empreints d'un brin de folie parfois. Youn Sun Nah fait étalage de tout son répertoire vocal, en termes de registres, de capacités, d'inventions. On entend de hautes montées dans l'aigu, des percus murmurées façon Beat Box, des cris, le timbre qui devient guttural sur quelques mesures, puis change... Lire la suite
Charlie Jazz Festival Jour 3 : Paris Jazz Big Band + Duo Isabelle Olivier / Youn Sun Nah + La Fanfarine + Yves Laplane Quartet
Troisième et dernière soirée du Charlie Jazz Festival 2009. L'éclectisme du jazz est illustré par le programme de ce dimanche : un quartet de jazz moderne, un quintet-fanfare, un duo harpe/voix et un big band classique de 17 musiciens. Yves Laplane est un pianiste compositeur marseillais. Ce sont ses compositions - souvent dédiées à des proches - que son quartet interprète à l'exception d'une du saxophoniste niçois Jean-Marc Baccarini. Ce dernier est mis en avant dans chaque pièce et ce n'est pas pour me déplaire. A sa droite, Yves Laplane passe de son clavier Rhodes à son Yamaha (je préfère le son de ce dernier). Joseph Crimi à la contrebasse et Willy Walsh (batterie) rythment le propos. Willy est Irlandais et nous fait découvrir ou redécouvrir un instrument à percussion de chez lui, le bodhrán, sur Nomad's Land. Deux compositions retiennent mon attention : Blues For Ann pour lequel Joseph Crimi a troqué sa contrebasse contre une basse électrique. Chacun y a droit à son solo et celui du pianiste commençait à me faire apprécier le son du Rhodes. Auparavant, ils avaient interprété une merveilleuse mélodie, Fluffy Doll, ballade où s'entrelacent le son du piano et celui du saxo. Ils terminent en remerciant Claude... Lire la suite