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Lundi 18 mars 2024 : 6611 concerts, 27057 chroniques de concert, 5408 critiques d'album.


Metallica est incontestablement le plus grand groupe de thrash metal du monde. Un poil moins précis qu'ne 1984 mais toujours aussi puissants et jouissifs ! A l'occasion de la sortie en 2017 de Hardwired...To Self-Destruct, Metallica était en concert en France en 2017 ! A l'occasion du WorldWired Tour, Metallica​ était en concert au Stade de France​ à Paris le dimanche 12 mai 2019... En concert pour la première fois au Hellfest le 26 juin 2022 ! De retour avec deux show événements au Stade de France (St Denis, Paris) les 17 et 19 mai 2023...

Metallica : vos chroniques d'albums
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Metallica : l'historique des concerts

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Werchter Rock Festival en concert
Metallica - Greta Van Fleet - Lewis Capaldi - Moderat - Alt-j - The Streets - Sam Fender - The Chats Werchter Rock Festival | Moderat | Metallica | The Streets | Greta Van Fleet | The Chats | Alt-J
Plein Air - Werchter

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Hellfest en concert
Hellfest 2022 - 26 Juin : Metallica, Sabaton, Black Label Society, Hatebreed, Monster Magnet etc. Hellfest | Black Label Society | Metallica | Hatebreed | Sabaton
Site du Hellfest - Clisson (44)

Je.

10

Oct.

2019

Metallica & San Francisco Symphony Cinema le Palace - Martigues (13)

Metallica : les dernières chroniques concerts 53 avis

Metallica

Critique écrite le 20 mai 2023, par Philippe

Stade de France, Saint-Denis 19 mai 2023

Metallica en concert

C'est toujours pareil avec Metallica ! A chaque annonce de tournée, on se dit qu'il faudrait grandir un peu, que c'est trop loin, trop cher, trop revu (Marseille 1998, Arras 2008, Nîmes 2009, Zurich 2010, Paris 2019 !). Que cette fois ce sera donc sans nous, sacré bordel de Lemmy ! Et puis chaque fois on se trouve un prétexte - cette fois, de boucher un trou (certes béant) dans le CV de metalleuse de notre Amoureuse - on craque et donc finalement on y retourne, voir les Quatre Darons de l'Apocalyse...Il faut avouer aussi que leur live ayant conclu l'édition 2022 du Hellfest (qu'on a pas vu, mais bien écouté), maîtrisé et hargneux à souhait, nous avait sacrément remis les patates au fond du sac à leur sujet. Et que leur nouvel album, 72 Seasons, comme les 2 précédents d'ailleurs (voir nos chroniques sur galette si besoin), comporte certes une moitié sans intérêt, mais aussi 2-3 chansons énormes, et 2-3 autres plutôt cool, qu'on aimerait toutes bien voir en live... Dernier point assez irrésistible, la promesse d'un show inédit, puisqu'avec une set-list répartie sur deux soirs, dont nous ne verrons que la deuxième moitié - parce qu'on a pas que ça à foutre et à financer non plus, hein ! Si nos bien-aimés Beauf et Beaufette sont allés à la... Lire la suite

Hellfest 2022 - Dimanche 26 Juin : Metallica, Destruction, Eyehategod, Archgoat, Thou, Terror, Cult of Fire, Regarde les Hommes Tomber vs Hangmans Chair, Svart Crown, Year Of No Light, Nytt Land

Critique écrite le 12 juillet 2022, par Pipoulem

Clisson 26 juin 2022

Hellfest 2022 - Dimanche 26 Juin : Metallica, Destruction, Eyehategod, Archgoat, Thou, Terror, Cult of Fire,  Regarde les Hommes Tomber vs Hangmans Chair, Svart Crown, Year Of No Light, Nytt Land en concert

Hellfest 2022, deuxième partie, dimanche 26 juin Dernier jour de cette double édition 2022 si particulière du Hellfest. C'est passé tellement vite encore une fois. Il reste encore quelques groupes à voir pour la dernière journée de dimanche avec une météo clémente on devrait garder les pieds au sec. Nytt Land Je commence tranquillement par un duo russe nommé Nytt Land. Une jeune femme vêtue d'habits traditionnels, le visage peint, muni d'un tambour tient le rythme au centre de la scène et chante de façon aigue. Sur le côté, le deuxième musicien est assis, pas vraiment mis en valeur au niveau scénique, et utilise, lui, des instruments traditionnels dont je ne pourrai citer les noms tout en chantant d'une vois grave rappelant presque le son d'un didgeridoo. C'est assez calme et joli à regarder et écouter, ils nous racontent probablement une histoire. Peut-être un peu trop répétitif. Il faut dire que l'on a eu droit à beaucoup de groupes de ce genre de musique traditionnelle. Ce qui semblait sortir de l'ordinaire il y a quelques années est finalement devenu très, trop, classique aujourd'hui. Year Of No light La Valley accueille Year Of No light, que je découvre. Quand je vois un bassiste avec un tee shirt de... Lire la suite

Metallica (World Wired Tour) + Ghost

Critique écrite le 15 mai 2019, par Philippe

Stade de France, Saint-Denis 12 mai 2019

Metallica (World Wired Tour) + Ghost en concert

Dans le genre "concert quasi-impossible à choper à l'ouverture de la billetterie", où l'on se bat désormais contre les robots d'escrocs notoires comme Viagogo ("Viens, gogo !", tout est dit), en plus des traditionnels revendeurs & arnaqueurs à la petite semaine - autant de gens qui mériteraient un long et douloureux écouillage au couteau émoussé... Celui de MetallicA au stade de France le 12 mai 2019 était un beau défi ! Ce fut un petit miracle d'attraper 4 places en septembre, et de pouvoir les offrir trois mois plus tard à mes chers Beaufette et Beauf, fans historiques, de la part de Papa Noël et sans jamais avoir lâché le morceau malgré quelques apéros appuyés avec eux. Initialement je ne voulais même pas spécialement y aller, j'avais déjà vu le groupe à 4 reprises (Marseille 1996 - avant Concertandco ; Arras, 2008 ; Nîmes, 2009 ; Wil-Jonschwil, 2010), mais c'est qu'ils ont un peu insisté, et je ne peux rien leur refuser, hum... Et puis je me suis dit, merde, 5 concerts, depuis pas loin de 30 ans que j'aime ces bon vieux Four Horsemen, finalement ça reste raisonnable, il a donc pas fallu me titiller beaucoup... D'autant que leur production la plus récente, Hardwired to Self-Destruct (2016), m'a plutôt convaincu ! L'arrivée au... Lire la suite

Metallica + Ghost (Worldwired Tour 2019)

Critique écrite le 04 mai 2019, par Samuel C

Estadio do Restelo - Lisbonne 1er mai 2019

Metallica + Ghost (Worldwired Tour 2019) en concert

Metallica débutait le 1er mai une nouvelle tournée européenne à Lisbonne. Le stade du Restelo se situe à l'ouest de la ville dans le quartier historique de Belem, à 15 minutes du vieux centre en train. L'ambiance est détendue autour du site. Une armada de quadras et de quinquas plus ou moins chevelus arbore naturellement le t-shirt des héros du soir et attend patiemment avec bières et sandwiches locaux au sein d'une file qui semble interminable. Depuis 2007, le gang de la baie de San Francisco a joué à 8 reprises dans la capitale portugaise. Cette fréquence (et les prix des tickets allant de 70 à 125€) expliquent peut-être les sièges vides tout comme une bonne partie du carré pelouse Or. 42 000 spectateurs seront comptabilisés. Ghost Depuis l'enceinte du stade on aperçoit le majestueux fleuve Tage et le monument érigé en hommage aux grands explorateurs du pays : "Pères de la Nation". Sous un ciel encore bleu azur, Ghost s'avance masqué. De nombreux tubes aux mélodies imparables sont égrenés pendant le set d'une cinquantaine de minutes. Tobias Forge est le maître de cérémonie absolu de ce concept suédois hard FM, il le fait également savoir par quelques gestes autoritaires quand tel musicien est mal placé par exemple. Le show... Lire la suite

Metallica : les chroniques d'albums

Metallica : Hardwired ... To Self Destruct

Chronique écrite le 28/11/2016, par Philippe

Metallica : Hardwired ... To Self Destruct

Retour en grande forme en 2016, pour les San-Franciscains de Metallica ! Depuis leur précédent - et excellent - Death Magnetic (huit ans déjà !), les aficionados ont bien eu des nouvelles régulières, d'abord via le mal-aimé (mais pas inintéressant !) Lulu enregistré avec Lou Reed (paix à son âme), ensuite via le très plaisant film-concert Through the Never (le pied du siècle dans une salle de cinéma 3D, pour les metalleux !), et qui célébrait leurs trente ans de ménage et de joyeux boucan. Et même via un inédit et tuant Live au Bataclan, sorti au Disquaire Day 2016 pour participer à l'effort de reconstruction des rescapé.e.s... L'ouverture par la courte Hardwired, l'un des meilleurs morceaux du nouvel opus, annonce clairement la couleur, tout comme la créature infernale formée de leurs 4 visages grimaçants sur la pochette - cher auditeur, on est pas aussi fatigués ni vieux que tu le crois, viens donc rider le lightning avec nous p'tit slip, on va te faire headbanguer jusqu'à en roter du sang - hé, c'est un album double ! Bien sûr, vu la set-list déjà ultra-copieuse dont il dispose comme tous les (rares) groupes de cet âge, Metallica n'a plus droit qu'à un ou deux singles par album, et ici on parierait bien qu'on va voir sur scène, en plus... Lire la suite

Metallica : Through The Never

Chronique écrite le 06/11/2013, par Philippe

Metallica : Through The Never

30 ans après ses débuts, le navire-amiral du metal, celui de Metallica, flotte toujours, malgré de sérieux coups de tabac essuyés sur la dernière décennie : parti de vraiment très bas, le groupe a fait un come-back flamboyant pour lequel les fans ont accouru au Nord, puis au Sud de la France, voire complètement à l'Est pour les plus fondus (mais pour un concert proprement historique !), et a pondu en même temps un disque de retour presque miraculeux, puis un autre beaucoup plus hasardeux et assez mal reçu... pourtant en compagnie du regretté Lou Reed (RIP). Bref Metallica, l'un des, allez, 5 plus grands groupes du monde en activité, est toujours là et ses membres (3 sur 4 sont d'origine, quand même !) avaient bien le droit de se faire un petit cadeau d'anniversaire pour leurs trente balais passés à mouliner comme des bêtes, sur cordes et sur peaux. Ce qui fut fait avec ce film, Metallica - Through The Never, permettant principalement aux fans de vivre un concert du groupe capté en 3D, tournoyant de quelques centimètres des guitares à quelques mètres au dessus d'une scène splendide, au coeur de l'action, et avec des effets spéciaux de malades... Expérience à moitié familière donc (pratiquement tous leurs fans de plus de 15 ans les ont... Lire la suite

Lou Reed & Metallica : Lulu

Chronique écrite le 01/12/2011, par Philippe

Lou Reed & Metallica : Lulu

D'après ce qu'on a pu lire à propos de cet album, le monde des chroniqueurs mainstream de 2011 (Libéraminrocks) se divise en deux parties (à l'exception notable de Rock'n'Folk) : ceux qui ne connaissent rien à Metallica... et ceux qui ne connaissent rien à Lou Reed ! Il convient donc de préciser deux ou trois choses d'emblée à l'attention des abrutis qui ont ricané après trois minutes d'écoute de ce disque - pour le moins inhabituel et difficile à apprivoiser - et qui ont chié leurs textes ignares dans la foulée. En profitant généralement, après un exposé de leur inculture crasseuse, pour se moquer en passant de l'âge des protagonistes du disque, un noble songwriter new-yorkais et de mythiques metalleux californiens, légendes vivantes à qui le rock et le metal doivent respectivement une reconnaissance infinie... Ces plumitifs (pourtant souvent quadragénaires eux-même !) se plaçant donc dans une posture jeuniste qui nous donne tout au plus envie de leur chier dans les pompes, voire même de faire rentrer leur iPhone 5.2 dans le mauvais sens de leur tube digestif... Car, non ! Ce disque n'est pas "ce que Metallica a enregistré de meilleur depuis 20 ans" : ceux qui on écrit ça ne peuvent pas connaître l'excellent Death Magnetic (2008), dont... Lire la suite

Metallica : Death Magnetic

Chronique écrite le 17/09/2008, par Philippe

Metallica : Death Magnetic

Avis à la population, Metallica a fini sa crise d'adolescence et l'a d'ailleurs brillamment démontré en août à 26000 ch'tis d'adoption, ivres de bonheur à Arras. Restait à prouver pour la bande renouvelée et ressoudée qu'elle repartait du bon pied. Bon, qu'est-ce qu'on fait le mieux, les gars ? ont-il du se demander à la croisée des chemins... Eh bien, facile, de belles et bonnes chansons de marave. Et pourquoi pas ? Désintoxiqué, James a retrouvé sa voix et sa morgue, Lars est plus hargneux que jamais, ce beau bébé de Rob joue de la basse comme s'il grattait le ventre d'un ours, et Kirk est toujours content, du moment qu'il a au moins un riff à tricoter ou un monstrueux solo à peu près à chaque morceau - c'est le cas. Voici donc Death Magnetic, manifeste de guerre à la variété et à la tiédeur valide pour les 30 prochaines années, 10 chansons, 69 minutes (soit une belle moyenne), le (saint) père Rubin à la production pour un son sacrément moins crade que sur le précédent. La potion est en effet équilibrée selon les... Lire la suite

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