Leader de la scène dancehall Jamaicaine depuis le début des années 90, le "Prophet" dispense son message brûlant afin de détourner la jeunesse de la violence et la ramener vers le rastafarisme.
Créateur de la "David House", fondation qui a pour but d'aider les jeunes du ghetto a développer une carrière musicale.
Capleton en concert
Capleton : l'historique des concerts
Ma.
07
Nov.
2023
Ve.
03
Nov.
2023
Sa.
28
Oct.
2023
Parc des Expos Lorient/Lanester (56)
Ma.
24
Oct.
2023
Ve.
20
Oct.
2023
Chapiteau de la Pépinière - Nancy (54)
Ve.
24
Août
2018
Théatre de verdure - Correns (83)
Sa.
04
Août
2018
Gymnase Claude Metendier - Frangy (74)
Lu.
14
Nov.
2016
Capleton : les dernières chroniques concerts 12 avis
Capleton
C'est tout de blanc vêtu orné des célèbres couleurs vertes jaunes et rouges que Capleton fait son entrée sur la scène Club du Moulin. Les premières vibes reggae se font entendre, le public est dans la mouvance. Les corps se balancent en rythme sourire aux lèvres. Ce qui est cool dans les concerts reggae, c'est que tout le monde se parle. L'ambiance est au partage, à vivre l'instant et... Lire la suite
Capleton + Droop Lion + Jah Thunder + Prophecy Band
Critique écrite le 17 avril 2013, par Bertrand 13rugissant
Passagers du Zinc (Avignon) 15 Avril 2013
Ce soir, Les Passagers du Zinc accueillent Capleton, première escale provençale. S'en suivra Montpellier le Mercredi et Marseille Jeudi. C'est donc un peu en avant-première que j'aurai la chance de voir ce Capleton, le bobo shanti aux 20 albums rend sur scène. Dernière fois que je l'avait vu en 2010 aux Voix du Gaou, c'était assez mitigé. Pas de chauffage d'ambiance ce soir par un selecta. Tant pis... En même temps, les amplis et la batterie sont de sortie, et ce n'est pas pour me déplaire ! Le public reggae est comme d'habitude venu nombreux aux passagers. Autant dedans que dans le patio. Le Prophecy Band débarque, et s'accorde à la bonne franquette au dernier moment. Ils sont tellement nature qu'ils mettent directement une ambiance conviviale. Cette salle où le public est très proche de la scène est propice aux interactions. Et c'est tous les musiciens qui s'interpellent et se motive. Le bassiste est prêt, le jack est calé, c'est parti ! En un instant, le riddim est propre, berçant ! En maitre de cérémonie, c'est Ju Lion qui officie pour présenter Jah Thunder, disciple adepte des premières parties de Capleton. C'est toujours efficace avec une voix claire qui fait réagir la salle que Jah Thunder... Lire la suite
Julian Marley + Toots and The Maytals + Capleton
Vent, poussière, ganja et bonne humeur ! Quelques qualificatifs pour cette soirée sur l'île du Gaou placée sous le signe du reggae, des reggaes devrais-je dire, tant l'affiche proposait trois styles bien différents. C'est bien simple, y'en avait pour tous les goûts, et je parle pas d'herbe, hein... Jeunes fumeurs ou vieux fumeurs, skins, ska, rasta, chacun pouvait trouver son compte au fil des shows se succédant. Premier à ouvrir le bal :Julian Marley. Le "fils de". Eh oui. Et je me dis que ça ne doit pas être trop simple de porter ce nom, et de faire son chemin dans la musique. Soit on se dit qu'on perpétue la tradition familiale simplement, avec la prétention de faire vivre un héritage, soit on essaie de s'affranchir de l'aura du papa, et tracer sa route en tant qu'artiste original doit alors demander une sacrée force de caractère. Au regard de la petite heure de reggae tranquillou proposée par Julian, je l'imaginerais plutôt dans la première catégorie. Alternant compositions originales (When the sun comes up, System) et reprises de Bob (Natural Mystic, Kinky reggae), son reggae reste très classique (sans que cela soit péjoratif), sautillant et entraînant. Mais après tout, on se moque un peu des catégories et... Lire la suite
Maxxo + Tanya Stephens + Jah Thunda + Kultcha Knox + Capleton
Comment commencer cette chronique ? Finalement, revenons à pourquoi j'y suis venue. Je ne suis pas à fond Dancehall mais j'ai souvent entendu parler de Capleton (et écouté en soirée !). Alors, j'ai eu envie de voir "le Prophète" (comme l'a nommé son "chauffeur de salle". Et oui ! Ils aiment bien ça les jamaïcains) Donc me voilà, dans la salle des Docks. La salle est plutôt grande et assez sympa. Le public est encore peu nombreux, mais semble conquis. Je découvre Maxxo (artiste français qui a percé sur le net) et son groupe : une choriste, une basse, une guitare, une batterie, un synthé, bref de quoi faire du bon reggae... Ses paroles sont engagées et intéressantes. On accroche à l'histoire qu'il nous raconte. Il est pêchu et généreux. Et malgré le peu de monde, il arrive à faire chanter le public et à créer une vrai ambiance. La lumière se rallume dès la fin de la dernière chanson, dommage on ne peux pas en avoir plus ! Puis c'est au tour de Tanya Stephens d'entrer sur scène. Je connaissais un titre de l'artiste : It's a Pity, qui était d'un style plutôt reggae... J'ai été tout d'abord surprise par son look très américaine : brushing, sourire "Max White" et des lunettes de soleil (je sais que ce n'est pas forcément... Lire la suite