Beaucoup beaucoup de choses ce week end ... aussi j'ai prévu de concentrer mes forces sur le samedi soir avec Origine au Roll'Studio (je ne connais pas mais comme Gildas Etevenard en fait partie je suis curieux), puis Bird in Shell au Leda Atomica Musique (qui viennent de sortir un superbe 6 titres), Camelia Jordana au Moulin (je ne connais pas mais j'y vais notamment pour illustrer la chronique de Sami) et peut être après JAM ou autre chose si j'ai la force. Donc repos ce soir. Sauf qu'ayant des visiteurs moscovites de passage, avant d'aller diner quelque part je leur ai donné rendez-vous au Lollipop. Je n'avais pas bien regardé qui c'était, mais pas un groupe du coin de mémoire. A mon arrivée ils sont déjà là ... je n'ai pas trop de mal à les trouver car outre le fait que Vladimir et Lilia sont juste à côté de l'entrée il n'y a à 19h15 pas grand monde. Le concert n'a donc logiquement pas encore commencé. LE micro est en place, l'album qui sera présenté / défendu ce soir aussi. Philipp et ses filles arrivent aussi, on boit donc un petit coup côté bar, j'en profite pour leur montrer le nouveau bouquin de Pascal Escobar sur le rock à Marseille (en leur montrant fièrement Lucie, Cyril et Alice page 78), je papote avec Brino venu... Lire la suite

Pas évident de parler d'un showcase fut-il sympathique quelques semaines et sans avoir pris de note ce soir là. Mais en réécoutant l'album "Hidden Memories", ça ne s'invente pas, et avec les photos prises par notre Pirlouiiit national il aurait été dommage de pas laisser une trace de ce petit moment. Un vendredi où il fallait se motiver avec un mistral glacial mais le déplacement valait le coup et une belle ambiance avec des habitués du lieu et des quelques curieux. La description "ses chansons aux accents indie-pop, à mi-chemin entre The Smiths et Belle & Sebastian" me parlait forcément, à défaut de parler à grand monde à Marseille. Somehow a publié son disque sur l'excellent label Varois Toolong Records dont on a apprécié les groupes vus dans le coin (Dan Druf à Rockorama et Skyers adoré au dernier festival Faveurs de Printemps) en tête. La parenté vocale avec Morrissey est encore plus flagrante en live que sur disque, hélas sans la voix féminine entendue sur l'album. Les mélodies coulent de source et le songwriter généreux (plus d'une demi heure) parle un peu entre les morceaux devant une assistance plus ou moins captive, rien d'inoubliable mais rien de désagréable, bien au contraire. Plus de photos et vidéos par... Lire la suite