17 ans après leur premier passage au Moulin en compagnie de Stratovarius et de Rhapsody, revoici Sonata Arctica, dont on aurait pas beaucoup parié sur la longévité à l'époque ! Et pourtant ce sont les derniers qui pondent régulièrement des albums, et ont leur petit public fidèle. Pour ma part j'ai largement décroché de leur discographie, réécoutant seulement, et très souvent, leur premier opus qui reste certainement un des meilleurs du speed mélodique. Non pas que leurs albums soient mauvais, mais ils n'ont jamais réédité l'exploit de "Ecliptica", et mon intérêt pour ce style si prisé fin 90's-début 2000's a décru avec le temps. Mais l'avantage de ce genre de combos qui ont marqué ceux de ma génération, c'est qu'ils permettent de retrouver des potes ou des têtes connues le temps d'une belle soirée, de tchatcher avec grand plaisir autour de quelques binouses. Et rien que pour ça, cela vaut le coup de se bouger les fesses. Striker Et puis parfois on a même un bonus, avec la découverte de groupes de première partie qui nous surprennent agréablement. C'est rare certes, très rare je dirais, mais ce soir ce fut étrangement le cas pour les deux groupes d'ouverture ! A commencer par les openers de Striker, Canadiens proposant un heavy... Lire la suite

La vague de groupes heavy speed qui a déferlé sur Lyon ces dernières semaines se clôturera donc par la présence des finlandais de Sonata Arctica, précédé des italiens de Labyrinth et des suédois de Triosphere. Une belle affiche du genre en soi. La longueur de la file d'attente et l'entassement des voitures me laissait à penser que la salle serait complète, autant que pour la prestation d'Helloween, voire même plus. Bières et sandwichs maison nous ferons patienter à l'extérieur avant de découvrir finalement une salle plutôt vide, contrairement aux apparences. Triosphère ouvrira du coup cette soirée sur un public peu nombreux et éparpillé. Formé en 2004 à Trondheim, le groupe débutera sa carrière en assurant les premières parties de divers groupes comme WASP, Jorn, Arch Enemy ou encore Destruction. Le groupe a une démo et deux albums à son actif. Musicalement le groupe officie dans un heavy metal plutôt brut avec une voix féminine aux sonorités très rauques, loin des envolées lyrique aiguës de certaines chanteuses et avec une attitude bien rock sur scène. Chanteuse qui tient également la basse. Je me souvenais avoir déjà vu ce groupe sur scène, mais je n'en gardais réellement aucun souvenirs précis. Ce soir sera donc une... Lire la suite

Etant sur place depuis la veille pour le fabuleux live d'Extreme dans la même salle, j'allais pas me priver d'aller voir les "surprenants" Sonata Arctica. Pourquoi "surprenants" ? Vu que c'est pas la première fois que je les vois depuis leur first tour il y a huit ans ? Vu qu'ils ne sont pas réputés comme etant des foudres de live ? Vu que les private jokes sur le chanteur Kakko perdurent depuis leurs débuts ? Ben justement, tout ça est devenu bien caduc, et il n'y a vraiment que ceux (nombreux), qui continue de deverser des blagues périmées sans les avoir vu ou revu depuis trois ans pour ne pas le savoir... Je sais bien tout ca, vu que j'ai fait partie des détracteurs rigolards après la première tournée que j'avais adorée car je vénère toujours le premier album, mais qui comportait plein de défauts, qui ne s'etait pas arrangés par la suite, et j'avais encore moins suivi les albums suivants. Mais depuis 2005 je les vois assez régulièrement en festivals, et du coup j'ai pu noter la très bonne evolution du combo en général, et du chanteur en particulier. Cette date etait donc l'occase de vérifier par et pour moi même si cette amélioration tenait la route en petite salle. L'Elysée Montmartre n'etait pas sold out, mais quand même aux... Lire la suite

L'affiche était très intéressante. Fairyland pratiquement inconnu de tous nous a proposé un metal épique sans aucune originalité mais bien entraînant, et pour une mise en bouche, ce fut parfait. Kamelot, malgré un son des plus cradingue, s'en est également magnifiquement sorti,... Lire la suite