Jonglant entre une pop froide et minimaliste et des influences plus latines et ensoleillées voire même parfois jazz, Thomas Belhom nous ballade aux travers de paysages sonores empreints de poésie ponctués par une multiplicité d'instruments : batterie, chant guitare électrique et acoustique, accordéon, mais aussi cloche de vache, ressort de voiture, gongs et petit piano mécanique... En première partie des Tindersticks en avril et mars 2020 !
Thomas Belhom en concert
Thomas Belhom : l'historique des concerts
Je.
12
Mars
2020
Me.
11
Mars
2020
Ma.
10
Mars
2020
Lu.
09
Mars
2020
Sa.
07
Mars
2020
Tandem Scène Nationale - Théâtre - Arras (62)
Sa.
07
Mars
2020
Tandem Scène Nationale - Théâtre - Arras (62)
Ve.
06
Mars
2020
Je.
05
Mars
2020
Thomas Belhom : les dernières chroniques concerts 4 avis
Bruit Noir - Mathias Delplanque - Belhom et Thimon
Ils ne sont pas légions, les labels qui sur le tournant de nos siècles ont su concilier exigence et existence comme Ici, d'ailleurs... et ses points de suspension. Un catalogue royal, un accompagnement complet de ses artistes, un succès commercial aussi avec Tiersen, des éléments parmi beaucoup d'autres faisant de la structure de Stéphane Grégoire un sésame, un gage d'aventure, un pont aux multiples rives. En arrivant dans la Carène pour un plateau dédié, on est frappé de la faible affluence, moins d'une centaine de personnes malgré la rumeur dévouée à Bruit Noir, tête d'affiche de la soirée. Peu versé encore dans les habitudes brestoises, ne sachant s'il faut incriminer qui ou quoi, je glisse du bar au club pour le duo d'ouverture, Thomas Belhom & Cédric Thimon. Le premier, vieux compagnon de ma discothèque depuis ses échappées tucsonniennes, chante, boucle des guitares et des claviers, tape enfin sur tout ce qui ne bouge pas tandis que le second délaisse rarement son saxophone ténor pour un trombone, manipulant aussi échantillons et délais. Le résultat est mirifique, dérives de chutes en... Lire la suite
Tindersticks + Thomas Belhom
A peine le temps de choisir un des sièges disponibles que vers 20h15 la première partie commence déjà. Il s'agit de Thomas Belhom, vu il y a un paquet d'années avec son frère au sein de Amor Belhom Duo et qui est ce soir seul sur scène. Il chante en français et anglais des ballades tristes et planantes à la Giant Sand qui ne retiennent pas vraiment mon attention, placé à un endroit où les habituels malpolis bavardent et les portes claquent au fur et à mesure des arrivées. Belle prouesse en tout cas de jouer autant d'instrument et de s'autosampler efficacement afin de livrer une musique plus riche qu'un set solo guitare voix. La salle se remplit pour afficher quasiment complet au son d'une sélection qui avait l'air bien ("Primitive Painter" de Felt, ce genre) mais le volume était bien trop faible pour en profiter. Aucun reproche à faire par contre au niveau son de ce concert des Tindersticks, il était d'excellente facture, ce qui nous fait regretter qu'à quelques exceptions près (Godspeed! You Black Emperor, Rufus Wainwright...) il y ait si peu de groupes "indé" à passer dans cette salle. On n'en dira pas autant de la nouvelle déco qui réussit l'exploit involontaire d'être encore plus criarde que la précédente. Une broutille... Lire la suite
Tindersticks + Thomas Belhom
Très bonne surprise que la première partie, assurée par Thomas Belhom. Je pense même que c'est la première fois que je ne songe pas à quelque supplice ignominieux en la matière. Thomas possède un sens des mélodies singulières qui, brassées de mille influences, ne ressemblent à rien d'autre. De très bons instrumentaux, un peu desservis par le chant peu convaincant - heureusement épars - qui incitent au voyage. Et, si je comprends pourquoi l'homme joue seul désormais (j'ai fureté sur Internet), il y a fort à parier que ses chansons prendraient une amplitude spectaculaire, autant sur scène que sur disque, jouées par un groupe et servies par la voix d'un (vrai) chanteur. De même, Thomas ne sait pas "se vendre", arrive dans l'ombre, ne dit rien ou presque, et repart comme il est arrivé,... Lire la suite
Red + Thomas Belhom
un concert étonnant. Red et Thomas Belhom sont deux ovni de la scène rock française.Il mélange avec une admirable finesse des influences variées(de Tom waits à leonard cohen en passant par Arto lindsay). Le concert ? Un réel moment de grace. Thomas Belhom derrière sa batterie customisée (baterie, synthé, xylo, cloches en tous genres) démarre le concert, à la grande surprise des spectateurs, en jouant quelques notes sur sa guitare. Le riff est etrange, pas vraiment... Lire la suite