Très marqué par Kraftwerk, Depeche mode, Joy Division et New Order, Yan Wagner évolue entre électro, pop synthétique et new wave. En concert en premier partie d'Étienne Daho fin 2019.
Yan Wagner en concert
Yan Wagner : l'historique des concerts
Ve.
04
Nov.
2022
La Coopérative de Mai - Clermont Ferrand (63)
Ve.
03
Juin
2022
Art Rock - Saint Brieuc (22)
Sa.
05
Mars
2022
Je.
03
Mars
2022
Ve.
25
Fév.
2022
Ve.
21
Janv.
2022
Ve.
17
Déc.
2021
Me.
24
Nov.
2021
Yan Wagner : les dernières chroniques concerts 3 avis
Benjamin Biolay (featuring Orelsan, Jeanne Cherhal et Gesa Hansen) + Yan Wagner (Festival Les Inrocks 2012)
Dimanche 11 novembre 2012, avant dernier soir à Paris pour le Festival des Inrocks (non, on ne citera pas le sponsor ! ) - il reste encore le grand final avec les géniaux Pulp, le 13 novembre à l'Olympia ! -, Benjamin Biolay fait son grand retour en live à La Cigale après le triomphe mérité de l'album La Superbe et la très courue tournée consécutive au disque... La Cigale est pleine comme à craquer, le tout Paris semble s'être donné rendez-vous pour découvrir en concert les nouveaux morceaux extraits de Vengeance... Yan Wagner Juste avant monsieur Biolay, c'est Yan Wagner qui a la redoutable tache de faire patienter un public très en attente de voir la star du soir en chair en os. Malgré une scénographie méchamment cheap (des projections sont faites sur un pauvre écran placé derrière les trois musiciens), l'auteur d'un premier album intitulé Forty Eight Hours fait très forte impression en live grâce à un enchainement étourdissant de tubes électro pop 100% synthétiques (Snippet, Forty Eight Hours, Love Sick... ), à une voix hyper grave de stentor gothique et aux influences - bien digérées mais très présentes - d'artistes aussi marquants que Depeche Mode, Joy Division et Kraftwerk... Le cocktail synthés au son... Lire la suite
The Healthy Boy + Benoît Pioulard + Oh! Tiger Mountain + Cercueil + Wagner
La Cave aux poètes, festival En solo ou presque. Un vendredi à guitare, un samedi tout en machines (enfin presque), pour boucler sa sixième édition à domicile, après être passé par la Condition publique et le Bar Live. Soit au programme : The Healthy Boy, Benoît Pioulard et Oh ! Tiger Mountain vendredi ; Cercueil et Wagner Samedi. C'est parti. "J'adore le nom du festival !" s'exclamera Oh ! Tiger Mountain, pendant la prestation de The Healthy Boy, Nantais à la tête de Bonnie Prince Billy. Il n'aura pas crié trop fort : dans le cadre d'une Cave aux poètes au climat intimiste, seulement bercé par une voix et une guitare, pas question de couvrir les arpèges et le chant du bonhomme. Soit 40 minutes de dénuement folk, avec quelques accélérations "rock'n'roll" ; de quoi taper du pied en hochant la tête, comme dans le fin fond du bayou. Un changement de plateau plus tard (facile !), l'Américain Benoît Pioulard dégaine à son tour sa guitare (classique) et déroule ses pop song intimistes. Sur disque, ces dernières sont portées par de légers arrangements, mais là, c'est guitare-voix, encore une fois. L'auditoire écoute religieusement, un "C'est beau mais un peu chiant" s'échappe du public mais pas trop fort, hein. C'est vrai que... Lire la suite
Goldfrapp + Wagner
Wladimir, Wagner : les deux premières parties de ce concert faisaient dans le mono-prénom en W. La programmation du premier reste difficile à expliquer : le jeune homme, qui ressemble musicalement et visuellement à Stanislas (décidément, les prénoms...), n'ayant servi que de petites mélodies assez insipides au piano. En revanche, le second a eu l'avantage de faire un peu bouger le public, qui commençait à remplir une Aéronef en configuration réduite, pour ce qui était pourtant le seul concert de Goldfrapp en province cette année. Le jeune Français, passé par New-York pour monter son projet, est seul avec ses machines, et livre une électro teintée de pop et de disco, aux lourdes basses vrombissantes, et aux mélodies accrocheuses. Seulement, la ressemblance avec l'Ecossais Calvin Harris est trop flagrante pour que le plus novice des deux ne souffre pas de la comparaison. Il faut tout de même saluer ce début prometteur. Le public n'aura ensuite pas eu à attendre trop longtemps avant de découvrir l'arche argentée qui allait servir de décor à la prestation de la troupe d'Alison Goldfrapp. A mi-chemin entre le demi-pneu géant et la soucoupe volante, son inutilité n'a d'égale que sa laideur. C'est pourtant un élément important de la... Lire la suite