Accueil Chronique de concert Tri Yann + Tram des Balkans + Tournée Génerale + Blerots de Ravel + Hurlements d'Leo
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Chronique de Concert

Tri Yann + Tram des Balkans + Tournée Génerale + Blerots de Ravel + Hurlements d'Leo

Tri Yann + Tram des Balkans + Tournée Génerale + Blerots de Ravel + Hurlements d'Leo en concert

Festival de la Chabriole - St Michel de Chabrillanoux 15/16/17 juin 2011

Critique écrite le 23 août 2011 par Jorma

Après le Hellfest, histoire de varier les plaisirs, direction le festival le plus improbable, dans le petit village Ardéchois de St Michel de Chabrillanoux : j'ai nommé le festival de la Chabriole. Mais qu'est-ce-quoi-donc-que cela me direz vous ? Ben, un festival qui programme Tri Yann pour leur 40ème anniversaire de carrière dans un cadre naturel magnifique, perdu au fin fond d'une vallée reliée par une petite route qui, lorsqu'on la prend, nous fait se demander comment diable un camion transportant matos et équipement peut bien l'emprunter.

Et pourtant, une fois sur les lieux, faut bien se rendre à l'évidence : c'est là ! Et l'on découvre que tout un village s'est mobilisé pour offrir un week end musical agréable à taille plus qu'humaine. Tout le monde semble y être partie prenante, du jeune qui fait garer les voitures, aux dames préparant les sandwiches dans la salle communale, en passant par les adolescentes qui vendent les billets d'entrée et les minots qui s'occupe de la sécurité (!). Mais faut quand même remettre le fest' dans son contexte : c'est la 36ème édition ! Le village a donc une certaine expérience dans l'organisation, hein, c'est plus des amateurs. Mais bon, pour moi, c'est ma tou-toute première fois, alors forcément je découvre.

Je découvre les verts pâturages ou se massent les quelques centaines de festivaliers, en tente, ou en mini bus.
Je découvre une scène taille mini toute sympathique.
Je découvre un bar avec des prix défiant toute concurrence ! 2 € la bière et 0.50 € le vin !
Et je découvre enfin qu'il est autorisé de rentrer dans l'espace concert avec son dilu sans que ça pose de soucis.

C'est quand même agréable de sentir que les organisateurs font confiance aux festivaliers et que, finalement, l'un dans l'autre, ça se passe bien. C'est vrai que la taille modeste de l'évènement incite à la responsabilisation de chacun. Mais bon...

C'est donc avec une première impression positive que je prends place dans l'arène naturelle pour voir débuter ce festival qui programme, pour la soirée d'ouverture, outre Tri Yann, Tram des Balkans.

Ce dernier, composé de 5 musiciens talentueux ouvre la soirée de manière plutôt tranquille avec sa musique d'Europe centrale mâtinée, de ci de là, de ska et de reggae. C'est festif, mais relativement plan-plan. La qualité musicale est là, mais je m'ennuie un peu sur certain titres, je dois dire. Vient tout de même me tirer de ma torpeur la voix d'outre tombe du violoniste, psalmodiant une mélopée envoutante et hypnotique lors du quatrième ou cinquième morceaux. Le côté transe, ça me branche bien, ça ! Mais hormis ce petit sursaut, et un twist à Zagreb aux fortes consonances de "Sous le soleil de mexico" version two tones plutôt plaisante, je n'ai été que peu emballé par Tram des Balkans. J'ai même trouvé dommage que le groupe ait parfois recours à des bandes enregistrées sur certaines chansons alors que, vu leur niveau technique, il me semblerait plus judicieux de réarranger les titres pour en proposer des versions ne nécessitant pas ce type de recours. Et puis, je pense également que la basse électrique utilisée la majorité du temps ne rende pas tout le feeling que véhicule cette musique. J'ai beaucoup plus apprécié les moments où la contrebasse était présente. Ca n'a toutefois pas empêché le public, de plus en plus nombreux, de commencer à remuer du tafanari et à danser joyeusement.
On peut même dire dire que le "remuage de fessier" va monter crescendo jusqu'à la fin du concert de Tri Yann. Je pense d'ailleurs qu'on peut remercier les effets de Monsieur Alcool et de Dame Shit, combinés à l'ambiance cool du festival, pour expliquer le ouaÏ qui va accompagner l'arrivée du groupe et leur prestations scénique.

Déjà, durant le changement de plateau, on voit bien que certains festivaliers venus se placer au devant de la scène ne maitrisent plus vraiment la coordination de leur geste et de leur parole et on sent bien que la terre tourne déjà un peu trop vite pour eux... On constate également que le public est très hétérogène, familial et trans-générationnel, incluant aussi des die-hards fan et autres jeunes tout foufou. La seule difficulté va être de faire cohabiter tout ce petit monde dans la fosse durant le show des Bretons.

Donc, le temps de reboire un petit coup et de se placer devant la scène légèrement sur la droite de la mini avancée (tout est mini ici : la scène, l'avancée, le village, le festival, les prix...) et voilà que déboule nos papis Nantais. C'était la première fois que je prenais le temps de me déplacer pour les voir, ne plaçant jamais Tri Yann dans mes priorités du moment. Grand tort j'ai eu toute ces années !

Bon, alors, rendre compte d'un concert de Tri Yann, c'est chaud, moi je vous le dis. Entre les costumes improbables, leurs attitudes, les chansons et l'énergie, je sais pas par où commencer !

Tiens. J'commençons par leur costumes du soir. Rien que ça, ça vaut le déplacement.
Alors, Jean Louis tout d'abord, dont c'est l'anniversaire se soir apprends-t-on. Magnifique kilt tout en capsule nescafé dorées, collant et baskets avec boucles renaissance. Masque doré et maquillage blanc. Plumes multicolores et chapeau cafetière. Ceinture crabe de chasteté.
Christophe arbore une très belle tenue de chantier jaune réfléchissante agrémentée de lamelles de gilet orange fluorescente ainsi qu'un plot orange et blanc sur la tête.
Plus décalé que ça tu meurs.
Ah ben non, c'est pas sur.
Jean Luc porte un très seyant ensemble hérisson avec capuche visage-herisson intégré.
Jean Paul, ensuite : costume marin avec dentelle en provenance directe des rideaux de belle-maman et chapeau phare de Plougastel.
Jean, tout en sobriété, n'a qu'un simple chapeau carotte et arrosoir à plume.

Bon allez, j'arrête là...Mais j'ai passé les 3 premier morceaux à délirer totalement sur leur dégaine. Faut dire que je m'y attendais pas du tout. Je ne m'attendais pas du tout à ce degré d'auto dérision de leur part. Et j'ai trouvé ça vraiment génial ! En tout cas, j'ai vécu ça comme une véritable ouverture, ce qu'ils ne cessent de répéter au fil du concert d'ailleurs : la culture Bretonne est ouverte. Ancrée dans la tradition, mais en évolution et ouverte à tous. Pas besoin de la sacraliser et d'en faire un élément de musé. Elle est vivante et, à ce titre, on peut en rire tout en la respectant et en étant sérieux. J'aime.

Comment ne pas tomber sous le charme de se groupe et de son frontman déjanté, conteur émérite, narrant l'histoire des Vestales de Cofiroute, gardiennes de l'entrée du pays Breton sur l'autoroute A11, juste avant d'introduire l'hymne Breton ?
Comment ne pas se régaler à observer Jean Luc le guitariste hérisson, totalement à fond dans sa musique, transcendé, grimaçant, triturant sa guitare électrique pour en sortir du son rock acide et brut ??

Et question musique, c'est du tout bon, même si une part des titres ne m'étaient pas familiers, tel J'ai croisé les Nereïdes et quelques autres que je n'ai pas reconnues. Mais joie d'entendre Mort à mors, Kan ar kann et son solo de guitare nerveux à souhait ou encore la Complainte Gallaise et le délire de Jean Louis rajoutant des paroles grivoises à qui mieux mieux sous l'oeil amusé de ses comparses. Franchement, "tu te posais la belette sur les genoux et la tripotais trois fois par jour", ça mérite pas le déplacement, ça ?!?

Le groupe est équilibré. Jean Paul et Jean apportent le calme et la douceur, véritable pendant d'un Jean Louis intenable. Et on ne s'ennuie pas une seconde. Et ce n'est pas le final composé de l'inusable La jument de Michao, Les prisons de Nantes et Pelot d'Hennebont qui me contredira.
Le concert se terminera comme il avait commencé : de manière improbable avec la recette des galettes Bretonnes chanté à capella par l'ensemble du groupe.

Voilà, si vous hésitiez encore à aller voir Tri Yann, plus de tergiversations possibles. Faut aller voir les vieux malicieux tant qu'ils auront cette énergie !
Ah ben tiens, en parlant d'énergie, un petit mot sur le public aussi.

Je dois dire que j'ai été mi-amusé, mi-perplexe par les pogos, bousculades, et autre stage diving qui n'ont pas arrêté du début du show jusqu'à la fin.
Amusé par le ouaï que ça a provoqué et le coté vivant que ça a donné au concert. Les gens s'amusent, c'est bien et c'est toujours mieux que d'avoir des santibelli impassibles.
Mais perplexe car attitudes complétements déconnectées de la musique et, du coup, rendant délicat la cohabitation entre familles avec enfants et couples plus tranquilles venus assister pépère à un concert de musique celtique, rock certes, mais loin d'être du death metal. Ca a donc crée quelques tensions qui auraient pu partir en engatse, alcool aidant, assez facilement.

Le groupe, s'il semblait assez surpris de cet engouement explosif, a néanmoins fait référence à un concert récent qui semblait tout aussi virulent, voire plus...

Ben dites donc, on dirait pas comme ça, mais ça dépote Tri Yann.

Et voilà, pour clore cette jolie soirée mouvementée, quelques verres de vin, un petit pipi, et au lit !
C'est qu'il faut être en forme pour la journée suivante, hein ! Même si celle-ci n'a pas le même attrait pour moi que la veille, restons festivalier jusqu'au bout du foie, et pensons à boire en compagnie des groupes présents. Qu'ils soient pas venus pour rien, peucheurette...

C'est donc après une petite escapade dans la rivière au fond de la vallée pour se rafraichir un peu et prendre un coup de soleil ridicule à souhait, puis trainasser dans le charmant petit village de St Michel, qu'il est déjà l'heure de regagner le mini site pour jouir de l'ouverture de la soirée par Tournée Générale, avant les prestations respectives des Blerots de Ravel et des Hurlements D'Leo.

Le trio Lorrain, que je ne connaissais point, va d'ailleurs nous offrir une petite prestation tout ce qu'il y a des plus rafraichissantes. Et je ne dis pas ça parce que la plupart de leur chansons font référence à l'alcool et aux bistrots, non non. Point du tout. Enfin, pas que.. Mais plutôt en raison de leur entrain et de leur énergie. Le chanteur guitariste opère dans un registre que je situerai entre Renaud (dont le trio donnera une version, très bonne, d'Héxagone un peu plus tard), Elvis et Brassens. Registre qui n'est pas pour me déplaire. Et il assure. L'accordéoniste a une véritable présence sur scène et ce ne sont pas les guêpes qui lui ont fait la misère durant les premières minutes du show qui l'ont arrêté. Le bassiste, lui, tiens la baraque et pousse la chansonnette à l'occasion, égratignant au passage le roi des cons sur son trône, à savoir le petit bonhomme en place jusqu'en 2012. Zob.
Bref, c'est plutôt bon et ça doit valoir le coup de les voir dans des conditions intimistes de type petites salles ou bars (au hasard, hein). Bien qu'en salle, nous nous serions privé de l'arrivée de la pluie pile poil à l'entame du morceau La lorraine. Si le ciel est pas facétieux quand même...

Une prestation qui permis également au site de se remplir, mais pas du même public que la veille. Plus de familles aujourd'hui et d'enfants à l'horizon. Fosse beaucoup plus dense. Moyenne d'âge 20/30 ans. Baba, punk à chien sans chien, chanson française contestataire. Bon, si ça a pogoté à Tri Yann, y'a des chances qu'on y ait droit ce soir. Et en parlant des punks à chien sans chien, il faut aussi préciser que le Fest', pour une entente cordiale entre tous, a demandé aux festivaliers à ce que les toutous plus ou moins massifs ne soient pas présent sur le site ni en vadrouille dans le village. Apparemment, il y eut quelques soucis de ce coté là...

Viens donc l'heure des Blerots de Ravel. J'avoue que j'avais quelques craintes quand à ce concert. Pas de leur fait à eux, mais du mien. Pour avoir jeter une ou deux oreilles sur leur musiques par le passé, je n'ai jamais réussi à supporter la voix du chanteur. C'est comme ça.
Bon, le concert s'est tout de même bien déroulé, grâce notamment, à leur chorégraphie léchée et huilée comme du papier, euh...huilé et léché...C'est qu'ils sont disciplinés sur scène ! En même temps, il vaut mieux, vu le nombre de musiciens présents...ajouté ça au fait qu'ils sont à peu près tous virtuoses et vous obtenez, pour peu que vous soyez sensible à leur musique, un très bon concert. Le public a d'ailleurs bien répondu, bougeant et bousculant à foison, me filant un bon petit coup de coude sur le nez en passant. C'est comme ça quand on est moins impliqué.

Puis vint le temps des Hurlements D'Leo, légèrement à la bourre d'ailleurs en raison de leur participation à un festival à l'autre bout du monde, en Belgique (vous vous rendez compte ?!), la veille, pour un set qui allait se révéler énergique. Avec quelques petit côté punk, même. Un I fought the law au passage, version reprise Clash, dès le départ. C'est peut être pour ça, ça m'a donné le ton.
Là aussi, y a du monde sur scène. Le saxo et le violoniste sautillent à coeur joie, ça joue bien et c'est suffisamment bordélique et rock pour être attractif en ce qui me concerne.
L'humour du groupe est ravageur (je taquine, hein...). Car comment rester insensible au bon mot du violoniste qui se mis à faire des "chabrioles" sur scène ? hein ? On appelle ça de l'humour de fin de soirée.
Pourtant, si le rythme reste varié, le groupe n'hésitant pas à changer les ambiances au fil des chansons, un sentiment de lassitude fini par s'installer insidieusement et je constate d'ailleurs que le site s'est quelque peu vidé du coté du public au cours de la soirée. Mais peut être que l'alcool et la fatigue, combinés à des prestations de groupe finalement assez denses, ont pu avoir raison de l'endurance de certain(e)s et de la mienne en particulier ?

Difficile de rendre compte autrement de ce dernier show, mais c'est néanmoins un sentiment de satisfaction qui prédomine à l'achèvement de cette soirée.

Satisfaction d'avoir passé un agréable week end en musique, et surtout de sentir que tout un village à su transmettre son incroyable énergie à organiser ce festival à un public venu passer du bon temps.
Dommage, d'ailleurs, qu'une météo capricieuse et quelques hectolitre de flotte ne soient venus contrarié ma participation à la fête du village le dimanche, mais bon...pas le courage...

Energie, c'était le maître mot du festival.
Maintenant c'est Guronzan et vitamine B6 pour s'en remettre.



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