Accueil Joseph Arthur en concert
Samedi 27 avril 2024 : 6166 concerts, 27085 chroniques de concert, 5412 critiques d'album.


Singer songwriter folk/pop/rock inspiré par John Lennon, Neil Young et Bob Dylan... Joseph Arthur écrit des chansons à la fois simples, lumineuses et torturées. En concert en 2014 !

Joseph Arthur : vos chroniques d'albums
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Joseph Arthur en concert

Il n'y a pas de concert actuellement annoncé pour cet artiste.

Joseph Arthur : l'historique des concerts

Lu.

07

Nov.

2016

Joseph Arthur Solo Point Ephémère - Paris (75)

Je.

03

Nov.

2016

Joseph Arthur - Reuben Hollebon (us) Botanique - Bruxelles (B)

Ma.

27

Mai

2014

Joseph Arthur Le Trabendo - Paris (75)

Lu.

26

Mai

2014

Les Nuits Du Botanique en concert
Joseph Arthur + Joy Les Nuits Du Botanique | Joy | Joseph Arthur
L'Orangerie - Bruxelles

Di.

20

Oct.

2013

Sa.

19

Oct.

2013

Sa.

19

Oct.

2013

Ve.

18

Oct.

2013

Alba Lua + Joseph Arthur Joseph Arthur | Alba Lua
Rockstore - Montpellier (34)

Joseph Arthur : les dernières chroniques concerts 35 avis

R.E.M. + Joseph Arthur

Critique écrite le 03 janvier 2021, par Samuel C

Pavilhão Atlântico - Lisbonne 7 janvier 2005

R.E.M. + Joseph Arthur en concert

17 000 personnes avaient assisté à la prestation de R.E.M. au Pavilhão Atlântico, en 1999. Environ 12 000 spectateurs s'étaient déplacés, le 7 janvier dernier dans ce même lieu, à l'occasion de la première date européenne de la tournée 2005 du trio d'Athens. Comment expliquer cette désaffection ? Le public de R.E.M. a mûri : les aléas de la vie font que la musique a été reléguée au second plan des préoccupations de beaucoup de fans du combo nord-américain. Par ailleurs, R.E.M. n'a pas sorti d'album majeur depuis Up, et n'en publiera vraisemblablement plus. Toutefois, l'annonce de cette virée, au coeur du Premier Monde, augurait de très bonnes vibrations, tant Michael Stipe est réputé pour être un excellent performeur. Ce dernier introduira, himself, Joseph Arthur au public Lisboète. Un Michael inquiétant, au premier abord, avec barbe hirsute et casquette de grand-père : le sieur qui comptabilise 45 ans au compteur, en paraissait subitement 10 de plus : l'effet Vote for change ? Joseph Arthur, ex-futur prince du folk inspiré - qui ressemble de plus en plus à Liam Gallagher versant tête à claques - ne marquera pas son époque. Même s'il chante dans 15 ans ses acceptables ritournelles, on ne saura toujours pas qui il est. Manque de... Lire la suite

Concert hommage à David Bowie (avec Michael Stipe de R.E.M, Karen Elson, TV On The Radio, The Flaming Lips, Debbie Harry, Robyn Hitchcock, Pixies, Tony Visconti, Amanda Palmer, Anna Calvi, Kronos Quartet, Joseph Arthur etc)

Critique écrite le 10 avril 2016, par Demi Playmobil

Carnegie Hall, New York 1er avril 2016

Concert hommage à David Bowie (avec Michael Stipe de R.E.M, Karen Elson, TV On The Radio, The Flaming Lips, Debbie Harry, Robyn Hitchcock, Pixies, Tony Visconti, Amanda Palmer, Anna Calvi, Kronos Quartet, Joseph Arthur etc)  en concert

Soirée hommage à David Bowie au Radio City Hall, à New York, hier soir... Le groupe de Mc Caslin qui joue sur le dernier album de du Thin White Duke Blackstar a composé une superbe version instrumentale de Lazarus. Kyp Malone de TV On The Radio a joué une version incroyablement belle de Moonage Daydream. Le grand moment de la soirée, c'était la magnifique version de Ashes to ashes par Michael stipe (dans la lignée de sa reprise de The man who sold the world) en compagnie de Karen Elson... Amanda Palmer, Anna Calvi et le Kronos Quartet ont repris Black star, mission impossible et pourtant superbement réussie. Très belle version de Life on mars par les Flaming Lips, avec un Wayne Coyne à dos de chewbacca pendant tout le morceau. Les Pixies ont repris Bowie reprenant les Pixies : le titre Cactus... Bowie avait en effet repris ce génial morceau du combo de Black Francis sur un de ses propres disques ! Joseph Arthur a fait une version solo foutraque de The man who sold the world tout en brandissant un drapeau... Lire la suite

Joseph Arthur / The New Professionals

Critique écrite le 30 mai 2014, par Jacques 2 Chabannes

Le Trabendo - Paris 27 mai 2014

Joseph Arthur / The New Professionals en concert

Dans la Gueule du LOU ! Seule certitude, au moment de pénétrer dans le cadre bucolique, légèrement venté et frais du Trabendo : le show à venir sera beau et passionné (comme à chaque fois à Paris, depuis la lointaine 1996 !) ; les musiciens au diapason du talent affiché par le natif d'Akron/Ohio (Mike Mills/REM & Bill Dobrow/Black Crowes) ; les surprises et réelles improvisations, bien présentes (des morceaux rares ? Du live painting ? Des morceaux extraits du tout nouveau, tout "beau", LOU ? Chronique à lire, ici.). Comme à chacun de ses passages, céans, l'attente est grande mais la déception se pointe rarement au parloir après-coup. Jamais, jusqu'ici, en fait. Preuve s'il en est, que la soirée sera "belle", il s'avance d'un pas décidé vers la toile (encore) vierge posée dans le coin de scène qui lui est destiné et commence à ébaucher les contours de l'œuvre en devenir ; ceci étant fait (plutôt bien) il s'empare de sa nouvelle Godin, d'un chevalet encombré de la prose de Lou Reed, puis tente de s'approprier les fragrances enchanteresses de Dirty boulevard (New York) et Pale Blue Eyes (avec l'apparition furtive et réussie de l'accompli Mike Mills/basse, aux chœurs). Une double salve extraite de son album "hommage"... Lire la suite

Joseph Arthur + Rene Lopez

Critique écrite le 28 octobre 2013, par Jacques 2 Chabannes

Le Poste à Galène - Marseille 19 octobre 2013

Joseph Arthur + Rene Lopez en concert

Mise en Bouche / The Boom Boom King... Avant de laisser le Boogie Christ s'affairer à évangéliser d'envie le pékin, un duo atypique - formé de Rene Lopez (guitare + voix + percussions) et Bill Dobrow (Rebolo + percussions + voix) - s'empare résolument de la scène : aidé d'une double paire de mains et amples sourires. Une entrée en matière qui surprend quelque peu, puisque le duo sera reconduit en ce même lieu, quelques 45 minutes plus tard, pour y faire office de "backing band" du Joe, cette fois. Porté par la sortie récente du très intéressant Let's Be Strangers Again, Rene Lopez fait montre ici d'un sacré tempérament, presque uniquement axé sur le plaisir des sens et le partage. Un savoir faire qui ne serait rien sans la qualité intrinsèque des chansons jouées : Midnight Love, Wednesday, Don't You Change Your Heart, ou Let's Be Strangers Again. Tandis que l'ami Bill assure le "beat" - visage barré en permanence d'un sourire mutin - son pote New Yorkais (natif du Bronx) peut se laisser aller à chanter, scander, susurrer ou crooner, selon son bon vouloir (équipé d'une paire de doigts agiles et de cordes vocales de concours). Un habile mélange de "Pop Soul" matinée de rythmiques latino ; une Electro Latin Soul (titre de l'un... Lire la suite

Joseph Arthur : les chroniques d'albums

Joseph Arthur : Lou

Chronique écrite le 25/05/2014, par Jacques 2 Chabannes

Joseph Arthur : Lou

New York City, I Love Lou ! Se fendre ainsi d'un disque entier de reprises d'un même artiste, d'un groupe, ou de l'intégralité d'un album très précis, relève souvent de l'entreprise périlleuse, d'un manque de créativité momentané ou du domaine de l'inconscience pure, c'est varié, c'est selon. Les exemples abondent néanmoins, mais les réussites sont bel et bien rares. La plupart du temps - tandis que les "cadors" ou vedettes se lancent de convenu sur les traces profondes du père Zimmermann fondateur : facile, soit, mais jamais véritablement aisé ou totalement convaincant, au bout du bout ! - et quels que soient les artistes abordés, le résultat relève purement et simplement de la "performance versus indifférence", du ratage total ou de l'ennui en barre. Si d'aucuns, comme Henk Hoffstedde (The Nits/Avalanche Quartet) avec Léonard Cohen, Camper Van Beethoven avec le Tusk de Fleetwood Mac, ou The Seeger's Sessions (Bruce Springsteen reprenant le patrimoine de Pete Seeger) ont parfaitement su retranscrire l'univers originel, voire même, le transcender, ils ne furent pas légion à rendre une copie excitante ou ne serait-ce qu'au "niveau" de l'effort initial. Nope. Ici, pourtant, concernant ce récent Lou, la mayonnaise ne se révèle point... Lire la suite

Joseph Arthur : The Graduation Ceremony

Chronique écrite le 28/07/2011, par Jacques 2 Chabannes

Joseph Arthur : The Graduation Ceremony

("Chaud effroi, à la fois...") Le problème, lorsque l'on s'attaque à ce type d'album capable à lui seul de faire en sorte que tout s'efface tout autour durant un certain laps de temps, plus ou plus... Long ! Musicalement parlant (à définir selon la profondeur d'addiction de chacun, dans le plus pur style : "posologie appliquée et long sevrage de fond en perspective"...) c'est qu'il aura simplement suffi d'un revers de saphir posé, puis creusé sous bras, pour que tout se teinte de différent en suivant. Généralement, l'on aurait plutôt tendance à aborder cet épastrouillant The Graduation Ceremony, de deux façons radicalement différentes : de peur de ne pas arriver à retranscrire pleinement les multiples émotions qu'il suscite, façonne, écorche ou déterre. La première approche consisterait plutôt à faire court, à user de formules et superlatifs par poignées, histoire d'accrocher puis ferrer l'attention du promeneur du "Net" au plus vite, en moins de temps qu'il ne lui en faudra pour télécharger l'album en suivant sur le très officiel www.josepharthur.com - en lieu et place d'autres achats plus dispensables : un ennuyeux remix de plus, labellisé "Lady "Point" G", le énième et pathétique retour variétoche de Johnny l'Opticien, ou LE... Lire la suite

Joseph Arthur : Nuclear Daydream (Fargo)

Chronique écrite le 18/10/2009, par Jacques 2 Chabannes

Joseph Arthur : Nuclear Daydream (Fargo)

" Nuclear Daydream " (Revisited...) Le problème, avec ce " Rêve Éveillé du Nucléaire " - ou ce " Rêve Nucléaire Éveillé ", ou ce " Nucléaire Éveillé du Rêve " - ou, je ne sais trop quoi encore, j'suis vraiment un trouduc de la traduc'! - c'est qu'il aura été celui de LA bascule fatale, en son 2006, temps. Celui du lancement d'un tout nouveau label " maison " (Lonely Astronauts Records) mais également celui de l'abandon de la formule " j'suis tout seul sur scène avec mes boucles, mes samples, mes bruits de bouche, mes états d'âme et addictions de toutes sortes, et je m'y évade à l'envi en emportant tout, tout, tout, sur mon passage, VOUS y compris ! ", pour s'immerger sous peu profondément au doux sein réconfortant et nombreux du groupe communément appelé The Lonely Astronauts. Ayant alors appris que celui-ci allait enchaîner sans tarder avec une tournée " groupe de rock ", sous obédience " basse, batterie, claviers, guitares ET chœurs de FILLES ! ! ! ", le fan de base a soudainement et brusquement rué dans les brancards ! Se surprenant même parfois à fustiger, à décrier le contenu du disque en lui-même, pour le bouder de dédain, à la fois, de la lèvre, et du pavillon (alors même qu'il collectionnait fébrilement les rares... Lire la suite

Joseph Arthur : Our Shadows Will Remain

Chronique écrite le 15/01/2005, par Pierre Andrieu

Joseph Arthur : Our Shadows Will Remain

Deux ans après Redemption's son, Joseph Arthur revient toujours aussi torturé, si l'on en croit la pochette de Our shadows will remain (pas très gaie, malgré un timide coin de ciel bleu), le livret (des dessins terrifiants signés par ses soins) et les textes (traversé par les fantômes inquiétants de sa jeunesse, de sa vie sentimentale et même celui de Ian Curtis de Joy Division - le titre Leave us alone portait initialement son nom). Sans doute à cause de son côté sombre - doublé d'une attitude peu consensuelle sur scène -, et malgré des concerts excellents, et des disques qui le sont tout autant, Joseph Arthur n'est pas une gros vendeur. Aussi le songwriter new-yorkais a-t-il voulu donner des atours un peu plus accrocheurs à certaines de ses chansons (Can't exist, Even tho, Devil's broom), pour séduire les radios... Les premières écoutes de ce nouvel album se révéleront donc un peu décevantes, la production étant parfois un peu trop clinquante à notre goût. Joseph Arthur n'est en effet jamais aussi bon que quand il est seul avec sa voix (toujours aussi magique), sa guitare auto samplée et son harmonica. On... Lire la suite