Accueil Depeche Mode en concert
Mardi 6 juin 2023 : 11352 concerts, 25885 chroniques de concert, 5284 critiques d'album.


Groupe phare des années 80, Depeche Mode est plus que jamais vivant au 21ème siècle ; l'électro pop sacrément rock de la bande à Dave Gahan est toujours un must scénique dont on ne se lasse pas... Le groupe a annoncé en conférence de presse en direct de Milan un nouvel album et une tournée mondiale en 2017, le Global Spirit Tour ! Depeche Mode est en concert au Stade de France à Saint-Denis (Paris) le 1er juillet 2017 pour jouer tous ses tubes (Personal Jesus, Enjoy the silence, World in my eyes, Question of lust, Where's the revolution, Never Let Me Down Again, I Feel You... ) ! Après son Stade de France 2017 complet, Depeche Mode a poursuivi le Global Spirit Tour et était en concert les 3 et 5 décembre 2017 à l'AccorHotels Arena à Paris, le 24 janvier 2018 à la Bordeaux Metropole Arena et en tournée des festivals d'été (Main Square Festival, Beauregard, Musilac, Vieilles Charrues, Lollapalooza). Depeche Mode sera en concert à Bordeaux, Lille, Paris et Lyon en juin et juillet 2023 pour promouvoir son 15ème album studio, "Memento Mori", qui sortira au printemps 2023.

Depeche Mode : vos chroniques d'albums
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Depeche Mode en concert à Bordeaux, Lille, Paris et Lyon en 2023 [Le 11/10/2022] Dans le cadre de la sortie au printemps 2023 de son 15ème album, "Memento Mori", Depeche Mode (emmené par Dave Gahan et Martin Gore) sera en concert à Lyon (Groupama Stadium) le 31 mai 2023, à Lille (stade Pierre Mauroy) le 22 juin, à Paris (Stade de France)... La suite

Depeche Mode : les dernières chroniques concerts 41 avis

Depeche Mode, Kasabian, BRMC, Fidlar, Kaleo... (Festival Lollapalooza Paris 2018)

Critique écrite le 29 juillet 2018, par Samuel C

Hippodrome de Longchamp - Paris 21 juillet 2018

Depeche Mode, Kasabian, BRMC, Fidlar, Kaleo... (Festival Lollapalooza Paris 2018) en concert

Le festival Samedi 21 juillet débutait la seconde édition de la version française du Lollapalooza. Cet événement est porté par le tourneur Live Nation et accueille des artistes majoritairement "maison" comme les très attendus Depeche Mode en fin de tournée mondiale et d'autres qui débutent la leur : Nothing but Thieves par exemple. Le cadre Lollapalooza posait de nouveau ses scènes ainsi que sa Tour Eiffel logotée et illuminée sur le site de l'hippodrome de Longchamp. L'accès au festival est simple, rapide et conforme aux normes de sécurité actuelles. Alors que la chaleur règne, des zones d'ombre sont les bienvenues et des points d'eau ont été prévus (quelques stickers "eau non potable" sèment le doute, tandis que la bouteille d'eau de 50 cl est vendue 3€, comme dans d'autres festivals certes mais est-ce une raison de les imiter ?). La particularité actuelle de ce rassemblement -qui était très alternatif à l'origine- réside dans la variété des genres musicaux programmée et la qualité des animations et partenariats. Le Kidzapalooza destiné aux enfants est une réussite dans son genre, de plus en plus de mineurs accompagnent en effet leurs parents dans ce type de rassemblement festif, sonore et souvent intelligent. Il y... Lire la suite

Depeche Mode, Black Rebel Motorcycle Club, Kasabian, Portugal. the Man (Festival Lollapalooza Paris 2018 - Jour 1)

Critique écrite le 23 juillet 2018, par Coline Magaud

Hippodrome de Longchamp, Paris 21 Juillet 2018

Depeche Mode, Black Rebel Motorcycle Club, Kasabian, Portugal. the Man (Festival Lollapalooza Paris 2018 - Jour 1) en concert

La deuxième édition de la version française du grand festival américain lollapalooza se déroulait le week-end des 21 et 22 juillet à l'Hippodrome de Longchamp à Paris. Une chose est sûre, les organisateurs n'ont pas lésiné sur les moyens pour accueillir la foule (venue moins nombreuse que prévu, au vu des différents dispositifs mis en place) et le site, sans être extraordinaire, est agréable pour les festivaliers qui ne se marchent pas dessus. Les déplacements de foule sont fluides et les files d'attentes pour se ravitailler en boisson / nourriture / aller aux toilettes sont loin d'être interminables (coucou We Love Green, pardon, c'était trop tentant !). La foule majoritairement composée de Britanniques en grande forme (soleil + boisson = combo gagnant pour nos amis d'outre-Manche) est bon enfant et même si certains hipsters ersatz de Californiens (me) donnent quelques envie de violence, c'est finalement satisfait qu'on fait le bilan de cette édition 2018 du Lolla-Paris. Black Rebel Motorcycle Club Arrivée au cours du set du BRMC, c'est un soulagement de voir que ces derniers savent aller à l'essentiel en festival. En effet, les derniers albums studio du trio sont plus que dispensables et on peine à les imaginer mettre... Lire la suite

Depeche Mode, Django Django, Crimer, Charlotte Cardin, Altin gün, Declan Mc kenna, Vendredi sur mer, Kaleo, Bicep (Paléo Festival 2018)

Critique écrite le 14 septembre 2018, par Lionel Degiovanni

Nyon 17 Juillet 2018

Depeche Mode, Django Django, Crimer, Charlotte Cardin, Altin gün, Declan Mc kenna, Vendredi sur mer, Kaleo, Bicep (Paléo Festival 2018) en concert

Retour en Suisse pour cette édition 2018 du Paléo Festival ! Encore une fois, je constate que la machine est très bien huilée et que la programmation est toujours aussi intéressante ! 43ème année quand même quand on y repense, ce n'est pas rien ! Après avoir repris mes petites habitudes, et surtout revoir les quelques habitués, c'est parti pour se refaire une semaine de dingue, et surtout intense en concert et rare en sommeil ! Crimer Pour démarrer en ce mardi 17 Juillet, je découvre le premier artiste lors du showcase organisé au Cosmo en début d'après-midi. Ici, je découvre Crimer. De son vrai nom Alexander Frei. Au sein du service de presse, ils indiquent que c'est de la new wave helvétique à paillettes. Alors pour interpréter cela, il faut s'accrocher ! Il faut bien reconnaître que lors de la première écoute, je pense que cela ressemble fortement à du Depeche Mode. Lors de son live, je constate effectivement que les synthés style années 80 sont très présents. Ce sont des sons pour moi plutôt froids, propre à cette période. Sa voix fait penser bien sûr à celle du chanteur de Depeche Mode, on ne peut le nier. A noter qu'En 2018, Crimer a remporté le Swiss Music Award du meilleur talent et cela lui a permis de se faire... Lire la suite

Depeche Mode (Global Spirit Tour 2017)

Critique écrite le 04 décembre 2017, par lol

Paris, AccorHotels Arena (Bercy) 3 decembre 2017

Depeche Mode (Global Spirit Tour 2017) en concert

Dans bon nombre de médias, on présente toujours Depeche Mode comme un groupe de New Wave. Fort de 35 ans de carrière et d'un succès mondial constant, cela fait des années, voire des décennies, que la musique du groupe anglais a largement dépassé le cadre étroit de ritournelles comme "I just can't get enough" pour muter en un rock sombre et inventif à travers une multitude d'hymnes et d'albums intemporels d'une toute autre ampleur. Les rivaux de l'époque (Dead or alive, Alphaville, Francky goes to Hollywood, Adam and the ants, OMD... ), qui n'ont pas su se renouveler et s'émanciper du strass et des paillettes des années 80, de l'ornière du son des synthétiseurs Bontempi et des premières boites à rythmes, n'existent plus ou sont condamnés à chanter en play back leurs hits dans le cadre de tournées nostalgiques. Comme le font Partenaires Particuliers ou Début de Soirée en France à l'occasion des concerts Stars 80. En 2017, limiter Depeche Mode à la New Wave est donc une hérésie alors que le groupe de Basildon revient, comme à chacune de ses tournées depuis 1986, arpenter les planches du POPB de Bercy (aujourd'hui AccorHotels arena) pour deux dates sold out depuis de longues semaines. C'est donc presque comme s'il jouait à... Lire la suite

Depeche Mode : les chroniques d'albums

Depeche Mode : Depeche Mode, Monument(al)

Chronique écrite le 15/09/2021, par Lb Photographie

Depeche Mode : Depeche Mode, Monument(al)

Pour les fans de Depeche Mode c'est Noël avant l'heure ! Les deux beaux livres qui viennent de sortir combleront tous leurs désirs, du plus classique au plus fou. Celui de Taschen par Anton Corbijn est une référence qui retrace en photos et illustrations leur riche carrière, le réalisateur étant à la baguette de l'univers visuel du groupe depuis de nombreuses années. Mais Monument, Edition Redux publié aux Éditions du Crépuscule (une nouvelle collection chez Camion Blanc) propose une autre approche. Écrit par Dennis Burmeister, un admirateur allemand de la première heure, avec l'appui du journaliste Sascha Lange, c'est un rêve de fan. Une bible dont le titre n'est pas usurpé. Toute la discographie des lads de Basildon y est passée au crible minutieux de celui qui semble posséder tout ce que le groupe a produit. Vous n'avez pas l'affiche du premier concert, la première cassette démo du groupe ou cette photo dédicacée avec Vince Clarke tirée à 500 exemplaires et diffusée par le fan club anglais ? Lui si, et vous pourrez en admirer la reprographie dans l'ouvrage. Amis collectionneurs, votre bonheur est ici. Il n'existe pas à ma connaissance d'ouvrage aussi exhaustif et qualitatif pour un autre groupe. Bien sûr, de nombreuses communautés de... Lire la suite

Depeche Mode : Sounds Of The Universe

Chronique écrite le 03/04/2009, par Pierre Andrieu

Depeche Mode : Sounds Of The Universe

Nouvel album aussi efficace que marquant pour les superstars de l'électro pop gothique du groupe Depeche Mode, qui réussissent à se réinventer joliment en s'auto influençant avec à propos... Un joli tour de force réalisé grâce aux compositions inspirées signées par Martin L. Gore et Dave Gahan, aux sonorités de synthés vintage dénichées par Andrew Fletcher et au travail de production fourni par Ben Hillier. Annoncé par l'excellent et très anxiogène single Wrong, le succès artistique de l'album Sounds Of The Universe tient au fait que le trio anglais ne cherche nullement à modifier une formule qui gagne ; c'est en effet en puisant dans sa discographie pléthorique - c'est quand même le douzième album des Anglais ! - des sons, des ambiances et des idées de production, que Depeche Mode arrive à écrire de nouvelles chansons qui pourraient majoritairement constituer un best of 100% inédit... A part un ou deux titres un peu faiblards et/ou anecdotiques (le très très kitsch interlude Spacewalker, le trop mielleux slow Jezebel, chanté poussivement par Mr Gore), le remarquable travail du songwriter/guitariste en chef Martin L. Gore (sa coupe de cheveux est elle aussi remarquable, dans le style "caniche" ridicule mais... c'est son choix et on le... Lire la suite

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