Un trio à géométrie variable qui délivre une musique entre punk barré, rock bizarroïde et fanfare à coup de hurlements hystériques, basse explosive, violoncelle dissonant et batterie épileptique. Kabu Ki Buddah passe sans complexe de sa "comédie musicale" à un Punk Noisy à la rythmique poignante et acérée qui prend aux tripes. Bref les 3 compères s'en donnent à coeur joie dans leur non conformité et leur liberté totale d'action. Totalement jouissif sur scène et sur disque !
Kabu Ki BuddAH en concert
Kabu Ki BuddAH : l'historique des concerts
Je.
17
Mars
2011
Le Sonic - Lyon (69)
Di.
09
Janv.
2011
Je.
09
Déc.
2010
Grrrnd Gerland - Lyon (69)
Je.
28
Oct.
2010
Me.
27
Oct.
2010
L'Embobineuse - Marseille (13)
Je.
11
Juin
2009
Chapit'Auc - Tours (37)
Je.
04
Juin
2009
Coopérative de Mai - Clermont Ferrand (63)
Sa.
20
Déc.
2008
Kabu Ki BuddAH : les dernières chroniques concerts 5 avis
Double Nelson + Kabu Ki BuddAH + Ed Mudshi
Critique écrite le 31 octobre 2010, par Mystic Punk Pinguin
L'Embobineuse - Marseille 27 octobre 2010
Super plateau ce mercredi soir à l'Embob', une fois de plus serait-on tenté de dire. La salle a définitivement prouvé le rôle incontournable qu'elle tient dans le milieu musical marseillais, avec sa programmation de qualité qui met à l'honneur les musiques underground, barrés, avant-gardiste, etc... La soirée débute avec Ed Mudshi, duo apprécié dans ses colonnes et dont la moitié, Ben, revient d'une tournée aux US. Toujours aussi bon sur scène, je vous encourage à lire les élogieuses chroniques de concerts publiées sur le site, pas la peine que je répète la même chose, venez tester par vous-même. Cela faisait un bon moment que je n'avais pas vu Double Nelson sur scène, malgré leurs récents passage dans le coin. Avant leur set, on a droit à un court-métrages qui se moquent de tous les clichés de la SF des 70/80's (Comsos 99 & co) et où les membres du groupes jouent les premiers rôles. Ensuite le duo attaque son set après avoir tapissé la scène de murs en alu. Le visuel souligne le côté barré de leur zique, le gars jouant torse poil, avec ses éternels favoris et son casque/micro/émetteur d'ondes télépathiques scotché sur le crâne. J'avais lu je sais plus où le terme de groove mutant pour les définir et finalement c'est une des... Lire la suite
Kabu Ki Buddah + Peuple de l'Herbe
Les Kabu Ki Buddah sont des malades. Je les ai découvert sur scène il y a deux ans au Balthazar. Depuis, l'écoute de leurs albums m'avait mis en transe et j'attendais de les revoir avec impatience. Quand en plus on sait que ces lyonnais sont sur le même label, Rock'n'roll Masturbation (putain ce nom !!) que les excelentissime Bananas at the Audience et Miss Goulash, on ne peut que foncer à ce concert. Et en plus, les dédicaces à leurs potes marseillais prouvent qu'ils ont bon goût : Machine à Coudre, Binaire, 25.... Mais c'est quoi au fait Kabu Ki Buddah ? Un trio à géométrie variable qui délivre une musique entre punk barré, rock bizarroïde et fanfare, à coup de hurlements hystériques, basse explosive, violoncelle dissonant et batterie épileptique. Ouaouaou ! Et sur scène, ça donne quoi ? Une tuerie tout simplement mon bon môssieur ! Dommage que le public, assez jeune, qui a rempli le Moulin jusqu'à la gueule ne soit pas curieux. Venu pour danser sur le Peuple de l'Herbe, pas pour se prendre le délire kabukiboudhesque dans la gueule. Et là, je me permets une pause sémantique. Délire c'est pas le mot fourre-tout msnesque, non délire c'est un état de folie, folie pas comme "ambiance de" du même lexique smilesque mais dérangement... Lire la suite
Maniacx + 13 en place + Assoumani + Mell + De La Colline + Les Rats sCassent + Kabu ki Buddah
Critique écrite le 03 août 2004, par Gomdma
Festival des Collines, St Julien le Montagnier 30 juillet 2004
Il est 8h du mat, à tout casser, et déjà la tente se transforme en sauna, et c'est dégoulinant que j'en sort pour accepter une bière bien fraîche des voisins qui eux ne se sont pas encore couchés. La journée sera rude... Départ d'expédition à la recherche d'un point d'eau et d'un peut d'ombre vers le lac d'Esparon, après mettre trompé de chemin, je croise des vttistes qui hallucinent de voir ma Clio perdu dans la colline, et après un début de communication sur l'endroit ou pourrait être le lac, ils nous rembarrent en nous disant qu'ils ne parlent pas français (c'étaient des allemands) et que de toutes les façons ma Clio ne pourrait pas descendre jusqu'en bas vue l'état du chemin... J'aurais du les écouter, me disais-je sur le parking du festival, entrain de mettre des canettes de bières sous le carter de ma voiture pour récupérer l'huile qui en sortait (faut pas polluer !!!), quelque minute plus tard c'est la dépanneuse qui emmenait mon fidèle destrier blessé profondément... Eh Merde !!!! Il est 14h, je n'est pas eu l'impression de dormir ce soir, mais la sieste n'est pas réalisable, c'est un 38° qu'affiche le thermomètre, et je suis sur qu'il ment...Je n'est jamais eu autant l'impression de toutes ma vie d'être un morceau de viande que... Lire la suite
Kabu Ki Buddah
Critique écrite le 27 octobre 2003, par Mystic Punk Pinguin
Le Balthazar , Marseille 23 Octobre 2003
Jouissif, y a pas d'autre mot ! Un trio à géométrie variable (soit batterie/basse/violoncelle, soit batterie/basse/trombonne, soit batterie/basse/clavier) qui nous balance un set que l'on pourrait apparenté ) du ska-punk. Mais c'est un peu plus compliqué. Au chant, ce sont... Lire la suite
Kabu Ki BuddAH : les chroniques d'albums
Kabu Ki Buddah : Life Is A Picnic
Chronique écrite le 18/03/2009, par Zeu Western Manooch
Après avoir vu la vie comme un film, constaté qu'elle n'était qu'une putain, le groupe lyonnais Kabu Ki Buddah (bah,oui KK Bouda, et alors ?) revient mettre le couvert sur la table mélodique de l'existence, mais ce coup-ci, à ciel ouvert et par terre. Trio allumé, combo sans queue ni tête ou l'inverse, ou tout ça mélangé, on s'en fout, ces gones-là aussi d'ailleurs. Autant que du conformisme, qui apparemment n'a aucune prise sur eux. Ou disons plutôt qu'ils semblent en avoir trouvé une utilité. Le malaxer, le retourner, lui brailler dessus aussi. Humour décalé jusqu'à la plus absurde potacherie, ressac... Lire la suite
Kabu Ki Buddah : Life Is A Picnic
Chronique écrite le 09/12/2008, par Mystic Punk Pinguin
Raaah lovely !!! Voilà ce que m'inspire ce nouveau skeud des jouissif Kabu Ki Buddah. Mais comme je sens que les confrères vont me traiter de gros branleur si je m'arrête là et que je ne peux guère utiliser les canons de la profession comme neurasthénique, en état de grâce voire mancunien pour parler de leur musique, va falloir se creuser le teston. Digressions dites-vous ? Mais je suis pile-poil dans le sujet vu que le son des lyonnais peut passer sans soucis d'un punk barré à des beats disco via des hurlements hystériques et un violoncelle oppressant... Sur cet opus, ils se font moins festif, les mélodies on la part belle à l'image de la perle Sometimes avec cette intro où le violoncelle se fait entêtant avant de virevolter et laisser la place à l'envoûtante voix féminine , plus... Lire la suite
Kabu Ki Buddah : Life Is A Bitch
Chronique écrite le 27/10/2005, par Pierre Andrieu
Le deuxième album du trio lyonnais Kabu Ki Buddah - Life is a bitch, beach est raturé - commence par des extraits de commentaires télévisés sur un joueur de foot dénommé Kaka. C'est assez drôle et très révélateur du caractère facétieux du "no guitar hero trio since 99", qui sait manier l'humour avec talent sur la pochette, dans les textes et lors de petits interludes. Les trois joyeux (mais énervés) membres de Kabu Ki Buddah font paraître leur musique par l'intermédiaire du label indépendant Rock ‘n' roll Masturbation Records, un gage de qualité pour ceux qui préfèrent éviter la branlette musicale. Un genre que n'affectionnent pas particulièrement Seb (basse, voix), Hasmig (violoncelle, batterie, voix) et Pierro (trombone, batterie, voix), ils... Lire la suite
Kabu Ki Buddah : Life Is A Bitch ...
Chronique écrite le 20/10/2005, par Pirlouiiiit
Après le très bon mais trop court Life is a movie ..., les Kabu Ki Buddha* nous gâte avec un Life is a bitch ... de 17 morceaux tous plus delirants les uns que les autres. Bon ok cela ne dure que 44 minutes mais au moins on n'a jamais le temps de se lasser. On retrouve tout de suite ce son si particulier fruit du mariage parfait entre violoncelle, basse, batterie, trombone et folie rock ! Avec un sens de l'humour certain qui risque de surprendre l'auditeur curieux qui se penchera un peu sur les paroles chantée ou vociférée (de préférence) par l'un ou l'autre des membres de ce "no guitar hero trio". La première fois que j'ai... Lire la suite