Le groupe Still Corners fait de la pop rock psyché, dans la très belle lignée de Beach House... A découvrir en concert en 2011 ! www.facebook.com/pages/Still-Corners
Still Corners en concert
Still Corners : l'historique des concerts
Ma.
17
Sept.
2024
Ve.
22
Avril
2022
Me.
22
Mai
2019
Ma.
21
Mai
2019
Di.
19
Mai
2019
Sa.
18
Mai
2019
Me.
28
Nov.
2018
Sa.
21
Sept.
2013
Les Trinitaires - Metz (57)
Still Corners : les dernières chroniques concerts 2 avis
Midi Festival : Young Marble Giants + Darkstar + Still Corners
En plus d'être défricheuse et audacieuse, l'équipe du Midi Festival a de la suite dans les idées. En Février ils nous avaient proposé le tout premier concert de The XX dans la région et ce soir le groupe culte auxquels on les a souvent comparé. Pour qui a usé jusqu'à la corde leur "Colossal Youth", voir les Young Marble Giants en 2010, c'est un peu Noël avant l'heure. Et rendre hommage à ce groupe influent mais confidentiel en le faisant jouer dans ni plus ni moins qu'un Opéra, c'est d'une classe qu'il est bon de saluer d'entrée. La soirée commence avec les Londoniens de Still Corners, quintette qui m'était quasi inconnu. Belle musique, belles images projetées mais pas d'éclairage, ce qui est bien dommage vu les photos de la chanteuse sur leur site. On se concentrera donc pleinement sur sa voix cristalline et le rock tantôt planant tantôt hypnotique de ses comparses. On pense un peu à Broadcast (pour le son un peu 60's psyché) et Mazzy Star (pour le chant), si certains titres peinent à décoller c'est assez prenant. Le groupe suivant me filait des boutons avant même qu'il ne commence à jouer. L'album "North" de Darkstar a beau avoir eu des critiques dithyrambiques et sortir sur un label que j'apprécie... Lire la suite
Still Corners, Ladylike Lily (Les Femmes s'en Mêlent)
Petit dilemme ce soir en apprenant que le même soir la légende Peter Hook passait des disques après les dispensables Autokratz mais au final on aura pas regretté du tout le déplacement en Arles. Salle qui accueille ce soir le festival itinérent "Les femmes s'en mèlent" à qui on doit quelques uns des concerts les plus troublants vus dans le coin (A Girl Named Eddy en 2005, Jessie Evans en 2010). La première partie Ladylike Lily m'est jusque là inconnue et ne me laissera hélàs pas un souvenir aussi fort. La jeune et jolie Orianne Marsilli n'a pas grand chose à se reprocher, dans un style dépouillé son folk est plutôt agréable à l'oreille mais peur lasser assez rapidement. Seule avec sa guitare et ses pédales sampler, elle charme néanmoins une partie du public avec des chansons douces et mélancoliques, et les présente avec pas mal d'anecdotes. Entre deux minauderies elle avoue à plusieurs reprises être timide et craindre de monter sur scène. Ca peut être touchant au départ mais ça en devient génant et le coté répétitif de ses morceaux (des boucles de voix, clappement de mains ou souffle qu'elle enregistre en direct) finit par provoquer une certaine léthargie. On appréciera en tout cas son effort de se méler... Lire la suite
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