Accueil Nice Cedac de Cimiez - Salle Grappelli - Nice
Mercredi 24 avril 2024 : 6287 concerts, 27084 chroniques de concert, 5411 critiques d'album.

Cedac de Cimiez - Salle Grappelli - Nice

49 avenue de la Marne
06100 Nice

Plus d'info :

Cedac de Cimiez - Salle Grappelli - Nice : l'historique des concerts

Me.

28

Mai

2014

Kellylee Evans

Sa.

24

Mai

2014

Huun Huur Tu

Ve.

23

Mai

2014

Billy Hart Allstar Quartet feat. Mark Turner

Sa.

17

Mai

2014

Trilok Gurtu Quartet + Rishab Prasanna & Davy Sur

Ve.

16

Mai

2014

Jacky Terrasson Trio

Ve.

25

Avril

2014

Dave Liebman & Ellery Eskelin 4tet + Kami 5tet

Ve.

11

Avril

2014

Anthony Joseph & The Spasm Band

Ve.

28

Mars

2014

Juan Carmona & Larry Coryell

Lu.

24

Mars

2014

Robert Glasper Experiment

Sa.

22

Mars

2014

Arthur H & Nicolas Repac + Soulomès

Ma.

11

Mars

2014

Fred Wesley & The New Jb's

Je.

20

Fév.

2014

Musica Nuda + Minella

Cedac de Cimiez - Salle Grappelli : les dernières chroniques concerts 4 avis

Lloyd Cole

Critique écrite le 15 avril 2011, par Cabask

Cedac de Cimiez - Nice 2 avril 2011

Lloyd Cole en concert

Cadeau de Noël offert à ma bien aimée, ce concert de Lloyd Cole était un saut dans l'inconnu, ayant perdu de vue ce grand songwriter anglais depuis une bonne quinzaine d'années. Après avoir passés la fin d'après midi dans le vieux Nice et réservé l'hôtel, nous arrivons donc à l'heure à destination. Il s'agit en fait d'une petite salle associative équipée de sièges comme ceux que l'on peut trouver dans des cinémas. Passée la surprise du cadre très familial, nous prenons place sur le côté de la scène où la vision est plutôt bonne. Lloyd Cole fait son entrée accompagné de ses 2 musiciens, guitaristes de leur état. La configuration du Lloyd Cole Small Ensemble est donc la même que celle qui m'avait tapé dans l'œil lors de leur récent passage télévisé dans l'émission de Manu Katché, à savoir 3 guitares électro-acoustiques. Le son est parfait, nous sommes près de la scène et le caractère intimiste de la représentation fait chaud au cœur. Le concert débute très fort avec mon titre favori, le tubissime No blue skies dans une magnifique version acoustique. Le ton est donné, ce soir c'est tout acoustique, avec des 6 cordes qui se complètent à merveille. Le travail de réorchestration est de tout 1er ordre et les instrumentistes... Lire la suite

Headhunters + TM Stevens

Critique écrite le 13 mars 2007, par Camelito

CEDAC de Cimiez NICE 12 mars 2007

Une bonne claque dans ma tête de (tout petit) bassiste... Alors, pour résumer, les Headhunters se forment en 1973 avec Herbie Hancock dans sa période "funky" et TM Stevens est un monstre sacré de la basse (plutôt, voire carrément funky lui aussi). La rencontre de ces grands noms de la musique laissait présager du meilleur. Pour commencer : arrivée dans la salle, il s'agit en fait d'un genre de théâtre, donc, places assises de rigueur (aïe). Je venais principalement pour TM et connaissant l'énérgie et le groove du monsieur, ça ne m'a pas trop plu. Passé ce petit souci, entrée en matière : Bill Summers, énorme percussionniste, nous explique que l'on va sortir transformé de cette expérience et nous invite à hurler pour se débarasser de nos ondes négatives. Bon esprit omniprésent tout au long de cette soirée, emmenée de mains de maïtres par le percussionniste en question et bien sûr TM Stevens,... Lire la suite

Medeski - Martin & Wood

Critique écrite le 13 octobre 2004, par Goa nissart d'1 soir

Salle S. Grappelli - Cedac de Cimiez, Nice 10 octobre 2004

Il y a un an, environ, j'étais tombé sur un groupe jazzy sur Mezzo, qui m'avait fait arrêter de zapper pour suivre tous le document racontant leur cursus musical. Un truc indescriptible, ceux a quoi ça ressembler le plus pour moi à l'époque était les parties instrumentales des Beasties Boys sur "Ill Communication" repris par un Jimi Hendrix jazzy. Voilà ma rencontre avec Medeski Martin & Wood. Alors quand j'apprends qu'ils font un concert à Nice, ni une ni deux, j'achète ma place et me téléporte pour Nice, dans une petite salle, avec uniquement des places assises (merde !) plus un théâtre qu'une salle de concert, et je piaillent d'impatience en voyant le matos sur scène. Le fly à l'entrée dit que MMW sont au jazz contemporain ce que Jimi Hendrix était à la pop rock. Et puit aussi qu'ils sont maintenant des pointures aux States, merde je suis rentrés dans le star system ? Nan, et puis je m'en fout, depuis la première rencontre... Lire la suite

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