Tous les concerts - Théâtre de l'Oeuvre - Marseille
Rodolphe Burger
Que ce soit avec Kat Onoma, en solo produit par Doctor L, avec Cadiot ou Bashung, Rodolphe...
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Elysian Fields + Matt Low
"What the Thunder Said", treizième album studio d'Elysian Fields, s'inscrit dans la continuité d'une période fertile pour le groupe new-yorkais, après un "Once Beautiful Twice Removed" (2022) salué par la critique.
Pour ce nouveau long format, le duo fondateur d'Elysian Fields formé par Jennifer Charles et Oren Bloedow a fait traverser l'Atlantique aux deux musiciens français qui l'accompagnent sur scène (Matthieu Lopez et Olivier Perez, également connus sous les noms de Matt Low et Garciaphone). Au fil de leurs récentes tournées européennes, une amitié forte s'est nouée entre les membres du groupe qui a peu à peu développé un langage musical et rythmique propre, que Jennifer et Oren sont heureux d'avoir capturé dans ces douze chansons.
Le quatuor a enregistré "What the Thunder Said" à New York avec Ed Pastorini et Thomas Bartlett, collaborateurs de longue date d'Elysian Fields. James Yost a coproduit, enregistré et mixé l'album, donnant vie aux grands espaces sonores d'Oren et Jennifer, sur des textes qui révèlent les expériences de presque 30 ans de vie de groupe.
Dans ce récit clairsemé de visions de la nature et de paysages urbains, le duo new-yorkais pose les grandes questions, démêlant la toile du monde qui nous entoure pour en extraire les évidences et les humeurs qui mènent à ce songwriting dont seul Elysian Fields a le secret.
La voix de Jennifer est tantôt délicate ("This World Is Just A World," "Strawberry Moon"), tantôt hardie et indomptable ("Must Have Meant" "Changeling," "Know Not Whorl"), tantôt céleste ("Before The Crashing Waves", "I Can Give You That"). Que ce soit par le prisme des mythologies ou celui du tragi-comique, mais sans jamais abandonner sa poésie de la quête et du désir, Elysian Fields continue d'habiter le monde et de dépeindre l'expérience humaine dans toute sa profondeur.
Des morceaux tourmentés sobrement écrits autour d'une voix, troublante à se damner, d'une...
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Guitariste et bassiste au sein des Kissinmas, du Delano Orchestra, de Garciaphone, de Niandra...
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Mary Lattimore
La Responsabilité des Rêves (gestionnaire de l'Espace Julien) et les tourneurs Limitrophe Production et Vedettes unissent leurs forces pour donner vie à The Echo, nouveau festival célébrant les musiques curieuses et inventives. A la croisée du rock, de l'électro, de l'expérimental, du post-punk, du classique, le festival se propagera sur Marseille du 31 mai au 2 juin.
[MARY LATTIMORE]
Considérée comme l'une des meilleures conteuses instrumentales d'aujourd'hui, la harpiste et compositrice californienne Mary Lattimore égaye le paysage musical mondial depuis des dizaines d'années maintenant. Nommé en hommage à un un hôtel croate en cours de rénovation, son dernier album ‘Goodbye, Hotel Arkada' (octobre 2023) célèbre et pleure la tragédie et la beauté de l'éphémère, tout ce qui est vécu et perdu dans le temps. L'artiste nous y propose une musique évocatrice et émotionnelle, ponctuée de notes de harpe finement superposées et de progressions harmonieuses qui font de cet album un authentique voyage onirique, suspendu dans le temps.
HTRK
La Responsabilité des Rêves (gestionnaire de l'Espace Julien) et les tourneurs Limitrophe Production et Vedettes unissent leurs forces pour donner vie à The Echo, nouveau festival célébrant les musiques curieuses et inventives. A la croisée du rock, de l'électro, de l'expérimental, du post-punk, du classique, le festival se propagera sur Marseille du 31 mai au 2 juin.
[HTRK]
Formé en 2003 en Australie et basé à Londres depuis 2007, HTRK (Hate Rock) a connu de nombreuses mutations. Celle du trio au duo après le décès tragique d'un de ses membres fondateurs en 2010, et celle de leur formule sonore, évoluant d'une musique électronique flirtant avec l'indus vers la dub-pop, et enfin une dream-pop sombre. ‘Diamant noir de l'indie-pop' (Les Inrocks) HTRK s'aventure depuis quelques albums vers des arrangements pop plus squelettiques entre complaintes mélancoliques et balades downtempo, sans jamais perdre sa profondeur.
Professeur Babacar & Baba Squaaly
C'est dans des studios d'enregistrement jamaïcains, à la charnière des années 60 et 70 qu'est né le dub. Il est considéré
à juste titre comme l'ancêtre des musiques électroniques qui accompagnent notre quotidien depuis deux décennies. Au-delà de la formule forcément un peu provocatrice qui nous sert de titre, nous évoquerons le travail de quelques grands maîtres du genre et les évolutions de ce genre plus que cinquantenaire.
Ouverture des portes : 17h30
Dj Big Buddah est le maître incontesté des métissages : asian-beat, boogaloo-house, raï...
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