Idéalement situé sur le port, intégré dans le grand projet Euroméditerranée, la vocation de ce nouveau lieu est d'accueillir toutes formes de représentations musicales et théâtrales, du classique, de la danse, de la variété, et de l'humour.
Visibilité, confort, acoustique, accueil, tout a été étudié pour offrir aux spectateurs du SILO des moments privilégiés.Les aménagements intérieurs de cet ancien silo à céréales, la signalétique, son mobilier, particulièrement soignés, en font un lieu agréable et moderne.
La salle de spectacle est construite, au niveau supérieur de l'édifice, reliée par des escaliers roulants. On y accède par la salle des mamelles, conservée en l'état, vestige de l'architecture de l'époque. Les façades sont conservées, seule la partie basse est transformée pour en permettre une bonne circulation du public.
L'arrêt "Joliette" du métro 2 ou "Euroméditerranée Gantès" de la ligne T2 du tramway, agrémentés des différents parkings aux alentours permettent un accès aisé à la salle.
Source : Dossier de presse
Plan d'accès
Le Cepac Silo : Dernières news

En concert le 18/01/2023

En concert le 24/09/2022

En concert le 08/11/2022
Le Cepac Silo - Marseille 2e : les prochains concerts
Ve.
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Oct.
2022
Le Cepac Silo : les dernières chroniques concerts 108 avis
Iggy Pop

Ah... Revoir Iggy Pop encore et encore, tant qu'on pourra, tant qu'IL pourra ! Après Les Eurocks 1998 (grande scène envahie à sa demande, un bordel monstre), Le Gaou 2005 (setlist 100 % Stooges - ils étaient encore là !), Rock en Seine 2016 (un super best-of, au top de sa forme)... Il a eu l'amabilité de reprogrammer 2 fois cette date à Marseille depuis 2020 - il tenait donc manifestement à ce qu'on puisse le revoir, merci ! Bon. Faut se rendre à l'évidence, même en tournant à l'eau et avec deux-trois trucs customisés (dents, cheveux), il a quand même fini par faire un peu ses 75 ans, James Osterberg. A notre toute première rencontre c'était clairement un iguane (musculeux), en 2005 j'avais admiré sa minceur affutée et presque féline, il y a 6 ans à Paris c'était encore un lézard... En 2022, c'est un peu devenu un ... gecko - vu de profil, il n'y a plus que le bidon et la tête qui aient vraiment du volume - et on dirait même qu'il a un peu rétréci, d'autant qu'il boitera décidément toujours, le pauvre. A croire qu'il n'y a pas de bons prothésistes en Amérique du Nord... Quoi qu'il en soit, tant qu'il n'essaye pas de grimper sur quelque chose (une expérience manifestement douloureuse, qu'il ne fera qu'une fois ce soir), il a encore... Lire la suite
Eddy de Pretto + Love Lesid & Kiwi Bunny

Voilà quatre mois que j'attendais ce concert, quatre mois d'attente enfin comblés. Arrivée aux alentours de 18h devant la salle du Silo à Marseille avec mon père (qui est également le photographe du concert), nous sommes parmi les premiers devant l'entrée. L'attente m'est insupportable et je n'ai qu'une hâte : voir Eddy. Une demi-heure plus tard les portes s'ouvrent et nous entrons dans le bâtiment. Avant l'ouverture de l'accès à la salle, je dois à nouveau attendre. Je trépigne d'impatience. Mon père étant un habitué de cette salle, il me guide pour atteindre la fosse en premier. Première arrivée, première servie ! Je suis tout devant, collée à la barrière et pile au centre de la scène. Encore une fois il n'y a qu'une seule chose à faire : patienter. Heureusement pour le public de la musique est diffusée pour nous faire attendre. Curieuse comme je suis, j'observe tout ce qui peut se trouver sur scène. Du côté gauche de la scène des tissus jaunes recouvrent probablement des instruments, sur la droite vers le fond une table de mixage est présente et le staff s'active en coulisse. Love Lesid & Kiwi Bunny Vingt heures, les lumières se tamisent, une ombre entre sur scène et se place derrière les platines puis une musique commence.... Lire la suite
The Rabeats

Question : un tribute band qui rejoue, même bien ou très bien, des chansons d'un groupe mort, peut-il vraiment se renouveler ? Et par là-même, est-il pertinent de retourner le voir, même presque 10 ans après, dans la même salle ? Bah, la question ne se pose pas vraiment, quand on partage désormais la vie d'une presque fanatique du groupe (ce qui n'était pas le cas la fois d'avant)... The Rabeats from Amiens, France, (re)joue donc la musique de The Beatles from Liverpool, United Kingdom, depuis maintenant pas mal d'années. A relire ma chronique précédente par contre, ce fut globalement le même spectacle, et pour cause... Avec plusieurs choses vécues de la même façon : un peu de mal à y rentrer, puisque physiquement ils ne leur ressemblent pas plus que la fois d'avant, les coupes de cheveux (perruques ?) et les costumes mis à part, même s'ils parviennent à ne jamais sortir de leurs personnages... Et puis en fait, un plaisir à peine coupable qui revient vite, d'entendre en live, jouées fort et avec un bon son, des chansons qui nous accompagnent, pour certaines depuis l'adolescence (Yesterday, étudiée en cours d'anglais en 6e ou 5e...). D'autant qu'il y a là une belle parenté des instruments, des voix ("John Lennon" est bluffant, tout... Lire la suite
Benjamin Biolay + Jules Jaconelli

Il m'est donné ce soir d'aller au concert de Benjamin Biolay au Silo. Bon, je dois avouer que je ne connais pas du tout ce chanteur et n'écoutant pas spécialement la radio, je ne suis même jamais tombé par hasard sur une de ses chansons. C'est donc une première pour moi. Pour cette occasion, je retrouve mon ami Kris Tian, photographe de cette chronique, sur la terrasse du Silo avec deux bières à la main. Faut dire qu'il sait accueillir mon ami... Nous nous installons à nos places respectives et attendons le début de cette soirée. Le public se pose tranquillement à sa place et c'est à ce moment qu'arrive sur scène un jeune homme avec sa Stratocaster dans les bras. Benjamin Biolay donne sa chance pour sa première partie à Jules Jaconelli, fils de son guitariste Pierre Jaconelli. Pas facile de jouer et chanter face à un public qui n'attend qu'une chose, la tête d'affiche et pourtant ce jeune chanteur à textes ne se démonte pas et enchaine des chansons plutôt bien écrites dans un éclairage minimaliste avec la lumière de la salle allumée. Ses textes et sa musique semblent un peu mélancoliques, ce qui est certainement dû à l'ambiance scénique dénuée de tout artifice, mais le public ne retient pas ses applaudissements à chaque fin de... Lire la suite
Philippe Katerine (featuring Lomepal)

Bonjour. Vendredi 13 décembre 2019 je suis allée au concert de Philippe Katerine et je suis mandatée pour écrire une chronique. Je ne me sens pas d'écrire ça hors l'abyssal contexte me reliant à Philippe sinon à son uvre, excusez donc la digression des quelques vingt années nous séparant dudit concert : Philippe et moi c'est une histoire d'amour avec sa genèse, sa crise des sept ans surmontée, et le quotidien qui s'est installé depuis une vingtaine d'années. Pourtant, loin de moi l'idée d'être amoureuse du gars. Il est tout simplement mon "meilleur ami imaginaire". Partageant mes rêves, mes élans musicaux et ma façon de voir le monde. Une petite interview sur Youtube et je retrouve le smile, comme quand j'appelle un vieux pote. La genèse, ce sont trois albums qui ont changé ma vie. D'abord sur une K7 repiquée, "Mes mauvaises fréquentations", que je conseille à tous les néophytes ou les sceptiques : à écouter entre Nice et Monaco, l'été, vitres ouvertes si pas de décapotable. Mise à part la chanson "Copenhague" que l'on réservera pour l'hiver, au coin du feu, si possible après une rupture. Puis arriva le dyptique "L'homme à trois mains" et "Les créatures". J'avais opté pour les disques compacts cette fois-ci. A écouter dans le... Lire la suite
Max & Igor Cavalera

Les frères Cavalera étaient de passage à Marseille ce mardi 3 décembre dans le cadre de leur tournée "Beneath/Arise", 2 albums cultes de leur ancien groupe Sepultura dont il furent déchus. Suite au succès de la tournée "Return to roots" en 2016 qui fêtait les 20 ans de l'album culte qui a propulsé Sepultura au sommet de sa gloire en 96, Max et Igor ont rebondi sur l'idée de rejouer les albums phares du groupe qu'ils ont créé lorsqu'ils étaient adolescents à Belo Orizonte au Brésil. Petite Histoire rapide ; Max (guitare/chant) et Igor (batterie) montent le groupe Sepultura en 1984, sortent un premier EP en 85, puis les albums "Morbid Vision" en 86 et "Schizophrenia" en 87 où le line up se stabilise avec Paulo JR a la basse et Andreas Kisser à la 2ème guitare. Puis c'est l'ascension vers le succès avec "Beneath the Remain" en 89 et "Arise" en 91. En 93 "Chaos AD" explose les charts et le point culminant est l'album "Roots" en 96. Durant la... Lire la suite