Accueil Marseille - Aix Newletter Live In Marseille 10 Décembre 2018 : Blah Blah
Vendredi 26 avril 2024 : 6284 concerts, 27085 chroniques de concert, 5412 critiques d'album.

Newletter Live In Marseille 10 Décembre 2018

Blah Blah

Saga
Détail de "Blah, blah, blah" du studio Louise Campbell by dalbera (CC BY 2.0)

L'ensemble du cartel des commentateurs inutiles et des éditorialistes pseudo-éclairés, revenus d'entre les limbes du vide intellectuel, remercient en bloc les commerçants poujadistes, les lycéens décérébrés, les néo skinheads barbus, les zadistes r-mistes enfiévrés, les rednecks bas du front qui veulent plus de tout et moins de tout, et la triste misère de cette marée contestataire autoproclamée si mal dégrossie, de leur offrir ces heures d'antenne télé et radio pour y déverser sans la moindre gêne leurs analyses superflues, leurs réflexions inintéressantes, leur érudition inachevée, leurs paravents de fatuité, voire leur insupportable indignation : dans une dimension parallèle, peut-être, quelque part, l'un d'entre eux finira par poser les cinq ou six questions simples qui résument si efficacement le problème (en gros : ...

1/ pourquoi la décision d'exiger un casier judiciaire vierge pour être élu ne parvient pas à être votée

2/ pourquoi la séparation des banques de dépôt et des banques d'affaire ne parvient pas à être votée

3/ pourquoi le système dit des "portes tournantes" (un membre d'une commission européenne intégrant un lobby dès la fin de ses fonctions pour influer sur son ancienne commission, dont il connaît tous les rouages, les faiblesses, et les membres...voire qu'il a dirigée) est considéré parfaitement normal

4/ pourquoi l'Union Européenne élit à sa tête le 1er ministre - lui-même personnellement impliqué dans un scandale de couverture et de facilitation de blanchiment d'argent - d'un Etat ouvertement reconnu comme complice de l'évasion fiscale européenne, et internationale

5/ pourquoi le Parlement Européen, le seul organe composé d'élus, ne peut pas proposer de lois, ce domaine restant exclusivement réservé au Conseil et à la Commission, tous deux composés de membres... non élus... qui rejettent la possibilité d'un Référendum Européen permettant aux citoyens de s'exprimer sur les grandes décisions ), ...

juste avant que l'on ne fasse tous semblant de se motiver à aller élire des députés européens... dans l'idée qu'ils influent sur le dérapage généralisé des traders.

Kouros aka VaccuoPilot

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Cette semaine à Marseille

A Filetta by Pirlouiiiit 17032017
mercredi le Noël Corse fera une exception en ne se produisant pas dans une église mais au Silo .. il faut dire que A Filetta c'est quand même autre chose de I Muvrini !

 
Si j'avais été moins fatigué, cette semaine ...
- Lundi ou mardi je serais allé voir le Noël Gospel soit à l'église des Camoins soit à celle de St Marcel,
- mercredi cela aurait donc été le Silo (cf ci dessus)
- jeudi si je ne les avais pas encore vus je serais surement allé voir The Liminanas qui sont accompagnés des The Make-Overs à l'Espace Julien
- vendredi après l'hommage aux Kinks au Lollipop, si je n'avais pas décidé d'aller voir qui peut écouter un truc comme Therapie Taxi et surtout pourquoi ... je serais allé à la Caravelle pour découvrir le Ahmad Compaoré trio
- samedi je me serais laissé tenter par la big rencontre entre le Big Band du CNRS de Marseille et le Phocean Jazz Orchestra à l'Espace Julien
- dimanche je me serais rendu à l'Embobineuse pour le deuxième soir du festival Vendetta Tatatatata avec notamment Mr. Marcaille (toujours pas vu!)
 
Attention ça c'est ce que moi je serais allé voir (si j'en avais la force) mais il y a plein plein d'autres trucs sur l'agenda de cette semaine comme Pink Martini, Winston MC Anuff, Cats on Trees, Eddy de Pretto, Angèle, Sniper, Yves Jamait, Étienne Jaumet pour ceux qui écoutent la radio voire regardent la télé,
ou comme Ferraj, Morisson à la Porte, Afu-Ra, Brenda Savane, Cachette à Branlette, etc ... pour les plus curieux, donc allez jeter un oeil directement là : https://www.concertandco.com/ville/marseille-aix/billet-concert-3.htm ...
 
L'Embobineuse by Pirlouiiiit 25112017
samedi et dimanche à l'Embobineuse le festival Vendetta Tatatatata ravira tous ceux qui n'ont pas peur de se coucher très tard

 

Interview

Saga

Double interview réalisée en compagnie d'Elliott Murphy et Olivier Durand réalisée par Jacques 2 Chabannes (en octobre dernier, en prévision de la sortie de l'album "en public" enregistré à Bruxelles en la lointaine 2008 : "Elliott Murphy Is Alive!"...)

- Il y a quelques mois de cela, Elliott, tu as manifesté, via un texte posté sur ton site officiel (www.elliottmurphy.com) diverses questions, incompréhensions et interrogations, à propos de notre époque et de ses multiples "évolutions" ou changements ; te demandant même, si après toutes ces années, le monde avait "réellement besoin d'un nouvel album de Elliott Murphy". Entre cette légitime interrogation et ta réponse (ci-après) tu auras publié, rien moins qu'un nouvel album, nommé Prodigal Son, cet actuel album Live, The Second Act Of Elliott Murphy en DVD, des livres de poésie, trois rééditions en vinyle de certains de tes albums issus des années ‘80 et donné de nombreux shows en groupe ou en duo... Qu'est-ce qui aura bien pu entraîner ce manifeste et radical revirement, entre ce "post", un rien désabusé, et aujourd'hui...

EM : Je vis en permanence avec deux Elliott Murphy : il y a, tout d'abord, "celui" qui est plutôt passif, qui se demande en permanence ce qu'il se doit de faire dans l'avenir, s'interrogeant sur ce qu'il a produit dans le passé, et puis... il y a le "second" Elliott Murphy : celui qui continue à écrire des chansons, puis les enregistrer ; à publier des albums "Live"... écrire/raconter des histoires, et même, faire un film (j'en suis actuellement, à la moitié de celui-ci !). Il y a toujours une dose de peur nichée sous la mise en place d'un nouveau projet, et, pour moi, la meilleure façon de la dissiper est de se situer dans l'action. Tu le sais, quand je suis sur la route, je ne peux m'empêcher de penser que je devrais être à la maison, et, quand je suis à la maison, je pense que je devrais être sur la route...
Johnny Cash, a dit un jour, qu'un "songwriter" se devait d'écrire une nouvelle chanson chaque jour ; Ernest Hemingway a dit, lui, qu'un écrivain se devait d'écrire chaque matin. Eh bien... ces deux suggestions me semblent pertinentes.

[...] lire la suite par ici

Le disque de la semaine

Elliott Murphy Is Alive! de Elliott Murphy écouté par Jacques 2 Chabannes

Le Secret (Live) Derrière LA Porte !

Comme souvent, divers sentiments se mêlent, divergent ou s'entrechoquent, lestés d'angles contradictoires, lorsqu'un artiste décide, de SON VIVANT, d'entrouvrir un rien (en grand, bientôt ?) la poussiéreuse porte de ses musicales archives : qu'il s'agisse, en l'état, de bandes "studio" ou "Live". Est-ce toujours pertinent ? Y à-t-il toujours un public disposé à les recevoir, quelques années ou décennies plus loin ? N'est-il pas déjà trop tard, pour s'y livrer ? Sont-elles (encore) dignes d'être tout à coup mises à dispo, exposées en pleine lumière ? Des gens sont-ils prêts à payer ou s'enthousiasmer pour cela ? Pas simple. Pas tranché, Pas... gagné.
Qu'est-ce qui peut donc bien les pousser un beau jour à le faire ? Lorsqu'il ne s'agit pas d'une grosse pression appliquée, "façon couvercle", par un label gourmand, d'un contrat discographique "bancal" à régulariser au plus vite ou d'un trop-plein de bootlegs envahissant le Net et les bacs (rien de tout cela ici, c'est à noter).
Autre problématique majeure : comment regarder d'avec (ou d'entre) les oreilles d'aujourd'hui, un show enregistré en la lointaine 2008 ? - pour certains groupes mythiques, c'est encore plus délicat, lorsque l'on exhume des captations sonores, parfois très anciennes, qui ne correspondent plus du tout aux divers changements de directions opérés depuis, au fil du temps ou des enregistrements, encore moins aux performances "Live" du moment : loin des musiciens originaux ou membres fondateurs.
Sur ce point, très précis, aucun écueil majeur à relever ou pointer ici, puisque le gars Elliott est toujours en activité et la plupart du temps sur scène aux côtés de son (désormais) plus vieux complice, nommé Olivier Durand. De plus, comme il n'aura pas succombé aux chants envoûtants des sirènes et ne se sera pas adonné au fil d'Ariane cousu de paillettes de la mode, pas de grosse surprise à en attendre, ou redouter ; peu ou prou, il se sera "contenté" de suivre son chemin depuis l'aube de son temps (l'améliorant sans cesse, l'enrichissant) : celui qu'il aura lui-même su créer, modeler puis imposer à son fidèle auditoire, album après album, après album, après... album ! - Aucune incartade "disco" connue, de (re)mix Electro s'étalant sur des plombes ou de featuring Hip Hop, chez le natif de Rockville Centre, New York, nope : amoureux de la continuité et de la durée indexée sur fidélité, you're really welcome ! Un mode, "cent fois sur le métier, remettez votre ouvrage..." (Nicolas Boileau/goûteur de mots du XVIIe), qui rassure et convainc au niveau de ses intentions initiales, de sa toujours efficiente et perspicace, actualité.
Au niveau des satisfactions à ne pas bouder de plaisir intense, à l'écoute de ce sémillant "Elliott Murphy Is Alive!", la possibilité pour nous d'entendre de nouveau des morceaux peu joués dernièrement, abandonnés ou oubliés depuis : au fil des ans, des albums parus et des multiples tournées. Aussi, c'est un réel plaisir, que de redécouvrir la finesse d'Ophelia, les gammes hispanisantes et l'énergie débordante de Razzmatazz, l'extrême malice nichée derrière les mots évoquant la "Fille de Frankenstein" (Frankenstein's Daughter), la paire formée de Scandinavian Skies/The Valley Below (envoûtante, apaisée autant qu'éthérée), ou bien l'épastrouillant Canaries In The Mind. Sans oublier pour autant de goûter au mieux au mélodieux et imparable Crepuscule (extrait de Notes From The Underground/1995) qui, dès les premières pincées d'acoustiques inaugurales - précises, justes, inspirées - installe, pose le cadre et prépare d'autant le public/auditeur, à tout ce qui suivra.
À ce niveau, l'architecture sonore "bâtie" par le fils prodigue Gaspard, séduit résolument les esgourdes et les ravi au mieux. Aussi, les notes d'acoustiques occupent au mieux l'espace, sans pour autant prendre le pas sur les vocaux, eux-mêmes omniprésents mais pas trop mis en avant dans le mix (avec un Olivier carrément en forme vocale internationale, ce soir-là !) ; un très bel équilibre, du confort moelleux pour les pavillons, en somme...
Si la performance séduit d'emblée, l'on ne peut gommer un sentiment de logique frustration né du manque, de l'absence - cela concerne tout un chacun, c'est du domaine de l'intime - de certaines chansons "marquantes", pourtant jouées ce soir-là mais manquant néanmoins ici à l'appel : On Elvis Presley's Birthday, A Touch Of Kindness, Sicily, Destiny, Dusty Roses, ou bien encore, la magique Pneumonia Alley ! D'autant qu'il restait encore près de 15 mn de CD espace, avant d'en atteindre ou dépasser le "découvert minutes autorisé".
D'un autre côté, je vais mettre la pédale douce, sur ce sujet, tellement je peste en "interne" depuis l'invention de ce support numérique, contre ces artistes qui s'obstinent à remplir leurs disques "à donf", juste parce qu'ils en ont la possibilité, juste, souvent au détriment de leur but/propos initial ou bien du résultat final ! Ces stakhanovistes de la note, qui nous infligent, à chaque nouvelle sortie, près d'une heure vingt de nouveaux morceaux dont une belle part serait (logiquement) restée en rade à l'époque du vinyle et de ses limitations minutées, ou bien aurait juste servi à "habiller" la face "B" des 45t, à fournir de l'inédit lors de futures compilations caritatives, d'"hommages" ou coffrets rétrospectifs. Lors, n'en déplaise à certains "gommeurs", éradicateurs de mémoire musicale, à une certaine époque, encore toute proche, une grande partie de ces morceaux (remis) en question se serait retrouvée à moisir d'obscur dans des coffres pour l'éternité ou bien aurait tout bonnement fini "au panier" ; là où sa véritable (courte) destinée, in fine, se trouvait...

Que les Fans de toujours ("les anciens et historiques") soient rassurés, ci-après : Diamonds By The Yards (belle version travaillée d'envie) saura les combler ; Sonny est toujours en forme, aérienne et tendue ; Green River déborde une nouvelle fois d'enthousiasme et LA Woman "balance", conquiert et soulève. Une reprise des Doors, pleine de sève et d'envie, durant laquelle le public Belge se lâche réellement et accompagne tout du long les "duettistes boisés" : un moment épique, durant lequel le (momentané) maître des lieux en profite pour détailler et expliciter au mieux, historiquement parlant, le "pourquoi du comment" de ce choix très précis : "certains d'entre vous pourraient se demander pourquoi je chante particulièrement CETTE chanson des Doors, dont je ne suis pas réellement "fan", enfin, pas plus que cela... C'est pour ME rappeler à quel point j'ai de la chance, enfin, je suis chanceux... de pouvoir être encore ici sur scène, avec-vous, ce soir... Vous savez, Jim Morrison est venu s'installer à Paris au cours du mois de mai 1971... Trois mois plus tard, en juillet de la même année, Jim Morrison est découvert mort... Elliott Murphy, lui, débarque à Paris en Juillet 1989, et... encore aujourd'hui, en mai 2008, Elliott Murphy est en vie et se porte bien..." : double jeu de mots bâti autour des mots Alive/A Live : "en vie" ou "en concert", d'où cette intervention/explication et le titre donné à ce CD logiquement recommandé, à ne surtout pas bouder, dédaigner, minimiser ou manquer, c'est désormais... acté !

Pour plus de "détails et infos précises", concernant cette "Live" sortie, il suffira de lire l'Interview, réalisée à cet effet, des deux duettistes en question, à suivre tout bientôt sur ce même site...

Le livre de la semaine

L'Alcazar by Pirlouiiiit 11102014

En guise de livre nous avons jugé bon de vous annoncer la création de l'association des usagers des bibliothèques municipales de Marseille, une association indépendante et citoyenne (dont nous ne faisons que relayer l'info cette semaine) qui se propose d'être porte parole des usagers, pour la défense de ce service publique et de l'intérêt des usagers.

Cette association se donne pour objectif de participer au développement des missions de service public des bibliothèques municipales, notamment pour tout ce qui favorise l'accès de tous les publics à la lecture, aux contenus et aux pratiques culturelles, aux savoirs et à l'information.

Elle veut également promouvoir la mise à niveau du réseau des bibliothèques de Marseille, notoirement sous-équipées par rapport à d'autres capitales régionales telles que Paris, Lyon, Toulouse, Nice, et très en dessous des critères définis par le Ministère de la Culture en matière de nombre de bibliothèques et d'emplois affectés à ce service.

Il n'y avait en 2015 que 7,7 % de Marseillais adhérents aux bibliothèques alors que la moyenne nationale se situe autour de 17 %!! ( source : Étude ABCD dans le cadre du Contrat Territoire Lecture entre l'État et la Ville de Marseille)

Vous pouvez les contacter à l'adresse mail suivante : usagersbmvr@gmail.com pour vous renseigner plus en détail sur leurs activités et /ou leur faire parvenir vos avis, propositions et critiques sur le fonctionnement de ces bibliothèques

Le resto de la semaine

Le Trois/Quarts by Pirlouiiiit 01122018
Le Trois Quarts (boulevard Chave) goûté par Pirlouiiiit

Le boulevard Chave n'en finit plus de se transformer ... après la presse qui est devenu Georges avec le succès qu'on lui connaît c'est au tour du bar de quartier l'Apéro de se transformer en bar-restaurant du nom du Trois Quarts. Après le jaune Georges voici donc le rouge Trois Quarts. Si je ne cesse de revenir au Georges c'est qu'outre la proximité géographique les deux lieux se ressemblent aussi dans leur style de cuisine et leur public. Après y avoir pris un ou deux apéros en terrasse à la sortie de l'école à son ouverture, l'autre vendredi soir nous y sommes restés plus longtemps (l'intérieur est plus grand qu'il n'en a l'air) et avons ainsi bu grignoter quelques trucs de leur carte du soir, en l'occurrence un bol de fritures (petits poissons frits avec quelques lanières d'oignons marinés) et humus de maïs (et popcorn). Un régal.
Du coup le lendemain nous avons décidé d'y retourner pour le déjeuner (en fait c'était déjà prévu depuis la veille). Carte un peu moins variée à midi, avec des trucs que je n'aime pas trop dans chaque plat ... mais ce n'est pas grave on se lance. Comme Marie Anne est un peu pressée on ne prend qu'une entrée à partager en même temps que les plats , et pour les enfants l'assiette avec un très joli croque monsieur comme à la table d'à côté semble parfaite.
On se demande juste si on a bien fait de commander les 3 plats enfants maintenant alors que Cyril est toujours à la piscine à côté donc risque de manger froid.
Finalement nous avons bien fait car les plats mettront trèèèèèèès longtemps à arriver ; ce qui n'est pas gênant quand on vient au restau aussi pour y passer du temps, un peu moins quand on est pressé. Deuxième bémol : lorsque les plats enfants arriveront, en lieu et place des croque monsieurs les enfants se retrouveront avec deux œufs au plat et de la salade (je vous laisse imaginer leur tête). Ajouter à cela que lorsque nous avons récupéré la note ces assiettes se sont avérées couter 15 euros chacune - soit le prix d'un plat normal - (transformé en 10 euros chacune lorsque nous leur avons fait remarquer que c'était un peu raide pour des non croque monsieur - ce qui reste cher sans boisson ni dessert) on pourrait alors se dire que nous n'étions pas prêts de revenir.
Et pourtant l'entrée Topinambour, champignons de soissons, persil comme les plats, que ce soit la joue de bœuf purée de patate douce, navets, sanguins, jus de boeuf ou le maigre, crème de fenouil, scamorza, chou de bruxelles, poudre d'olives furent vraiment très bons. Tout en finesse et en goût (même si le navet aurait gagné à être remplacé par autre chose) et pour un coût largement plus raisonnable que les œufs au plat.
On finira en se partageant un flan au caramel tonka plutôt sympathique.
Bonne ambiance, moins tout-parfaitement-à-sa-place que Georges où tout est trop marketé pour que je m'y sente bien (même si là bas aussi la nourriture est bonne), il y a de grandes chances que nous retournions assez vite, mais peut être en évitant l'heure de pointe, et peut être le soir pour goûter au reste de la carte plus riche, et enfin peut être sans enfants pour des raisons économiques ... mais nous reviendrons je pense.
A moins que victime de son succès cela ne devienne inabordable. Il faut en effet déjà réserver pour venir. En tout cas le trois quarts a déjà trouvé sa place, notamment car il a su garder son côté bar de quartier !

Toutes les photos (du contenu des assiettes) des restaux auxquels nous sommes allés par ici

Clip de la semaine

Après : General Elektriks, Sloy, HANK!, Stella Pire, Pleasures, Dominique A, Vic Chesnutt, Usken, Fred Nevché, La Cumbia Chicharra, Pomme, Magali, the Fuzz & Drums, EMF, Massy Inc., the National, Frozen Falls, Steve Shiffman and the Land of No, Elysian Fields, Paul Mc Cartney, Cowboys From Outerspace, Ultrateckel, David Lafore, Powersolo, Mekanik Kantatik, Motorama, Garik Sukachev, Zone Libre feat. Casey, Bill Deraime, Nicole Atkins, Raymonde et les Blanc Becs

Retour a Marseille avec le très beau clip de le Temps d'un hier du non moins beau deuxième single de Iraka tiré de son nouvel album Livingston (sorti cette année et que je n'ai toujours pas trouvé le temps de chroniquer)

si le clip n'apparait pas cliquer ici