Des textes qui traversent une série de paysages sonores d'une diversité rare : des cabarets berlinois jusqu'au Far West en passant par les fêtes tsiganes.... Impressionnants sur scène.
Jack The Ripper en concert
Jack The Ripper : l'historique des concerts
Sa.
03
Mars
2018
Circuit De Chimay - Chimay
Sa.
03
Juillet
2010
Salle Pleyel - Paris 8ème (75)
Ve.
16
Avril
2010
Palais d'Auron - Bourges (18)
Ma.
16
Fév.
2010
Bataclan - Paris 11ème (75)
Sa.
16
Déc.
2006
Ve.
15
Déc.
2006
Ve.
08
Déc.
2006
Je.
07
Déc.
2006
Jack The Ripper : les dernières chroniques concerts 10 avis
The Fitzcarraldo Sessions (feat. Marc Huygens, Dominique A, Moriarty... ) + Patrick Watson And The Wooden Arms + Arnaud Fleurent-Didier (Festival Days Off 2010)
Deuxième soirée du tout nouveau Festival Days Off avec Arnaud Fleurent-Didier, Patrick Watson And The Wooden Arms et The Fitzcarraldo Sessions à la Salle Pleyel à Paris... L'endroit est superbement rénové, la salle - chargée d'histoire - est idéale pour permettre une écoute attentive, le public (confortablement assis) est au rendez-vous et l'affiche est de grande qualité, toutes les conditions sont donc réunies pour passer un moment extrêmement agréable ! Arnaud Fleurent-Didier Après un léger retard à allumage (le piano ne fonctionne pas correctement, un comble dans une salle habituée à la perfection classique !), Arnaud Fleurent-Didier (chant joliment maniéré, piano aérien, basse ronde), son groupe habituel (deux plantureuses jeunes femmes à la guitare, à la basse, aux churs et/ou au piano... ) et une section de cordes réunie pour l'occasion entrent rapidement dans le vif du sujet... La réparation du piano est l'occasion de découvrir le sens de l'humour pince sans rire de Monsieur Fleurent-Didier, la suite permettant quant à elle de retrouver en live les atmosphères désuètes, corrosives, cinématographiques et osées de l'album La Reproduction , un sujet de fond qui travaille plus ou moins tout le monde un jour ou... Lire la suite
Jack the Ripper
Soirée en demi teinte l'autre soir mais sûrement plus à cause contexte, car le concert en lui meme etait largement au dessus de la moyenne en terme de charge emotionnelle, implication et de musique tout simplement. N'ayant pas été capable de trancher entre Jack The Ripper a Rognes et Laurent Garnier au Cabaret Aléatoire je décide de faire les deux. Je prends un maximum de précautions, m'assurant que la route jusqu'à Rognes est praticable (la veille il a neigé du coté de Aix), j'appelle même juste avant de partir pour savoir si le concert va bien commencé a 21h ... Lorsque j'arrive la bas il y a beaucoup de monde. La salle ne pouvant contenir qu'un peu plus de 150 personnes, les gens qui n'ont pas réservé sont obligés d'attendre pour voir si certaines personnes qui ont réservé mais ne sont pas arrivés sont vraiment absentes. Il y a beaucoup de monde mais pas le groupe qui parti de Genève le matin vers 11h est coincee sur la route en raison des conditions climatiques ... damned ... j'essaie de me convaincre qu'ils vont arriver dans les 5 min faire les balances en un temps record et que je pourrai rentrer avant minuit a la Friche ... mais je n'y crois déjà qu'a moitie ... et comme après minuit les invits sautent et que le concert est... Lire la suite
Jack the Ripper + Cabwaylingo
Et bien, peut-on parler de "concert modèle" sans détourner le principe même du concert, qui, généralement, pour être remarqué, doit faire état d'imprévus, de scandales, de choses incroyables, d'une sorte d'hystérie collective avec son lot de provocations, de débordements sur scène et dans le public ? Là, en même temps, si rien de toute cette fièvre archétypale n'a été constatée, je ne trouve pas d'autre mot pour définir cette date. Car, après tout, qu'est-ce qu'un concert modèle ? Et bien, ça commence par une première partie émouvante, genre un type tout seul avec une guitare, un type un peu improbable avec de faux airs de Nick Cave qui semble puiser son inspiration dans un monde qui nous échappe, loin quelque part au dessus du plafond, et qui, par petites touches, m'emporte avec discrétion et modestie dans un voyage triste et poétique... Le spectre de Neil Young flotte à sa gauche, celui de David Eugene Edwards à sa droite, l'incontournable Jeff Buckley n'est pas bien loin non plus, ou alors Badly Drown Boy... Ce gars là plane au coeur de simples accords d'une voix haut perchée, entre complaintes folk et envolées colériques, et envoie des messages à quelques êtres supérieurs penchés sur ses déboires, brisant la magie de ses... Lire la suite
Jack the Ripper
Rendez-vous est donné ce vendredi pour voir, enfin, le concert de Jack the Ripper reporté depuis mars. Le Poste à Galène est relativement plein voire complet, pour découvrir les dandys qui nous ont toujours charmé les oreilles, notamment avec leur dernier album Ladies First. Un jeune homme plein de bonne volonté fait une première partie seul à la guitare, au son mélancolique et torturé ; ça ne sonnait pas trop mal mais honnêtement je n'ai pas écouté grand chose, trop de choses à dire à trop de gens. Et puis la bande de Jack the Ripper se pointe sur scène (et ils y sont serrés) : clavier, guitare, guitare, basse, chant, trompette, batterie, c'est tout un orchestre de chambre, assez classieusement habillés : c'est tout à fait l'idée que je me faisais de leur look, à l'image de leur musique - d'une élégance rare. N'ayant pas eu l'occasion de réécouter leur discographie, je ferai une chronique sans titres de chansons... De toutes façons leurs disques ne sont pas de ceux où l'on va écouter deux ou trois singles ; on les met plutôt pour une humeur particulière, pour se laisser pénétrer par l'ambiance feutrée, quelque part entre les Tintersticks (qui semblent les avoir pas mal inspirés) et Nick Cave & the Bad Seeds. Très alléché par... Lire la suite
Jack The Ripper : les chroniques d'albums
Valparaiso : Broken Homeland
Chronique écrite le 22/10/2017, par Pirlouiiiit
Il y a plein de raisons qui font qu'il est souvent difficile d'écrire une chronique de disque ... Si le lecteur connait l'artiste il y a des chances qu'il se moque de ce que vous en pensez, si il ne le connait pas, étant donné le nombre de groupes qui existent, comment attirer son attention si ce n'est en utilisant des comparaison forcement réductrices ou plus simplement en l'envoyant écouter des morceaux en ligne voire la video que vous aurez pris le soin de coller en dessous. Bref par moments on na le sentiment que la chronique de disque en ligne ne sert plus à grand chose si ce n'est à donner un peu de visibilité et faire tourner un peu plus le clip. Si je me suis permis cet aparté en intro de la chronique du très bon Valapaiso c'est que... Lire la suite
The Fitzcarraldo Sessions : We Hear Voices !
Chronique écrite le 25/11/2009, par Pierre Andrieu
Joli projet et casting de rêve pour The Fitzcarraldo Sessions, un groupe éphémère monté par les musiciens de Jack The Ripper en l'absence provisoire de leur chanteur... Sur ce très beau disque malicieusement intitulé We Hear Voices !, on retrouve avec enchantement les ambiances de cabaret folk ténébreuses et baroques qui faisaient la particularité de Jack The Ripper, mais sans le côté parfois trop grandiloquent d'Arnaud Mazurel. Bénéficiant déjà d'une production et d'une écriture irréprochables, les morceaux habillés avec moult pianos, trompettes, violons, mandolines, guitares, basses et batteries sont encore magnifiés par les invités, très en forme et visiblement ravis de monter à bord de cette aventure musicale originale. Moriarty donne le ton dès le premier morceau : on nage en plein bonheur, aux Etats-Unis, dans une sorte de folk échevelée et poignante... Stuart Staples des Tindersticks, est lui aussi égal à lui-même, c'est-à-dire absolument parfait dans le style "voix grave habitée" ; il s'approprie un morceau magistral avec classe et simplicité. Phoebe Killdeer, Dominique A (simplement bouleversant !), Syd Matters, Blaine Reininger (de Tuxedomoon), Joey Burns (de Calexico), Paul Carter (de Flotation Toy Warning, avec un titre qui... Lire la suite
The Fitzcarraldo Sessions : We Hear Voices !
Chronique écrite le 14/10/2009, par Pirlouiiiit
"Waw !" C'est tout ce que j'ai été capable de dire quand j'ai vu le line-up de ces Fitzcarraldo sessions !!!! Jugez vous-mêmes : Stuart - Tindersticks - Staples, Joey - Calexico - Burns, Dominique A, Craig - ex Archive - Walker mais aussi une partie de la génération montante avec notamment Moriarty, Phoebe Killdeer, 21 Love Hotel, et Paul - Flotation Toy Warning- Carter. Au final 11 titres pour nous faire oublier l'échappée (que l'on espère temporaire) de l'un des trois frères Mazurel, Arnaud, dont on se souviendra encore longtemps des prestations envoutantes et dangereusement habitées sur scène. Le résultat de... Lire la suite
Jack The Ripper : Ladies First
Chronique écrite le 14/01/2006, par Philippe
Après l'envoûtant I'm coming en 2003 et un live, les parigots adoptifs de Jack The Ripper remettent le couvert avec ce très réussi troisième opus, Ladies First. Mais attention à leur origine géographique trompeuse : le groupe, presque aussi mystérieux aux yeux du public français que Jack l'Eventreur pour la police de Londres, ne chante qu'en anglais et certes pas de cette chanson néo-française qui prolifère opportunément à chaque coin de rue. On découvre à l'opposé, de riches harmonies, une pop planante mais qui reste proche du rock, de subtils arrangements d'instruments à corde et à vent, de guitares languissantes à la Radiohead et de batteries brossées un peu jazzy, et surtout une fascinante voix polymorphe, qui rappelle immanquablement Nick Cave et Stuart Staples, parfois aussi Lou Reed ou même Tom Waits. Le tout dans une ambiance qui évoque des salons tendus de tentures... Lire la suite
Top Pop-Rock
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