Batteur jazz. Lors de ses 50 ans de carrière, il a joué avec Stan Getz, Claude François, Dexter Gordon, Michel Legrand, Tina Turner, Claude Nougaro, Dee Dee Bridgewater, Phil Woods ou encore Chick Corea.
André Ceccarelli en concert
André Ceccarelli : l'historique des concerts
Sa.
24
Juin
2023

Prairie du Bois d'Hyver - Fontainebleau (77)
Sa.
08
Oct.
2022
Sa.
08
Oct.
2022
Ve.
07
Oct.
2022
Ve.
07
Oct.
2022
Ve.
01
Oct.
2021
Gémeaux Scène Nationale - Sceaux (92)
Je.
30
Sept.
2021
Les Gémeaux - Sceaux (92)
Ve.
17
Sept.
2021
Salle Gaveau - Paris 8ème (75)
André Ceccarelli : les dernières chroniques concerts 2 avis
Charlie Jazz Festival Jour 3 : Paris Jazz Big Band + Duo Isabelle Olivier / Youn Sun Nah + La Fanfarine + Yves Laplane Quartet

Troisième et dernière soirée du Charlie Jazz Festival 2009. L'éclectisme du jazz est illustré par le programme de ce dimanche : un quartet de jazz moderne, un quintet-fanfare, un duo harpe/voix et un big band classique de 17 musiciens. Yves Laplane est un pianiste compositeur marseillais. Ce sont ses compositions - souvent dédiées à des proches - que son quartet interprète à l'exception d'une du saxophoniste niçois Jean-Marc Baccarini. Ce dernier est mis en avant dans chaque pièce et ce n'est pas pour me déplaire. A sa droite, Yves Laplane passe de son clavier Rhodes à son Yamaha (je préfère le son de ce dernier). Joseph Crimi à la contrebasse et Willy Walsh (batterie) rythment le propos. Willy est Irlandais et nous fait découvrir ou redécouvrir un instrument à percussion de chez lui, le bodhrán, sur Nomad's Land. Deux compositions retiennent mon attention : Blues For Ann pour lequel Joseph Crimi a troqué sa contrebasse contre une basse électrique. Chacun y a droit à son solo et celui du pianiste commençait à me faire apprécier le son du Rhodes. Auparavant, ils avaient interprété une merveilleuse mélodie, Fluffy Doll, ballade où s'entrelacent le son du piano et celui du saxo. Ils terminent en remerciant Claude... Lire la suite
Festival Jazz à Salon : Biréli Lagrène Gipsy Project + Sara Lazarus + André Ceccarelli
Critique écrite le 16 août 2007, par Frédéric Bloise
Château de l'Emperi Salon-de-provence 21 Juillet 2007
Après une longue série de marches, en plein centre ville, nous arrivons aux portes du monument qui surplombe la ville de Salon-de-provence. Il n'y a pas foule lorsque nous pénétrons dans la cour du Château de l'Emperi. Il faut dire qu'il n'est pas tout à fait 21h00 et que nous avons retenu l'horaire le plus précoce dans ceux annoncés par les différents média. Devant les gradins partant du fond de l'enceinte, des rangées plus courtes de chaises, alignées sur le pan le plus droit des murs du château, font face à l'imposante structure métallique de la scène qui termine cette perspective asymétrique. C'est au pied des gradins, sur le bord oblique du trapèze que dessine la cour, que nous sont désignées nos places. Là, sur cette première rangée de sièges, un homme a déjà pris place. C'est lui qui est à même de nous donner des précisions sur les prises de photo. Il a assisté aux répétitions et les consignes qui lui ont été données étaient simples : pas de photographe devant la scène. Il est photographe, et n'est pas inquiet. Il suffit de jeter un coup d'oeil à l'appareil qu'il a laissé posé un peu plus loin par terre pour comprendre que de n'importe quel endroit d'où il sera placé, il fera un bon clichés. Son objectif, c'est un peu la version... Lire la suite