Programmé par La Coopé, le concert d'Herman Dune à l'Opéra-Théâtre de Clermont-Ferrand, très cosy, intimiste et adapté à la folk music, a permis de renouer avec un grand songwriter, qui était en tournée solo pour promouvoir un album composé de ses plus grandes chansons dans des versions dépouillées, "The Portable Herman Dune, Vol.1" Fan d'Herman Dune depuis des lustres (on avait adoré les albums " Switzerland Heritage", "Mas Cambios", "Mash Concrete Metal Mushroom", "Not On Top" au début des années 2000), on avait un peu lâché l'affaire depuis l'exil de David Ivar en Californie et ses disques enregistrés tout seul. Le copieux "Portable Herman Dune Tour" - plus de 30 dates en octobre/novembre d'Anvers à Zurich en passant par Londres, Paris, Berlin, Marseille et la capitale de Auvergne, donc - est une bonne occasion de revoir "un vieux pote" un peu oublié mais auquel on pense chaque fois qu'on passe devant l'ancien bar l'Escapade, théâtre en 2005 d'un concert absolument mémorable et d'une cool interview d'Herman Dune en version à quatre, avec Julie Doiron, Néman et André. Pas de groupe ce soir, pas de bar bondé, mais un Opéra copieusement garni de fans énamourés, à la fois attentifs, enthousiastes et bienveillants, pour... Lire la suite

Aujourd'hui est un jour spécial, c'est mon anniversaire ! Donc, après avoir passé une excellente journée avec ma famille je vais dans une salle de concert se trouvant pas très loin de l'Alcazar pour aller écouter Herman Dune, un musicien que je n'avais jamais vu auparavant. Juste avant de partir, j'ai juste écouté son tube de 2009 I wish i could see you soon (il l'a écrite il y a 13 ans). Quand nous sommes arrivés, il y avait un groupe d'amis que nous connaissions plutôt bien qui étaient des fans d'Herman Dune. Nous leur avons dit bonjour et nous sommes vite allés chercher nos billets car nous n'avions pas de places assises. Quand la dame a l'entrée nous a donné les billets nous avons vu qu'ils étaient au nom de "Infoconcert" (nos "concurrents"). Nous sommes ensuite allés dire bonjour à d'autre personnes dont Six qui était au son ce soir là (comme à celui de 2005 à l'Espace Doun quand j'avais 4 ans). Il nous a expliqué que nous pourrions peut-être nous installer dans une petite loge juste à côté de la régie ... Nous avons donc attendu et finalement une famille s'est installée (à vrai dire j'étais un peu déçu car la place était magnifique et j'avais la flemme de resté debout tout le long du concert). Finalement, j'ai... Lire la suite

Le Divan du Monde est complet ce soir pour accueillir Herman Dune qui remplit l'Olympia habituellement. C'est This is The Kit qui rentre sur scène, ou plutôt Kate Stables toute seule en chaussettes pour quelques morceaux guitare/banjo/voix. Le groupe s'étoffe au fur et à mesure d'un batteur, Jamie Coles, d'un bassiste/guitariste, Jesse Vernon, puis du bassiste Vincent Mougel (Herman Dune également) Le groupe a le charme anglais qu'on attend, des mélodies entêtantes comme celle d'Earthquake, envoutantes à la Waterproof, entraînantes à la White Ash Cut. J'ai ressenti beaucoup d'influences, légèrement irlandaises parfois. Joli groupe, à écouter ! C'est au tour de Yaya, Néman et Vincent. Ce soir, Herman Dune plays Mariage à Mendoza. Ils ont écrit la BO du dernier film d'Edouard Deluc. Un petit bijou qui participe à la chaleur des images. David Ivar impose le style avec chemise à carreaux et chapeau de gaucho argentin, hommage au film. Qui dit bande originale dit beaucoup de morceaux instrumentaux en commençant par Escape to the Moon. Le thème Mariage à Mendoza,... Lire la suite

C'était jeudi 5 avril au Poste à Galène. Pour les envies folles de folk, il y avait Herman Dune à l'affiche, çà tombait plutôt bien. Arrivée un peu en avance, dans une salle encore presque vide, j'ai largement le temps de m'acclimater. Je ne sais pas qui a programmé la musique, mais çà sent bon le cliché sur le groupe, on a en effet droit à une succession de titres issus de leurs influences diverses et non reniées, de Otis Redding aux Doors en passant par I walk the line, Sympathy for the devil, Stairway to heaven et même One de U2... çà fait beaucoup d'un coup mais au moins la couleur est annoncée. Vers 21h30, la salle est encore clairsemée lorsque débarque un phénomène à lui tout seul, Dick Turner. Un ordinateur et un trombone pour tout accompagnement, ce colosse aux mains impressionnantes donne tout de suite le ton, en français dans le texte, avec un fort accent américain : "Je vais mettre mon chapeau" "cette chanson parle de la difficulté d'être un homme" it's difficult to be a man... et là, c'est parti pour trois quarts d'heure d'une comédie un peu (d'accord, de loin) inspirée de la période ziggy stardust de Bowie mais en mode burlesque et flirtant très dangereusement avec le ridicule... Il faut imaginer Dick Turner,... Lire la suite