60's Garage - Les Bankalos, groupe marseillais, jouent un rock garage de proximité. Compos et reprises 60's fuzzy se côtoient pour donner un set énergique, minimaliste et sauvage.
Los Bankalos en concert
Los Bankalos : l'historique des concerts
Ve.
06
Mars
2020
Sa.
08
Fév.
2020
Ve.
31
Janv.
2020
Ve.
14
Sept.
2018
Sa.
28
Avril
2018
Cambuza - Gémenos (13)
Ve.
09
Mars
2018
Los Bankalos : les dernières chroniques concerts 6 avis
Los Bankalos
Grosse soirée, comme tous les vendredi soirs, puisque j'ai prévu cette fois d'aller en famille au Lollipop pour voir Los Bankalos et Stoof qui devrait passer par là, avant de filer à la Meson pour le grand retour (pour moi) de Anais avant de finir au JAM avec Serket & the Cicadas. Marrant je ne réalise qu'a posteriori que ce sont 3 groupes assez féminins ce qui est quand même rare. Bref on commence donc par le Lollipop et son nouveau trottoir presque fini (bon maintenant il va falloir s'attaquer à la réfection de la façade). Svet et les enfants sont allés acheter 2 pizzas juste en face (très bonnes) ce qui va très bien avec nos bières (pour cela nous avons pris nos nouvelles cartes de membre pour 2020). En fond musical le dernier Bird in Shell qui dépote vraiment ! Pendant les balances la boutique se remplit tranquillement avec beaucoup de têtes familières de musiciens, écrivains, photographes ... Stefan qui vient livrer la nouvelle édition du Vortex (que je pourrai alors pomper pendant le week end), ... dans le coin il y a un faux gâteau "Bankalos". On fête aussi le début de la nouvelle expo de Kount Drockula (un habitué des murs du Lollipop aussi). Ce soir ça traine encore un peu plus que d'habitude et il est presque 20h... Lire la suite
Los Bankalos + Burn In Hell
C'est déjà la rentrée à la Salle Gueule (qui n'a peut-être pas fermé de l'été, d'ailleurs ?). Mais c'est encore l'été et donc, il y fait une chaleur torride : 30 degrés au rez-de-chaussée, 50 au sous-sol, où personne ne fume plus, heureusement... Ca nous a manqué, depuis le changement de clim' au Molotov et surtout la désolante fermeture de la Machine à Coudre, cette sentation de hammam rock, d'autant que la dernière fois ici c'était l'hiver... Comme toujours, accueil super sympa, après avoir croisé pas mal de têtes connues et notamment les têtes de pistoleros de Burn in Hell, en goguette dans la foule et dehors. Ayant raté le premier groupe, début de soirée, pour moi (après une pénible extraction de canapé, et après avoir abandonné ce pauvre Malotru dans une merde noire, comme d'habitude), avec les très agréables Los Bankalos, groupe qui continue à progresser régulièrement depuis notre dernière rencontre en 2016. Ils ne sont plus du tout bancals à vrai dire, leur rock'n'roll garage façon old school, chanté en français (respect !) et sans basse, a gagné en précision par rapport à mon souvenir, le son est propre (ce qui n'est pas toujours évident ici !), c'est en quelque sorte simple et de bon goût ! En outre, la chanteuse est sympa... Lire la suite
Barrence Whitfield & The Savages + Los Bankalos
SAVAGE EVENING. Il y a peu, j'ai revu Barrence Whitfield & The Savages... Pour la quatrième fois (cinquième ?). Et ? Démoniaque! Comme toujours... Et dire que j'ai failli ne pas y aller pour de bonnes raisons (lumbago aigu). Aujourd'hui j'ai la colonne foutue... Mais quand j'ai une douleur au dos, je me dis "minot, tu as eu raison d'y aller... Tu ne souffres pas vain...". Et la prochaine fois qu'il donnera un concert avec ses "Sauvages" ? J'irais !!! photo Dimitri Chilitopoulos Tout d'abord, on ne félicitera pas le public marseillais qui ne s'était pas déplacé en masse. Une erreur autant le dire et un peu la honte pour le public dit "rock" de la ville, qui avait certainement TOUTES les vraies bonnes raisons (la flemme, l'émission politique ou une série I-M-M-A-N-Q-U-A-B-L-E à la télé ?). Je galéje mais ça faisait un peu de peine pour ces "musicos" irréprochables qui ont joué comme si ils étaient dans un stade... On peut aussi ne pas aimer et/ou avoir de BONNES raisons pour ne pas venir. Nous sommes d'accord. Par voie de conséquence, on félicitera TOUS ceux qui étaient là (ils se reconnaîtront) et on laissera à un certain D le soin de résumer ce gig : "Encore une très bonne soirée". Barrence Withfield ne révolutionne, certes, pas,... Lire la suite
Cul-Cultura + Los Bankalos + PowerSolo
Quoi de mieux pour parachever un week-end électoral, de victoire militaire et sympathiquement printanier qu'un triple concert amplifié ? C'est donc d'un pas jovial que l'on s'engouffre à l'intérieur d'un Molotov déjà bien rempli pour aller découvrir le trio de Cul-Cultura , ex Ed Mushi et Crumb pour les intimes. À mi chemin entre geekerie musicale et potacherie décalée, Cul-Cultura nous abreuve de morceaux déconcertants mais bien ficelés qui font l'effet d'une fête foraine en descente de trip. Je pense que, côté influence, l'autobiographie de Phil Collins lue par notre frontman l'été passé y est pour quelque chose. La basse est grasse et chattertonnée, la batterie véloce et l'écriture automatique pour des textes de toute beauté : de Panpan Culcul au Champ Lexical de la Piscine Municipale , Cul-Cultura ouvre la porte aux horizons les plus fumeux. La voix devient bruitiste, reprenant les larsens en chur et l'anglais se chante avec l'accent de Menpenti. Le mini synthé donne à l'ensemble un côté Charly Oleg , malgré le spectre de Deep Purple et de sa Black Night (merci à l'oreillette de cette précision) qui plane sur tout le set. Ombre et Lumière, donc. La digestion se fait autour d'un sirop de... Lire la suite