Accueil Omar Souleyman en concert
Mardi 19 mars 2024 : 6597 concerts, 27057 chroniques de concert, 5408 critiques d'album.


Chantre du renouveau du dabke, musique populaire du Moyen Orient. Le Syrien Omar Souleyman en donne une version psychédélique, à la fois électrique, électronique, épileptique, hautement exotique...

Omar Souleyman : vos chroniques d'albums
Site

Omar Souleyman : l'historique des concerts

Ve.

09

Juin

2023

Omar Souleyman + Biensüre Omar Souleyman | Biensüre
théâtre Silvain (13)

Sa.

11

Janv.

2020

Sa.

26

Oct.

2019

Ve.

11

Oct.

2019

Nancy Jazz Pulsations en concert
Omar Souleyman / Angelique Kidjo / Nancy Jazz Pulsations | Omar Souleyman | Angélique Kidjo
Chapiteau de la Pépinière - Nancy (54)

Lu.

23

Sept.

2019

Omar Souleyman + Glitter Halle de la Machine - Toulouse (31)

Je.

01

Août

2019

Sa.

06

Juillet

2019

En Nord Beat Festival en concert
Loud - Nashville Pussy - The Skatalites - Azur - Renoizer - Omar Souleyman - Lysistrata - Current Value - Kikesa, Miley Serious - Le 77 - Chromatik - Saudade - June Bug - Numerobe x Loup Blaster - Macelot & Pock - Edyfis Agency En Nord Beat Festival | Omar Souleyman | The Skatalites | Nashville Pussy | Lysistrata
Square Plichon - Bailleul (59)

Omar Souleyman : les dernières chroniques concerts 4 avis

Yo La Tengo, Hot Chip, The Knife, Warpaint, Jagwar Ma, The Haxan Cloak, Savages, Mac Demarco, No Age, Connan Mockasin, Colin Stetson, Panda Bear, Danny Brown, Majical Cloudz, Omar Souleyman, Youth Lagoon, Pegase (Pitchfork Music Festival Paris 2013)

Critique écrite le 09 novembre 2013, par Audreymllr

Grande Halle de La Villette, Paris 31/10 au 02/11 2013

Yo La Tengo, Hot Chip, The Knife, Warpaint, Jagwar Ma, The Haxan Cloak, Savages, Mac Demarco, No Age, Connan Mockasin, Colin Stetson, Panda Bear, Danny Brown, Majical Cloudz, Omar Souleyman, Youth Lagoon, Pegase (Pitchfork Music Festival Paris 2013) en concert

Troisième édition du Pitchfork Music Festival Paris, qui a une fois de plus investi la Grande Halle de la Villette pour trois nuits de concerts, du 31 octobre au 2 novembre 2013... 31 octobre 2013 : Premier soir de concert ou après avoir récupéré mon bracelet et avoir subi la meilleure fouille au corps de ma vie, je découvre une Halle bondée de gens très excités. Dans la cours des files interminables (bon, pas de bière pour moi ce soir... ) pour acheter les fameux jetons, sésames indispensables et, forcément, bien chers, pour accéder aux joies de la beuverie et de la cuisine américaine. D'ailleurs, les banquettes esprit guinguette au milieu de la cour parsemée de papiers gras sont déjà remplies et resteront occupées non stop pendant trois jours, probablement par des personnes différentes, pas sûr. Au dessus d'eux des chaussures aux semelles clignotantes, pourquoi pas. On croise un photomaton pour faire comme à Berlin. Premières sensations: LCD Soundsystem craché par des speakers sponsorisés, partout une odeur de viande frite et de ketchup, et déjà un peu de sueur. il est 19 heures. No Age La soirée commence donc pour moi avec le duo punk from L.A, No Age, installé sur la pink scéne. A peine le set commencé, mes... Lire la suite

Festival Pantiero : The Rapture + Omar Souleyman + tUne-YarDs + The Death Set

Critique écrite le 13 août 2010, par Sami

Terrasse du palais des festivals - Cannes 12 Août 2010.

Festival Pantiero : The Rapture + Omar Souleyman +  tUne-YarDs + The Death Set en concert

"Cannes, deuxième jour du festival". Une soirée pleine de bonnes surprises, placée sous le signe de la découverte et de l'inattendu. Ayant déjà vu deux fois The Rapture et ne connaissant pas le reste de l'affiche, ma venue s'est un peu décidée au dernier moment, enthousiasmé par la soirée de la veille. Les sales gosses de The Death Set ouvrent le bal devant un public clairsemé et sans doute pas préparé à une telle baffe. Drôle de groupe basé à Brooklyn, qui évoque des Beastie Boys circa Licensed to Ill qui auraient le même dealer que les Sleigh Bells. Le trio joue un punk abrasif mâtiné de hip hop cradingue, avec un batteur sosie de Lil Jon, un guitariste taciturne et un leader qui vocifère et gesticule dans tous les sens, renverse tout sur son passage au grand dam des techniciens sur le qui-vive, escalade le montant gauche de la scène. Du gros n'importe quoi bourré de samples crunk et de guitares papier de verre aussi agressives que jouissives. Ils finissent avec une reprise du "Territorial Pissings" de Nirvana version déchiquetée, comme si l'originale ne l'était déjà pas assez. Un petit tour du coté dj, ce soir ce sont les filles d'In The Garage qui ambiancent avec de l'electro punk allant de FM Belfast à des oldies... Lire la suite

(mes) Eurockéennes 2010 2/3 : Omar Souleyman, Emilie Simon, Airbourne, General Elektriks, The Specials, The XX, The Hives, Ghinzu, Vitalic

Critique écrite le 06 juillet 2010, par Philippe

Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert 3 juillet 2010

(mes) Eurockéennes 2010 2/3 : Omar Souleyman, Emilie Simon, Airbourne, General Elektriks, The Specials, The XX, The Hives, Ghinzu, Vitalic en concert

Le vendredi, c'est par ici ! Chaque année, au moins un projet excitant est programmé à une heure indécente, pour qui doit faire la grasse-matinée, récupérer, partager un bon repas entre amis voire faire une sieste, et venir seulement ensuite sur le site des Eurocks. Et donc, raté à coup sûr. Cette fois-ci c'est tombé sur Le Prince Miiaou, 16 h 15 (ouch !), dont le disque Safety First est pourtant l'une des choses les plus étonnantes qu'une chanteuse ait produit en France au 21ième siècle... A rattraper sans fautes (la jolie Maud-Elisa n'a pas été chroniquée pour l'instant en live sur concertandco, si des fois un lecteur ponctuel peut en dire un mot...). On arrive pour les 5 dernières minutes de Broken Social Scene, où il n'y a pas foule dans l'herbe de la grande scène - ça a pourtant l'air pas trop mal, dans le style rock collectif. Petit problème à résoudre ensuite, choisir entre tout ce qui passe à cette heure-là. On commence avec Omar Souleyman, dont la musique assez irritante en disque a en tout cas titillé notre curiosité. Un clavier et un exotique instrument à corde au manche effilé (un buzok ?), lui font une intro toute en douceur qui monte en puissance, avec l'arrivée du bonhomme, en costume traditionnel, annoncé par un... Lire la suite

Fiesta Des Suds 2017 : Cody Chesnutt, Omar Souleyman, Labess, Amadou Et Mariam, Tristesse Contemporaine, Yasmine Hamdan, Cymande...

Critique écrite le 01 novembre 2017, par Sami

Dock des suds, Marseille 21 Octobre 2017

Fiesta Des Suds 2017 : Cody Chesnutt, Omar Souleyman, Labess, Amadou Et Mariam, Tristesse Contemporaine, Yasmine Hamdan, Cymande... en concert

Un peu en retard, petit retour sur cette belle édition de la fiesta des suds. Jeudi il fallait venir tôt et faire des choix, avec des artistes qui passaient quasi simultanément sur les trois scènes, un peu dommage quand on apprécie les trois. Au cabaret, entendu quelques titres des Toulonnais de Gang Of Peafowl, un combo qui ravit les amateurs de rock avec énergie et fraîcheur. A la salle des sucres, l'envoûtante Yasmine Hamdan ne fait pas vraiment dans le festif avec une musique entre folk et trip hop aux sonorités assez lourdes. Un peu en décalage pour la fiesta avec une voix autoritaire, mais après quelques minutes le charme opère et la Libanaise communique pas mal avec le public, avec des mouvements lascifs et une atmosphère assez planante. On apprécie également la présence du guitariste Cedric Le Roux (déjà apprécié chez Phoebe Killdeer ou Lescop) toujours aussi exigeant. Sur la grande scène on retrouve avec plaisir Amadou Et Mariam pour la dernière moitié de leur concert généreux et aussi enthousiasmant que leur dernier passage. Du récent et très dansant "Bofou Safou" aux tubes "La réalité" en passant par l'inévitable "Dimanche à Bamako" c'est toujours impeccable de justesse. Pas grand monde au... Lire la suite

Omar Souleyman : les chroniques d'albums

Omar Souleyman : Dabke 2020

Chronique écrite le 18/10/2009, par Zeu Western Manooch

Omar Souleyman : Dabke 2020

Omar Souleyman, natif de Ras-Al-Ain, ville du nord-ouest syrien débute sa carrière en 1994. Le génial label Sublime Frequencies, spécialisé dans la récupération et l'inhumation de perles musicales enfouies (du rock sixties thaï aux punks iraniens en passant par la popmusic de Sumatra) s'est penché sur le cas du bonhomme. En agglomérant les tubes d'une dizaines de cassettes - source principale de cette maison -... Lire la suite