Accueil The Dead Weather en concert
Vendredi 19 avril 2024 : 6344 concerts, 27081 chroniques de concert, 5410 critiques d'album.


Du rock 'n blues énervé par un super groupe monté par Jack White (White Stripes, Raconteurs, à la batterie) avec Alison Mosshart (The Kills, au chant), Dean Fertita (de Queens of the Stone Age, à la guitare) et Jack Lawrence (des Raconteurs, à la basse). Basé à Nashville, le groupe The Dead Weather a enregistré trois albums : Horehound, Sea Of Cowards et Dodge and Burn. Les concerts de ce combo sont irrésistibles...

The Dead Weather : vos chroniques d'albums
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The Dead Weather en concert

Il n'y a pas de concert actuellement annoncé pour cet artiste.

The Dead Weather : l'historique des concerts

Sa.

03

Juillet

2010

Montreux Jazz Festival en concert
The Dead Weather Montreux Jazz Festival | The Dead Weather
Miles Davis Hall - Montreux (Ch)

Ve.

02

Juillet

2010

Les Eurockéennes de Belfort en concert
The Dead Weather, Converge, The Subs, Patrick Watson, Chromeo, Two Door Cinema Club, The Wankin' Noodles, Baroness, Rox, Filiamotsa Les Eurockéennes de Belfort | Chromeo | Patrick Watson | The Dead Weather | Two Door Cinema Club | The Subs | The Wankin' Noodles | FiliaMotSa | Converge
Presqu'ïle de Malsaucy - Belfort (90)

Me.

30

Juin

2010

The Dead Weather Bataclan - Paris 11ème (75)

Sa.

26

Juin

2010

Glastonbury Festival en concert
Glastonbury Festival : Muse + The Dead Weather + Blood Red Shoes, LCD Soundsystem... Glastonbury Festival | Blood Red Shoes | The Dead Weather | Muse | LCD Soundsystem
Site du Festival - Glastonbury

Me.

28

Oct.

2009

The Dead Weather (Complet) Olympia - Paris 9ème (75)

The Dead Weather : les dernières chroniques concerts 8 avis

Jack White & Ko Ko Mo (The Supply Chain Issues Tour)

Critique écrite le 18 juillet 2022, par Pierre Andrieu

Le Radiant, Lyon 7 juillet 2022

Jack White & Ko Ko Mo (The Supply Chain Issues Tour) en concert

Pour la première étape française du Supply Chain Issues Tour (qui se terminera par trois Olympia de Paris les 18, 19 et 20 juillet), Jack White - qui est clairement dans sa période bleue, voir la couleur de ses cheveux, de ses guitares et des éclairages - était au Radiant de Lyon/Caluire pour y donner un concert faramineux dont il a le secret. Un truc à base de show très (trop ?) orienté solos de guitare, de tubes chromés et, bien évidemment, de "Po Popo Po Po Pooo Po". Le tout présenté avec gros light show et vidéos classes en compagnie de son groupe d'authentiques killers (comme lui) : Dominic Davis (basse), Quincy McCrary (claviers) et Daru Jones (batterie). Pour cette soirée sans téléphone (Jack est un control freak), le contexte se présente comme ceci : on subit d'abord une première partie assurée par le groupe français Ko Ko Mo (trop d'influences Led Zep et de gesticulations, pas assez de chansons), en essayant de boire des bières pour se rafraîchir (la clim est en panne), mais il est difficile de circuler car la salle est bondée (trop de places de vendues ?) et ne bénéficie que d'une seule porte d'entrée et de sortie, on circule donc très difficilement. Puis, les 2500 personnes qui remplissent Le Radiant en... Lire la suite

Jack White (Nuits de Fourvière 2018)

Critique écrite le 09 juillet 2018, par Pierre Andrieu

Théâtre antique de Fourvière, Lyon 8 juillet 2018

Jack White (Nuits de Fourvière 2018) en concert

Les Nuits de Fourvière ont eu droit à un grand Jack White le 8 juillet ! Venu pour présenter son dernier disque en date, l'ambitieux et un peu délicat à appréhender au début Boarding House Reach, l'ex leader des White Stripes (teint blafard sous lumières bleues) n'a pas fait les choses à moitié avec une set list de rêve offrant un panorama imprenable sur toute sa carrière (et dans laquelle il ne manquait que Fell In Love With A Girl à notre humble avis), un groupe composé de cadors pour l'accompagner, un éclairage de haute tenue et un son certes surpuissant mais globalement bien réglé... Dès le début de la prestation de Mister White avec l'enchaînement imparable Over and Over and Over/Dead Leaves and the Dirty Ground, le public comprend à quoi il va avoir affaire pendant 1h45 : à un putain de best of 2001/2018, un show très orienté guitare... Ce qui a l'air de surprendre notre voisin et néanmoins ami, qui ressemble au Colonel Kurtz dans Apocalypse Now, tout en ayant la particularité d'être fan de Massive Attack et PJ Harvey. Oui monsieur, Jack White sur scène se présente en chef d'orchestre entouré de moult guitares, dont il joue abondamment et avec délectation. Et son groupe, qui reste sur une estrade derrière le maître et... Lire la suite

Jack White

Critique écrite le 05 juillet 2018, par Samuel C

L'Olympia - Paris 4 juillet 2018

Jack White en concert

Jack White s'affichait en lettres rouges sur le fronton de l'Olympia pour deux soirées (comme en 2012 et 2014). Ces dates ont été sold out en quelques minutes, l'une après l'autre. Les autres concerts où se produit White sont également complets en France : les nuits de Fourvière et le Festival Beauregard. Son nouvel album est expérimental, voire difficile d'accès, mais aller revoir le fondateur de Third Man Records, plutôt intègre et visionnaire dans tout ce qu'il crée, relève d'une gageure largement supérieure à toute autre considération ! A travers ses multiples formations (The White Stripes évidemment, mais aussi The Raconteurs, Dead Weather et en solo) John Anthony Gillis -son identité à la ville- peut faire songer à Neil Young au regard de la variété des styles abordés et de sa inventivité incessante : "Boarding House Reach" étant peut-être son "Trans" à lui. Alors que du hip-hop old school résonne dans les enceintes, le public majoritairement quadra et CSP+ (le prix des places oscillait entre 52 et 68€) savoure sa bière de base qui est sûre d'arriver en demi d'après une publicité ! Jack White n'est pas une bête de scène, mais grâce à son mètre 88 il occupe pleinement l'espace. Accompagné de 4 musiciens, une... Lire la suite

Jack White - concert exclusif France Inter

Critique écrite le 30 mars 2018, par Samuel C

Studio 104 (Radio France) - Paris 29 mars 2018

Jack White - concert exclusif France Inter en concert

"Il y a 15 ans était écrit le dernier grand hymne rock" rappelle avec passion Michka Assayas, en introduction du concert de Jack White, tandis que quatre roadies au look Borsalino effectuent les dernières vérifications de rigueur. En effet, pas un stade de football, pas un enfant n'ignore ce riff ultime sans, en revanche, connaître le plus souvent le nom du duo qui l'interprète... Le touche-à-tout Jack White est depuis devenu incontournable et incontestable. Son amour du blues, de l'authenticité et du vinyle est une évidence. Son désamour du téléphone portable est aussi rappelé par Assayas : pas de photos, ni d'enregistrements audio ou vidéo au cours de la soirée. On a tout-à-coup l'impression d'être revenu dans les années 90, époque bénie où les effets-lumières émanaient uniquement des éclairages et où chacun vivait alors l'intensité de l'instant à 200% ! Après les remarquables et puissants "Blunderbuss" et "Lazaretto", le volume III de la carrière solo du prince de Détroit "Boarding house rich" se révèle très singulier, voire expérimental et difficile à apprivoiser ! La configuration scénique du quintet au coeur du Studio 104 de Radio France est à l'instar du nouvel opus de White : à la croisée du blues, du rock, du... Lire la suite

The Dead Weather : les chroniques d'albums

The Dead Weather : Sea Of Cowards

Chronique écrite le 05/05/2010, par Pierre Andrieu

The Dead Weather : Sea Of Cowards

En décidant de battre le fer tant qu'il était chaud, c'est à dire en choisissant d'enchainer dans l'urgence les albums et les tournées avec The Dead Weather, Jack White, Alison Mosshart, Dean Fertita et Jack Lawrence ont opté pour la bonne solution, la preuve éclatante en étant la réussite de Sea Of Cowards, le deuxième album du super groupe (un Kills + un White Stripes + un Raconteurs + un Queens Of The Stone Age) qu'ils forment depuis 2009... Après un bon premier opus intitulé Horehound, la suite semble avoir coulé de source : il n'y a pas eu de prises de têtes inutiles, les quatre musiciens fonçant casque baissé dans la même direction - on part du passé pour le propulser manu militari dans le présent -, avec, en plus, la cohésion et l'énergie créatrice gagnées grâce à leurs vibrants shows dans le monde entier. Ce qui devait arriver, arriva : avec pareille équipe de rêve au niveau du songwriting et des qualités musicales, le nouveau chapitre de l'histoire de The Dead Weather tient extrêmement bien la route. Et le combo survolté de se lancer dans une sorte de heavy blues gothique et très sombre, truffé de bidouillages bizarroïdes, de riffs tétanisants et de cris pour le moins sauvages. C'est tout simplement du rock 'n roll traversé par de... Lire la suite

The Dead Weather : Horehound

Chronique écrite le 09/07/2009, par Pierre Andrieu

The Dead Weather : Horehound

Composé de Jack White (The White Stripes, The Raconteurs, batterie, chant, chœurs, guitare), Alison Mosshart (The Kills, chant principal, guitare, percussions), Jack Lawrence (The Raconteurs, The Greenhornes, basse, guitare, chœurs) et Dean Fertita (Queens Of The Stone Age, guitare, orgue, piano, basse, chœurs), The Dead Weather est ce qu'on appelle un super groupe... Formé suite à une rencontre scénique entre les Kills et les Raconteurs, The Dead Weather a enregistré en trois semaines à Nashville dans le studio de Jack White un premier album intitulé Horehound. Voir à l'œuvre le couple - musical - Jack White/Alison Mosshart est un fantasme réalisé pour tous les fans des Kills et des White Stipes, même si ce duo est un peu incestueux, les Kills s'étant largement inspiré des White Stripes à leurs débuts et ayant le même background blues'n punk que Jack + Meg... Quoi qu'il en soit, la rencontre fonctionne à plein régime : Alison chante plus que jamais à la manière d'une tigresse en chaleur, comme Jack donc, qui, lui, assure des chœurs enthousiastes tout en jouant (très bien !) de la batterie et en co composant les morceaux avec le reste de la... Lire la suite

The Dead Weather : Horehound

Chronique écrite le 09/07/2009, par Boby

The Dead Weather : Horehound

La Dream Team ? Il semblerait bien. Autour de Jack White, The Dead Weather regroupe la crème des crème des musiciens. Alison Mossmart des Kills, Dean Fertita des Queen of stone age, Jack Lawrence des Raconteurs et bien sur Jack White dont la réputation n'est plus à faire, viennent de pondre leur premier opus, Horehound. Déjà disponible en libre écoute sur iLike, c'est le 14 juillet que sortira officiellement l'album "du temps mort". Roulements de tambours, larséne, petit solo de guitare, effet grunge tant de codes qui nous confirment que nous sommes bien dans l'univers de Jack White, peut être même trop. Avec un casting comme celui ci, on pourrait s'attendre à un peu plus de nouveautés, un éloignement du moule de Jack, malheureusement les diverses influences du groupe se voient la plupart du temps écrasées par l'omniprésence "Whitienne". Le premier single "Hang You Up From The Heavens" en est le parfait exemple, s'est à s'y méprendre avec un bon vieil album des White Stripes. Néanmoins le fait que la... Lire la suite