Mix méchamment diabolique entre beats électroniques infectieux, guitares agressives et chant gravement tétanisant, Black Strobe marque les esprits ! Mené par Arnaud Rebotini, Black Strobe transcende les genres. Alliant la noirceur du punk aux raffinements de l'electro, en ajoutant une touche de disco, le fondateur et pilier du groupe livrera un set sans concession : un gigantisme rock magnifié par la passion du dancefloor.
Influences:
Trent Reznor, My Bloody Valentine, Bo Diddley, Depeche Mode
Blackstrobe en concert
Blackstrobe : l'historique des concerts
Sa.
21
Nov.
2015
Le Splendid - St Quentin (02)
Sa.
07
Nov.
2015
Salle des Fêtes - Quessoy (22)
Ve.
21
Août
2015
Site des 4 Vents - Pully (CH)
Sa.
06
Juin
2015
Chateau - Lourmarin (84)
Sa.
23
Mai
2015
Le Tigre - Margny-les-Compiegne (60)
Me.
25
Fév.
2015
La Maroquinerie - Paris (75)
Sa.
07
Fév.
2015
Ve.
30
Janv.
2015
Salle des fêtes - Bain de Bretagne (35)
Blackstrobe : les dernières chroniques concerts 8 avis
Festival Marsatac-Young Gods-Black Strobe-Kid Karate
Et me voilà à la Friche Belle de Mai pour la soirée " rock " de cette édition 2014 du Festival Marsatac. Comme chaque année, les organisateurs réservent justement une soirée pour ceux qui ne sont pas forcément touchés par de pures réjouissances électroniques. Et l'affiche de ce soir est plus qu'attrayante. J'arrive malheureusement trop tard pour écouter Date With Elvis et leur punk'n'blues (terme qui change un peu de " garage ", que j'ai l'impression d'avoir employé à tout va ces derniers temps) et l'electro house de Publicist qui jouent sur le toit terrasse. Je redescends vers le Cabaret Aléatoire où va commencer le concert de Kid Karate, un jeune trio irlandais, qui pratique une espèce de disco punk très énergique, brut et dansant. Le guitariste-chanteur ne s'économise pas ; son jeu est tranchant et son chant très lyrique et expressif. Le bassiste moustachu s'agite comme un ver luisant et le batteur, placé à l'avant scène, cogne sans relâche sur ses fûts. Il y a de discrètes boucles electro à l'arrière plan qui font office d'arrangements. Si deux ou trois morceaux sont assez accrocheurs, l'ensemble est un peu inégal en terme de compositions mais les trois gonzes de Kid Karate tiennent très bien la scène et parviennent sans... Lire la suite
(mon) Marsatac 2014 : Date With Elvis, Publicist, Kid Karaté, The Young Gods, Black Strobe
Première soirée de Marsatac, qui a eu la gentillesse cette année de regrouper la plupart des groupes de rock ce soir, en tout cas les plus intéressants, nous donnant l'occasion d'éviter les enchaînements parfois laborieux entre nos amis les branleurs de mulots électro. Sympa aussi, le retour à la Friche ! Le festival n'était pas revenu ici depuis trois ans déjà. A mon goût et depuis 10 éditions nomades, c'est pourtant l'endroit où Marsatac exprime le mieux son identité urbaine. Et surtout, sans qu'on ait l'impression d'être à la Fiesta des Suds avec juste une autre déco... Si les programmateurs ont pris l'initiative intéressante de redéfinir la zone investie dans la Friche, il y a ce soir quelques choix un peu discutables. 2 scènes c'est super, mais seulement si on alterne ! Si c'est pour passer le début de la soirée sur l'une (le toit-terrasse) et finir dans l'autre (le Cabaret Aléatoire), ça fait un peu gadget quand même. Par ailleurs, pas de choix ni de plan B puisque les concerts ne se chevauchent pas, et des enchaînements parfois longuets entre les concerts. Côté positif, ça laisse tout le temps de blablater avec les copains et copines, toujours nombreux dans ce festival et surtout, en ce qui me concerne, lors des dates "rock".... Lire la suite
Black Strobe
Critique écrite le 23 décembre 2013, par Arnaud D
Portail Coucou - Salon de Provence 30 Novembre 2013
Notre histoire avec Arnaud Rebotini et même le Portail Coucou auraient pu ne jamais commencer. Pour Arnaud, nous avons vu les premières minutes de son concert Techno au Cabaret Aléatoire, après Le Chapelier Fou et mXcT. Mais, l'heure tournant, la fatigue venant sur un plateau si long et un Set Techno pas assez prenant (pour commencer tout du moins) ont eu le dernier mot et nous sommes rentrés à la maison. Et ce soir , rien ne nous prédestinait à le voir, nous avions même prévu d'aller voir Indochine au Dôme de Marseille. Mais, au dernier moment, l'accréditation n'a pas été acceptée ... Donc un soirée "Libres comme l'air" s'est ouverte à nous ! Pour le Portail Coucou, nous ne comptons pas le nombre de concerts que nous aurions voulu y voir mais, à chaque fois, nous avions du remettre ça à cause d'un autre projet. C'était sans compter sur le destin... Lire la suite
The Breeders, Dinosaur Jr, Daniel Johnston, Jesse Boykins III, Busy P, Jackson and his computer band...(This Is Not A Love Song Festival 2013)
Nimes, troisième soir du festival. (les premiers soirs c'était ICI) Birth Of Joy Les grandiloquants Birth Of Joy enflamment la grande scène avec un chanteur habité et un clavier groovy évoquent invariablement les Doors, un bel hommage involontaire à Ray Manzarek disparu la semaine dernière de la part des programmateurs qui nous ont encore gâté ce soir. Avec quelques bas néanmoins, les passablement bourrins Bass Drum Of Death et la synth pop anecdotique de Veto. Mac DeMarco Et une surprise (enfin demi surprise car on adore le disque) avec le slacker Mac DeMarco et sa jangle pop assez irrésistible. Le Canadien semble autant prendre de plaisir que nous en livrant des versions dynamitées de ses chansons, balançant des blagues aussi couillonnes que les vidéos projetées derrière. Le genre de concert qui file la banane, impossible à retranscrire à sa juste coolitude mais qu'on recommande chaudement. Jesse Boykins III Beau moment soul plus tard avec Jesse Boykins III qui aura joué de malchance dans son horaire de programmation qui chevauchait celui de la tête d'affiche. Les quelques titres vus donnent plutôt envie de le réentendre : si son jeu de scène parait un peu forcé (pourquoi remuer sans arrêt sur une musique aussi... Lire la suite
Blackstrobe : les chroniques d'albums
Black Strobe : Burn Your Own Church
Chronique écrite le 25/07/2007, par Pierre Andrieu
Mix méchamment diabolique entre beats électroniques infectieux, guitares agressives et chant gravement tétanisant, Black Strobe devrait marquer les esprits avec son album Burn your own church. Si elles déplairont sans doute aux oreilles trop sensibles, les véritables tueries soniques que sont les morceaux de ce groupe français risquent bien de rendre incontrôlables nombre de gens dans les salles de concerts et les clubs. Il faut dire que l'orgie musicale débridée entre les guitares de Trent Reznor, My Bloody Valentine... Lire la suite