Torride, psychotique et sauvage, le trio infernal Jungle Fever va vous inoculer la fièvre du rock'n'roll primitif et le virus du twistobilly démoniaque.
Jungle Fever se présente :Torride, psychotique et sauvage, ce trio infernal va vous inoculer la fièvre du rock'n'roll primitif et le virus du twistobilly démoniaque. Ils déclenchent une tornade électrique d'où s'échappent en hurlant créatures dégénérées et entités cauchemardesques qui vivent dans les marécages urbains et les cités suintantes... Les démons excités du Rock'n'Roll génèrent ainsi une transe vaudou incontrôlable emportant les âmes des damnés vers les ombres grimaçante de la jungle aux milles plaisirs interdits et dangereux!
Jungle Fever en concert
Jungle Fever : l'historique des concerts
Sa.
26
Avril
2014
Chapiteau - Condom (32)
Me.
15
Janv.
2014
Sa.
16
Nov.
2013
Je.
22
Août
2013
La Salle Gueule - Marseille (13)
Ve.
26
Juillet
2013
Sa.
04
Juin
2011
Ve.
03
Juin
2011
Je.
02
Juin
2011
Le Cellier - Le Bourg (22)
Jungle Fever : les dernières chroniques concerts 3 avis
Mistraal Indie Music : Chokebore, Narrow Terrence, Erevan Tusk, Garciaphone, Jungle Fever
Critique écrite le 25 juillet 2010, par Stephane Sarpaux
theatre de verdure de la rebutte - Barbentane 23 juillet 2010
Barbentane, petit village de 3600 habitants au sud d'Avignon. Barbentane, son café chez Henry, sa boucherie, son boulodrome parking, son château et désormais son festival de musiques. Le "music Indie Mistraal Festival" se déroule dans le quartier de la Rebutte. Soit une impasse de 200 mètres de long bordée de charmantes petites maisons avec terrasse sur le devant et qui se termine sur un rond point à flanc de parois de 15 mètres de hauteur. La pierre, jaune sable, constitue donc une sorte d'amphithéâtre naturel qui renvoie un son parfaitement équilibré. Au fond du rond point, une scène en pierre a été aménagé. C'est sur ce site que se déroule traditionnellement des animations estivales, comme pièces de théâtre ou concert classique. C'est en tout cas ce qu'affirme Jeanne, Gisèle et Marthe, trois habitantes du quartier rencontrées sur place qui dépassent les 200 ans à elles trois. "Mais là, c'est pas possible, s'exclame Jeanne, la plus virulente. Depuis ce matin, c'est un raffut pas possible. On n'en peut plus de leur musique de sauvages. Le maire, il a pas intérêt à se montrer sinon, je lui tombe dessus. - Moi, ça fait 55 ans que j'habite ici, et c'est la première fois que ça arrive. C'est pas qu'on est contre des animations,... Lire la suite
Jungle Fever + Lipstick Vibrators
Encore une soirée pour les punque, dirait-on, et comme d'hab quand c'est Relax'n'Co qui recommande, sauf flemmingite aigüe ou traquenard spécifique, on se radine sans discuter. Premiers à dégainer, Jungle Fever et sa scène tout de peaux de bêtes vêtues (batteries et micro), avec animaux sauvages en peluche - ça pourrait être assez bucolique mais ce n'est que prétexte à une certaine sauvagerie - manger et ne pas être mangé ? Le groupe qui semble avoir attiré sur son nom un public psychobilly (avec par exemple des morceaux de Devil Crockett dedans) pratique en effet divers styles dont le psycho-surf-à-collier-de-Rahan, et autre garage-punkitudes, voire du surf rock à grosse basse. Ce qu'ils appellent du primitive rock'n'roll - pas si mal comme définition, sinon il y avait aussi 'Stray Cats joués par Elektrolux', enfin c'est juste un exemple. C'est donc joué très fort et servi sans réglages sonores particuliers - il y a une butée sur les potards, ça doit servir à ça, non ? Le public spécialisé est assez en joie, ça se pousse même un peu, et même avec des fille qui participent. Pour ma part j'avoue une certaine désinvolture générale ce soir-là, dans la mesure où la salle est peuplée de bons camarades avec qui boire des coups, comme... Lire la suite
La Mort, Last Fucking Delight, Jungle Fever
surprenante soirée dans un lieu très sympa ou la déco est à voir (à admirer, je dirai...,fresque entre constructivisme et 1984). premier groupe: la mort, sorte de black atmosphérique avec larsens et montées lancinantes un rien de hardcore dans le fond, le chanteur souffre pour nous. c'est un rien misanthrope, c'est la mort. du Black sabbath revu et corrigé versus Napalm death. Groupe marseillais formé depuis peu, mais dont les membres viennent de différentes formations. le deuxième groupe, des nantais Last fucking delight : du bon vieux punk bien... Lire la suite
Jungle Fever : les chroniques d'albums
Jungle Fever : Maja Thürüp
Chronique écrite le 08/01/2012, par Philippe
Deuxième service pour le trio Jungle Fever, mais cette fois-ci, point de créature dénudée sur la couverture, on passe directement aux singes tueurs qu'on apercevait sur la première : la jungle, c'est dangereux, Madame ! Ne vous y aventurez pas sans la compagnie du chanteur & guitariste Ted Alonzo, du batteur Johnny Ray, ou vous pourriez bien vous faire bouffer à la fin d'une course-poursuite perdue d'avance avec leur Cannibal Lady, comme c'est peut-être arrivé au premier bassiste, remplacé ici par un certain Dane Skandal. D'ailleurs après enquête, le titre Maja Thürüp fait allusion à une nouvelle de Bukowski, charmante histoire d'amour entre une exploratrice promise à la dévoration, et son sauveur, un aimable sauvage affublé d'un méga-penis... Le tout est prétexte à refaire un album tout à fait dans le même esprit que le premier : du rock'n'roll tendance garage/billy, joué par des sauvages aux... Lire la suite
Jungle Fever : Jungle Fever LP
Chronique écrite le 13/06/2009, par Philippe
Le groupe Jungle Fever, déjà aperçu entouré de peaux de bêtes, avec une batterie 100 % tachetée léopard, et avec une panthère noire sur scène, est un trio salace et méchamment percutant de jeunes salopards avignonnais. Il pratique ce qu'il nomme lui même du "primitive rock'n'roll". Entendez, des Stray Cats en version sauvage de la jungle, avec un son suffisamment garage pour pouvoir évoquer aussi les Cramps (les rugissements aidant), et des soli surf que n'aurait pas renié Dick Dale lui-même (Kremlin attack over the World)... Sur scène où tout est joué à fond (avec dans mon souvenir un son proche de Motörhead !), on avait cru entendre du français et en effet, c'est bien leur langue de prédilection, chantée dans une voix outrageusement sixties (cf Sunny Baby ou Shabidoowa - "je pense avouâââ trouvééé l'amoûûûh !") par un... Lire la suite